El Watan

 LA SYRIE I/LE REGIME DE BACHAR AL-ASSAD À la suite de son élection, le régime se libéralise timidement, ce qu'on appelle généralement le « Printemps de Damas ». Des centaines de prisonniers politiques retrouvent la liberté, des forums regroupant des intellectuels parlant de la démocratisation de la Syrie et de la fin de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963 voient le jour. Sous la pression de la vieille garde du régime, en particulier Khaddam qui craint l'« algérisation » de la Syrie

Orientale du Caire qui reçoit des pensionnaires qui se forment à l’égyptologie de terrain et est doté d’une imprimerie afin de publier des ouvrages Maspero fait construire un nouveau musée au Caire Les grandes découvertes : Les cachettes royales de Deir el-Bahari : dans les années 1870-80, de nombreuses stèles funéraires royales apparaissent sur le marché. Après enquête, les égyptologues découvrent une cachette dans laquelle se trouvent de nombreuses momies de pharaons prestigieux (Ramses II, Thoutmôsis

héréditaire du pouvoir y compris dans les régimes de type républicain) sont autant de facteurs susceptibles d'exaspérer les populations aboutissant ainsi à des troubles. Deroulement des evenements Pays : Tunisie :(10,6 millions) ;chef d’état Zine el-Abidine Ben Ali :(1987 - 14 janvier 2011) ;debut des protéstations :17 décembre 2010 De décembre à janvier, manifestations massives et répétées, parfois émeutes, après l'immolation de Mohamed Bouazizi à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010.Le 14 janvier

» et la fraternisation avec les forces de l’ordre sont quelques exemples des méthodes d’action non-violente enseignées par CANVAS. D’autres groupes d’opposition égyptiens ont été financés par des organismes américains. Citons par exemple le parti « El Ghad » dont le secrétaire général Wael Nawara a admis avoir été financé par, entre autres, la NED, l’IRI et la NDI ou le mouvement « Kifaya » qui est soutenu par Freedom House [17]. Certaines sources bien informées affirment que l’administration Obama

circulait autour du monde sur des plateformes Internet et des réseaux sociaux très fréquentés. Les paroles résumaient les manifestations populaires dans tout le pays depuis le 17 Décembre 2011 grâce à elles l’ancien président de la République Zine El Abidin Ben Ali quitta en urgence le pays vers l’Arabie Saoudite accompagné par son épouse Leila Trabelsi et des autres membres de la famille ‘royale’. Cet évènement, qui c’est gravé dans l’histoire du pays comme une deuxième indépendance, est le

révoltée pour acquérir la liberté, une liberté pour laquelle le peuple tunisien a fait de nombreux efforts pour y parvenir, mais aussi une liberté grâce à laquelle le peuple tunisien a obtenu la dignité humaine tant attendue. Le regret de Zine el Abidine Ben Ali montré à son peuple à travers la télé n’a eu aucun effet sur le peuple tunisien. En fait, ce dernier était persuadé qu’il s’agissait d’une farce. Ben Ali avait aussi essayé de reculer l’augmentation des prix, mais cette action n’a pas

Royaume d'Égypte. Le premier président égyptien est Néguib. Gamal Abd-al-Nasser lui succède en 1954. 2. En 1956, le Canal de Suez est nationalisé 3. L'Égypte prend part à la Guerre des six jours en 1967 et subit une lourde défaite. 4. Anouar el-Sadate participe à la guerre de Kippour en 1973, mais cette guerre ne permet pas à l'Égypte de reprendre le Sinaï. 5. Accords de Camp David (1978) et au traité de paix avec Israël et provoque l'exclusion temporaire de l'Égypte de la Ligue arabe

A rebours des prophéties annonçant la mort de l’islam politique, la réalisatrice franco-tunisienne, Nadia El Fani, fait, avec d’autres, les frais d’un retour inattendu de l’obscurantisme dans une Tunisie pourtant tenue pour être le pays arabe le plus avancé en termes de laïcité. En effet, tandis qu’en son temps, Habib Bourguiba s’autorisa à boire du jus d’orange en public durant le mois de ramadan, il ne semble plus permis, à quelques mois de la chute de Ben Ali, de revendiquer le droit à la pleine

locales, l’esprit de révolte a sans aucun doute puisé sa force au niveau régional, et a particulièrement engagé les esprits des citoyens, surtout les jeunes de la région. Sur le plan politique, la transition a été difficile. Le forcing qu'a subi Zine El-Abidine Ben Ali et qu'il l'a forcé à quitter le pays le 14 Janvier 2011 est synonyme d'apparition d'un nouveau pluralisme politique qui avait complètement disparu dans certaines régions. Marcef Monzouki fut nommé président du gouvernement de transition

| Cet article possède un paronyme, voir : Printemps érable. | « Printemps arabe » | De gauche à droite et de haut en bas : manifestants le 9 février place Tahrir au Caire, Égypte ; manifestants le 14 janvier à Tunis, Tunisie ; manifestations à El Beïda le 22 juillet, Libye ; manifestations le 3 février à Sana'a, Yémen ; manifestations le 24 avril à Damas, Syrie ; manifestions le 8 juillet à Karrana, Bahreïn. | | Localisation | Monde arabe [afficher] Liste | | Date | Depuis le 17 décembre 2010