Élections législatives françaises de 1997

Général de Gaulle avait présenté cette votation comme un indicateur de la confiance qui lui était dévolue. Dans ce cas précis, il était allé encore plus loin puisqu’il en avait fait la condition expresse de son maintien au pouvoir. Lors des élections législatives des 18 et 25 novembre 1962, les citoyens favorables au « oui » du référendum ont donné une majorité favorable au Président. 3 Le Président du Sénat chercha pourtant à enrayer, une dernière fois, le processus en saisissant le Conseil

gouvernement. Les citoyens voteraient ensuite pour sa majorité parlementaire, de manière à ce qu’elle puisse voter les réformes promises par le Président pour lequel ils ont voté. Ce mécanisme paraît imparable. On l’entend d’ailleurs à chaque élection législative. En juin 2007 François Fillon implorait les français de « Donner une majorité claire au Président pour mettre en pratique ses réformes ». Le fait majoritaire se vérifie presque à chaque législature de la Ve république, grâce aux modes

été présenté par le général de Gaulle dans un discours prononcé place de la République à Paris, le 4 Septembre 1958. Le 28 Septembre, le projet est soumis à référendum « oui » recueillent 80% des suffrages. En Novembre 1958, des élections législatives mettent en place la première Assemblée Nationale de la 5ème République. Elles se déroulent au scrutin majoritaire à deux tours En décembre 1958, le général de Gaulle est élu président de la République par le collège électoral de

aux élections législatives. La première cohabitation dure jusqu'en 1988, date de la réélection de François Mitterrand qui dissout l'Assemblée. La deuxième cohabitation dure de 1993 à 1995 et est surnommée la « cohabitation de velours ». François Mitterrand est toujours président et c'est à Édouard Balladur que revient la responsabilité de diriger le gouvernement. La troisième cohabitation intervient de 1997 à 2002, après la victoire de la Gauche plurielle lors des élections législatives anticipées

est le cumul vertical, il désigne l’exercice de mandat par une même personne à des échelons différents, les députés-maires sont un bon exemple de ce type de cumul. Cette pratique provenant de la tradition centralisatrice française est courante dans la vie politique française, c’est-à-dire dans les relations qui existent entre les administrés et les administrateurs ainsi que les actions de ces derniers dans le but de gérer les affaires publiques à travers des mandats. En effet, il est à signaler

principe de l'égalité? Sont-elles vraiment respectées dans la réalité? Introduction : La France est le premier pays au monde à s’être doté d’une législation visant la parité politique entre les hommes et les femmes. Le président de la république française actuel a souhaité avoir un gouvernement qui respecte la loi de la parité en espérant lutter contre les inégalités entre les hommes et les femmes engendrées par des déséquilibres donnant le plus souvent l'avantage aux hommes. On peut constater cette

conduite par les États-Unis sous l'égide des Nations-Unies) (1993) Guerre civile d'Algérie (1992-2002) Guerre civile du Burundi (1993-2001) Génocide au Rwanda (1994) Conflit de Caprivi (1994-1999) Première guerre du Congo (1996-1997) Guerre civile du Congo-Brazzaville (1997-1999) Opération Infinite Reach (Bombardement des États-Unis au Soudan) (1998) Guerre civile de Guinée-Bissau (1998-1999) Deuxième guerre du Congo (1998-2003) Guerre Ethiopie-Erythrée (1998-2000) Révolution mexicaine (1910-1920)

démission en cas d’adoption d’une motion de censure ou de vote négatif sur son programme ou sur une déclaration de politique générale. De plus, le texte ne prévoit pas de séparation stricte des pouvoirs puisque le gouvernement dispose de l’initiative législative, l’Assemblée nationale peut renverser le Gouvernement et le chef de l’État dispose du pouvoir de dissoudre cette chambre. Il ne s'agit pas alors de remettre en question ce que prévoit le texte constitutionnel qui est clair par les disposions prises

qui s’invente. 1/ Manifestations de la crise . Abstentions et votes blancs et nuls : Les comportements de retrait ou de participation protestataire se développent. Records d'abstention atteints dans toutes les élections au cours des dernières 14 années (Présidentielle 2002 : 28,4%, Législatives 2002 : 35,6%). Explosion d'un "abstentionnisme dans le jeu" (ayant un intérêt pour la politique, des proximités politiques) qui, à la présidentielle de 2002, représente les deux-tiers des abstentionnistes. L'abstentionnisme

peuple, il es normal qu’il assume aussi la responsabilité de sa politique, de ses engagements, ce que N. Sarkozy revendique pleinement. Quant au Premier Ministre, il est nommé par le Président de la République (art 8-1) à la suite des élections législatives qui déterminent la majorité parlementaire dont il est le leader. Il peut être ou non du même bord politique que le Chef de l’Etat, si non on assiste à une période de cohabitation. Le Président, pour mener à bien son programme a besoin d’une