Electre Comique Ou Tragique

C'est le chant choral de sortie dans la tragédie grecque.  !!-Fable : C'est la suite de faits constituant la narration d'une oeuvre. (Dont les 6 éléments de la tragédie grecque selon Aristote) -Farce : Comédie vulgaire souvent utilisée avec des comiques de gestes et de grimaces. -Feux de la rampe : Appareil d éclairage qui peuvent être des bougeoirs aux temps de Molière, des lampes, des projecteurs, éclairant la scène du bas vers le haut. comédie : c est une action scénique qui provoque le rire

mot fonde le théâtre sur le « regard » (theatron, du verbe grec theomai, « voir »). Le plus ancien texte qui nous soit parvenu sur les origines du théâtre date de 330 avant J.C. Il s’intitule La poétique d’Aristote. D’après ce dernier, le théâtre tragique serait issu de la religion, notamment du culte des morts et surtout du culte de Dionysos (Dieu du vin et de la fête). Il s’agissait de cérémonies religieuses, évoquant des épisodes de la vie de ce dieu. Le terme de « tragédie » vient du grec « trogos »

VOLTAIRE VOLTAIRE Oreste 1 ORESTE Tragédie en cinq actes. Représentée, pour la première fois, à Paris, le 12 janvier 1750. Personnages ORESTE, fils de Clytemnestre et d’Agamemnon ÉLECTRE, sœur d’Oreste IPHISE, sœur d’Oreste CLYTEMNESTRE, épouse d’Égisthe ÉGISTHE, tyran d’Argos PYLADE, ami d’Oreste PAMMÈNE, vieillard attaché à la famille d’Agamemnon DIMAS, officier des gardes SUITE Le théâtre doit représenter le rivage de la mer ; un bois, un temple, un palais, et un tombeau

livrets d’opéras de Verdi ont pour origine des pièces de Hugo ou de Shakespeare (dont je viens de rappeler que ce sont les romantiques qui le mettent à la mode). 10. Autre confusion : entre le genre dramaturgique codé qu’est la tragédie et le tragique. Ainsi, le genre peut être défini de la sorte : pièce à sujet mythologique ou historique (ou encore biblique), mais dont l’action se situe nécessairement dans un passé lointain, dont les personnages sont d’une haute lignée. Ceux-ci appartiennent

platonicienne du théâtre. b- Aristote, La Poétique Aristote s'oppose à la conception de la mimesis et à la condamnation du théâtre formulées par son maître Platon : « L'épopée, la poésie tragique, et aussi la comédie, le dithyrambes, et même, pour l'essentiel, le jeu de la flûte et celui de la cithare sont tous, dans l'ensemble, des imitations ». (Photocopie de l’extrait de La Poétique donné dans Esthétique

polémique, commémorer pour l’épique, faire son deuil ou se plaindre pour l’élégiaque, célébrer pour le lyrique, représenter/faire connaître pour le didactique, faire rire pour le comique. " 10 Genres et thèmes Dans la tradition littéraire, les registres sont liés à des genres (la tragédie et le tragique, la comédie et le comique, l’épique et l’épopée, etc.) Marielle Macé rappelle que pour Aristote et pour l'âge classique, " les langages sont aussi nettement hiérarchisés que les passions " et que "

contre le genre tragi-comique très en faveur. La Sophonisbe de Mairet, au XVIIe s., marque la victoire d'un genre tragique régulier qui connaîtra son avènement avec Corneille et Racine. Plus tardive en Allemagne, la tragédie passe, au XVIIe s., par des traductions de Sénèque et de Sophocle. En Angleterre et en Espagne, l'évolution de la tragédie est différente : Shakespeare, Calderón et Lope de Vega se démarquent des exemples antiques et deviennent les modèles de formes tragiques différentes, parfois

pièce à « matière » rare, où les actions et les évènements évoqués sont peu nombreux ? Certainement ceux qui ne sont jamais allé au théâtre. Cet inconvénient dramaturgique introduit une pause dans l’action. Pour le monologue du jardinier dans Electre, il se passe pendant l’entracte, la pause la plus longue d’une pièce. Par définition, un monologue est statique. Les dramaturges essayent de tourner la difficulté en lui donnant l’apparence d’un dialogue fictif, qui peut devenir un véritable polylogue

moyen-âge (fin du 16ième siècle) le théâtre connait un immense succès populaire. William Shakespeare écrit aussi bien pour le peuple que pour le courtisan. Le bâtiment est une sorte d’œuf en bois où il n’y a pas de rideau (juste derrière). On mélange le tragique et le grotesque : les costumes sont somptueux. Un tel théâtre est appelé « théâtre Elisabéthain » parce que l’Angleterre est gouvernée par la reine Elisabeth (elle encourage ce genre de théâtre dans lequel on joue des pièces plus ludiques et consacrées

un grand et beau cri ».Dans cette perspective, le conflit dans la pièce s’apparente-t-il aux rapports familiaux ou au langage lui-même porteur de dissensions ? De même, le tragique s’articule en fonction de trois ressorts, en l’occurrence l’incompréhension, le vide et l’absence : comment ces vecteurs aiguisent-ils le tragique de la pièce ? Enfin, selon quelles modalités le dramaturge dédramatise, ironise et démystifie-t-il la mort ?Juste la fin du monde, une pièce résolument modernePenser la mort