El Greco

Lourdault Pauline Groupe 3 20 février 2015 Deir el-Médineh
 1 sur 7 Lourdault Pauline Groupe 3 20 février 2015 Niché au creux de la Vallée de la montagne thébaine, sur la rive occidentale du Nil, à 725km du Caire et juste en face de Louqsor, se trouve le Village de Deir el-Médineh. Plus précisément, au sud de la Nécropole royale de Thèbes, derrière la Colline de Sheikh Abd el-Gourna. Fouillé par l’Institut français orientale du Caire depuis 1917, le site se révèle être un village simple mais

djihadistes Les rebelles ont occupé la base 80 près de l’aéroport international d’Alep pendant neuf mois, mais les troupes de Bachar el-Assad ont réussi à les déloger brièvement La Syrie est dirigée par la famille el-Assad depuis 1971. Bachar el-Assad a succédé à son père à la tête du pays en 2000. Depuis la mi-mars 2011, une révolte secoue le pays, le régime syrien de Bachar el-Assad a choisi la voie des armes. Le corpus de documents nous permet de découvrir ce qu’il se passe dans ce pays arabe du Proche-Orient

Qui dit caméras, dit réduction de policiers, dit diminution de travail et pas forcément plus d’efficacité. La plupart des caméras effectuent des « parcours » prédéfinis laissant des zones sans surveillance pendant plusieurs minutes. D’après Myriam El Khomri, adjointe au maire de Paris chargée de la prévention et de la délinquance : « Nous assumons les caméras. C’est un outil utile, mais ce n’est pas ça qui permettra de lutter contre la délinquance de voie publique, ce sont les effectifs. La situation

prochaine. Jeudi, François Hollande a aussi confirmé qu'il n'enverrait pas de troupes au sol en Irak. Et que la contribution française à la guerre contre Daech ne concernerait pas la Syrie, car la France ne veut pas prendre le risque de renforcer Bachar el-Assad en frappant les djihadistes. Le terrorisme a franchi la frontière irakienne où il fait régner la terreur, traque les minorités, «décapite les journalistes». Sur la crise libyenne, le président a affirmé qu'il appartenait à la communauté internationale

 LA SYRIE I/LE REGIME DE BACHAR AL-ASSAD À la suite de son élection, le régime se libéralise timidement, ce qu'on appelle généralement le « Printemps de Damas ». Des centaines de prisonniers politiques retrouvent la liberté, des forums regroupant des intellectuels parlant de la démocratisation de la Syrie et de la fin de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963 voient le jour. Sous la pression de la vieille garde du régime, en particulier Khaddam qui craint l'« algérisation » de la Syrie

Orientale du Caire qui reçoit des pensionnaires qui se forment à l’égyptologie de terrain et est doté d’une imprimerie afin de publier des ouvrages Maspero fait construire un nouveau musée au Caire Les grandes découvertes : Les cachettes royales de Deir el-Bahari : dans les années 1870-80, de nombreuses stèles funéraires royales apparaissent sur le marché. Après enquête, les égyptologues découvrent une cachette dans laquelle se trouvent de nombreuses momies de pharaons prestigieux (Ramses II, Thoutmôsis

Royaume d'Égypte. Le premier président égyptien est Néguib. Gamal Abd-al-Nasser lui succède en 1954. 2. En 1956, le Canal de Suez est nationalisé 3. L'Égypte prend part à la Guerre des six jours en 1967 et subit une lourde défaite. 4. Anouar el-Sadate participe à la guerre de Kippour en 1973, mais cette guerre ne permet pas à l'Égypte de reprendre le Sinaï. 5. Accords de Camp David (1978) et au traité de paix avec Israël et provoque l'exclusion temporaire de l'Égypte de la Ligue arabe

pièces suivantes : la faveur du Roi est inconstante. Le Misanthrope, qui date de 1666, témoigne de son amertume. Les sources : Quand Molière s'empare du thème de Dom Juan, celui-ci est à la mode : en 1625, l'auteur espagnol Tirso de Molina a écrit El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (Le Trompeur de Séville et le convive de pierre) ; deux versions italiennes en ont été tirées, de Cicognini et de Giliberto, dont la seconde a servi de modèle à deux tragi-comédies françaises de Dorimond et

A rebours des prophéties annonçant la mort de l’islam politique, la réalisatrice franco-tunisienne, Nadia El Fani, fait, avec d’autres, les frais d’un retour inattendu de l’obscurantisme dans une Tunisie pourtant tenue pour être le pays arabe le plus avancé en termes de laïcité. En effet, tandis qu’en son temps, Habib Bourguiba s’autorisa à boire du jus d’orange en public durant le mois de ramadan, il ne semble plus permis, à quelques mois de la chute de Ben Ali, de revendiquer le droit à la pleine

locales, l’esprit de révolte a sans aucun doute puisé sa force au niveau régional, et a particulièrement engagé les esprits des citoyens, surtout les jeunes de la région. Sur le plan politique, la transition a été difficile. Le forcing qu'a subi Zine El-Abidine Ben Ali et qu'il l'a forcé à quitter le pays le 14 Janvier 2011 est synonyme d'apparition d'un nouveau pluralisme politique qui avait complètement disparu dans certaines régions. Marcef Monzouki fut nommé président du gouvernement de transition