Élection présidentielle

lire et de comprendre la constitution de 58 : une vision parlementariste ( ancien de la 4eme ) et une vision « presidentialiste » ( nouveau de la 5eme ) cela va se recouper avec une distinction entre la concordance des majorité parlementaire et présidentielle et de l'autre la cohabition ou discordance. Il se trouve que la 1ere lecture plutôt parlementariste trouve une certaine application quand il y a cohabitation , en revanche la lecture + 5eme république trouve son application dans le cas de la

le président élut a proclamé l’empire. Ceci va considérablement entacher l’image de l’institution. Aussi les rédacteurs de la C de 1958 entendent rehausser la puissance du P de la R en plaçant le siège de l’autorité exécutive dans l’institution Présidentielle. Le Président est en effet le détenteur de la volonté de l’Etat comme le dira le général de Gaulle dans sa conférence de presse du 31 janvier 1964. Cette primauté se manifeste par le statut qui lui est réservé et par la variété et l’importance

furent qualifier de « courtes » , et une de « longue ». Ces période de cohabitation furent: -1ière cohabitation de 1986 à 1988. -2ième cohabitation de 1993 à 1995. -3ième cohabitation de 1997 à 2002. → Première cohabitation (1986-1988): Au élections législatives de 1986 la majorité parlementaire bascule de la gauche vers la droite, mais pas de façon franche. L' UDF-RPR n'as pas la majorité absolue (43,9%), et du fait de l'instauration du scrutin proportionnel doit s'allier au Divers Droit pour

Les irrégularités de vote ou bien les accusations d'irrégularité de vote, au Sénégal, ont souvent eu des conséquences assez graves ; comme au lendemain des élections présidentielles de 1988, la proclamation de l'état d'urgence et « l'année blanche » à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Les présidentielles de 1983 et de 1993 avaient également été violemment contestées par l'opposition qui avait fait état de fraudes massives12(*). Pour parer à toute éventualité, sinon pour s'acquitter de quelque

nous pourrons expliciter : la dynamique du système institutionnel, la dynamique électorale aux élections nationales et la présidentialisation des deux partis seront donc les thèmes exposés dans cette analyse. I) La dynamique du système institutionnel en France a) La présidentialisation des institutions En 1962, le suffrage universel à deux tours est adopté en France pour les élections présidentielles. Cette réforme constitutionnelle entraîne une modification du système des partis et favorise

des poursuites pénales, est proche de ce qu’on appelle en droit anglo-saxon, « l’impeachment ». Voyons maintenant comment argumenter ce type de défense. 1/ L’accusation a avancé un postulat qui était de dire que Laurent Gbagbo avait perdu les élections en Côte d’Ivoire et qu’il avait refusé de quitter le pouvoir. De fait toutes les violences et exactions qui en ont suivi ont été de sa responsabilité. Ce postulat, par définition n’a jamais été démontré ! Même pas à postériori. A grands renforts

LE QUINQUENNAT Le texte est issu du projet de loi constitutionnelle concernant la durée du mandat présidentiel. Il s’agit ici des motifs d’un changement de durée de ce mandat. Depuis 1873, le Président de la République en France est élu pour un mandat de sept ans. Il s’agissait à l’époque de faire incarner la stabilité et la permanence par le Président car les régimes connaissaient, et surtout durant la VIème République, une instabilité gouvernementale importante. La Constitution de 1958 instaurée

permettant la réduction du mandat à 5 ans. Depuis ce référendum, le quinquennat est définit à l’article 6 de la Constitution de la Ve république. L’établissement du quinquennat a donc eu pour effet la possible concordance des élections législatives et présidentielles avec 2 mois d’écart ce qui permet au président de voir ses pouvoirs se renforcer puisqu’il est généralement issu de la majorité parlementaire initiale. Bien que le septennat ait réussi à traverser 3 républiques donc 100 ans, il

constitution à la France, un régime semi-présidentiel -> Parlement formé de l'arsenal et du sénat. En 1962 Charle de Gaulle propose un réferendum sur l'élection du président de la république au suffrage universel direct. Les parlementaires vont utilisés la notion de censure -> Gouvernement de Georges Pompidou est renversé. Dissolution de l'assemblée nationale. 2 enjeux se profitent pour Charles de Gaulle: - Référendum ( octobre ) -> Large majorité de " oui ". - Election législative ( novembre ) -> Victoire

suffrage universel direct, une élection au suffrage indirect par le parlement en 1846 et 75, entre 1958 et 1962 le mécanisme de l'élection par un collège de grands électeurs, depuis 1962 le suffrage universel direct. Le suffrage universel direct est une forme majeure de notre Constitution, de la 5eme République. En 1958n le président de la république est élu par un collège électoral spécial qui regroupe 80 000 personnes ,ce sont les grands électeurs présidentiels qui sont des députés, des sénateurs