Electre Comique Ou Tragique

trompe presque toujours ... Nous sommes conseillés par et menés par des moralistes d’occasion qui ne savent que se mettre en délire et donner leur mal à d’autres. » 5. Jean-Paul Sartre, Les Mouches, Acte II, scène 3, 1943, © Éditions Gallimard : « ELECTRE : Comment osez-vous parlez d’Agamemnon ? … Elle danse. » Lectures et documents complémentaires : 1. Lectures complémentaires : Lucrèce, De rerum natura (Ier siècle av. J. C.) : « Douceur lorsque les vents soulèvent la mer immense … Que si

de l’argent (tout comme sa sœur Sidonie. Il veut cependant rester impartial, neutre, objectif sur les conséquences de l’entrée de l’argent dans la vie de la Bourse. Saccard a une affaire avec un banquier juif. Zola veut qu’il y ait un personnage comique dans son texte, mais il n’est pas encore défini. Le premier drame est l’apogée d’un homme est la banqueroute (drame de la Bourse) et ses conséquence et l’intrigue secondaire est le « drame passionnel » : il veut que tout s’écroule, que tout bascule

-C., mort en Macédoine en 406 av. J.-C., est un poète tragique grec.  Né dans une famille modeste, il reçut cependant une éducation soignée : il aurait étudié la peinture, et les leçons du philosophe Anaxagore et des sophistes, comme Protagoras et Prodicos, sont sensibles dans son œuvre. À la différence d'Eschyle et de Sophocle, il n'eut pas d'activité politique et fut essentiellement un écrivain. En 455, il présenta au concours tragique sa première pièce, les Péliades, et obtint le troisième

de seconde (le Romantisme) percevoir les renouvellements de la forme théâtrale par rapport aux règles classiques la spécificité du langage théâtral : maîtriser la notion de double énonciation propre au langage théâtral registre comique, registre tragique délibérer comparaison de mises en scène depuis le théâtre classique jusqu’au nouveau théâtre (didascalies, indications de mise en scène données par les personnages, et interprétation des différents metteurs en scène) être capable

pronom «nous, nous sommes les vainqueurs vivants » vient appuyer l’opposition sur laquelle se fonde le discours. L’anaphore du présentatif «c’est » et du connecteur spatial «ici », donne au style énergie et oralité tout en renforçant l’ironie tragique. Hector invite les morts à voir et à entendre. A partir de la ligne 5, Hector s’implique directement en passant du «nous » au «je ». De chef de guerre parlant au nom de son pays, il devient simplement un homme vivant. Il affirme sa honte d’être

typiquement romain, ballet à sujet mythologique, souvent tragique. Elle succéda au mime où un acteur-danseur unique (le pantomimus) mimait une histoire dans un spectacle sans paroles. Il jouait à lui seul tous les personnages et était accompagné par un chœur de danseurs et un petit orchestre. L'acteur portait un beau costume de soie et un masque coloré. De forme allongée, les masques tragiques traduisaient émotion et violence. Les masques comiques reproduisaient fidèlement les traits du visage humain

Le savon ça mousse de temps en temps. Le shampoing aussi. GARGANTUA de Rabelais LES ESSAIS de Montaigne HAMLET de Shakespeare L'ILLUSION COMIQUE de Corneille DOM JUAN de Molière GEORGE DANDIN de Molière LE MISANTHROPE de Molière MANON LESCAUT de l'abbé Prévost L'ÎLE DES ESCLAVES de Marivaux LES FAUSSES CONFIDENCES de Marivaux LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD de Marivaux LES LETTRES PERSANES de Montesquieu ZADIG de Voltaire CANDIDE de Voltaire L'INGENU de Voltaire LA PRINCESSE DE BABYLONE

plates ou suivies et croisées; Le Lipogramme (lipo= disparaître) ; l’assonance (répétition de voyelles), l’allitération ( répétition de consonnes) ; les dentales (ex : T.T.T) ; les sons nasalisés (un, on,en). Harmonie suggestive : « pétarade » comique Harmonie initiative : analogie (rapprochement, comparaison) entre le sujet et la sonorité (ex : pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes) le son « s » imite ce qui est dit : les serpents sifflent. 2) Eléments satiriques. Heureux

instincts, à commencer par une cupidité féroce. Si Egisthe dans les Mouches de Sartre paraît plus pondéré, ce n’est qu’une illusion car il s’en prend à sa propre famille, méprisant son épouse, sa complice dans le meurtre, et punissant sa belle-fille Electre. Le roi mourant de Ionesco, s’il est dépossédé de son pouvoir et par là-même pitoyable, n’en demeure pas moins inquiétant dans sa mégalomanie et son autoritarisme absurde.                 Les dramaturges ont donc à leur disposition toute une série

peut adapter situations, événements et personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer (pathétique : Fantine dans Les Misérables) ou pour mieux dénoncer (Javert dans Les Misérables), ou encore pour faire rire (comique, ironie). L’auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démontration plus évidente : l’avarice d’Harpagon dans L’Avare est considérablement grossie par rapport à la réalité ; Candide n’a pas de réelle profondeur psychologique et sa naïveté permet