Electre Et Vengeance

qu’elle «n’y sera pas longtemps». Scène 7 : Il s’étonne auprès d’Ériphile de cet accueil d’Iphigénie et de la volonté des Grecs de le voir renoncer à son amour pour elle. Scène 8 : Ériphile se réjouit, se voyant «ne pas pleurer seule, et mourir sans vengeance». Acte III Scène 1 : Agamemnon, qui fait semblant de consentir au mariage afin d'attirer Iphigénie vers l'autel, ordonne à Clytemnestre de ne pas y assister et de s'éloigner du camp. Scène 2 : Elle s'étonne de cette exigence, mais s’y soumet. Scène

Scène 7 : Il s’étonne auprès d’Ériphile de cet accueil d’Iphigénie et de la volonté des Grecs de le voir renoncer à son amour pour elle. Scène 8 : Ériphile se réjouit, se voyant « ne pas pleurer seule, et mourir sans vengeance ». Acte IIIScène 1 : Agamemnon, qui fait semblant de consentir au mariage afin d'attirer Iphigénie vers l'autel, ordonne à Clytemnestre de ne pas y assister et de s'éloigner du camp.Scène 2 : Elle s'étonne de cette exigence,

d'Apollon, qui excellait dans la médecine, ayant usé des secrets de son art pour ressusciter Hippolyte, sans l'assentiment des dieux, fut foudroyé par Jupiter. Apollon, furieux, perce de ses flèches les Cyclopes, qui avaient forgé la foudre. Cette vengeance, regardée comme un attentat, le fit chasser de l'Olympe. Exilé du ciel, condamné à vivre sur la terre, Apollon se réfugia chez Admète, roi de Thessalie, dont il garda les troupeaux. Tel était le charme qu'il exerçait autour de lui dans les campagnes

Pondichéry – Avril 2013 ....................... 121 Pierre Corneille, Horace, acte IV, scène 5 (extrait), 1641 ............................ 122 Alfred de Musset, Lorenzaccio, acte IV, scène 11, 1834 ............................. 123 Jean Giraudoux, Électre, acte Il, scène 9 (extrait), 1937 ............................... 125 Corrigés Question ........................................................................... 126 Commentaire .................................................................

d'Apollon, qui excellait dans la médecine, ayant usé des secrets de son art pour ressusciter Hippolyte, sans l'assentiment des dieux, fut foudroyé par Jupiter. Apollon, furieux, perce de ses flèches les Cyclopes, qui avaient forgé la foudre. Cette vengeance, regardée comme un attentat, le fit chasser de l'Olympe. Exilé du ciel, condamné à vivre sur la terre, Apollon se réfugia chez Admète, roi de Thessalie, dont il garda les troupeaux. Tel était le charme qu'il exerçait autour de lui dans les campagnes

qu’elle «n’y sera pas longtemps». Scène 7 : Il s’étonne auprès d’Ériphile de cet accueil d’Iphigénie et de la volonté des Grecs de le voir renoncer à son amour pour elle. Scène 8 : Ériphile se réjouit, se voyant «ne pas pleurer seule, et mourir sans vengeance». Acte III Scène 1 : Agamemnon, qui fait semblant de consentir au mariage afin d'attirer Iphigénie vers l'autel, ordonne à Clytemnestre de ne pas y assister et de s'éloigner du camp. Scène 2 : Elle s'étonne de cette exigence, mais s’y soumet

dans son banissement, Electre réuissit à éloigner son frère Oreste ainsi que son fidèle Pylade. Agamemnon quand à lui, fut assasinée par Egisthe et Clytemnestre qui le poignardèrent pendant son bain. Plus tard, la légende raconte qu'Oreste se serait mis en route pour Mycènes et aurait rencontré sa soeur sur la tombe de leur père, et celle-ci, après avoir laissé exploser sa joie se retrouver son jeune frère, redevient la jeune femme révoltée qui réclame la pire des vengeances: tuer leur mère pour

confier à elle ; c’était sa seule amie dans ce guet-apens, la mort : elle avait d’ailleurs un air de famille, un air qu’il reconnaissait, et il appela ses enfants, le garçon d’abord, Oreste, pour le remercier de le venger un jour, puis la fille, Électre, pour la remercier de prêter ainsi pour une minute son visage et ses mains à la mort. Et Clytemnestre ne le lâchait pas, une mousse à ses lèvres, et Agamemnon voulait bien mourir, mais pas que cette femme crachât sur son visage, sur sa barbe. Et

XXe siècle (1882-1944), revisite la mythologie grecque de manière originale comme ici dans sa comédie Amphitryon 38 (1929) ou encore dans la perspective plus tragique de l’atmosphère de l’avant-guerre La guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) ou Électre (1937). Ce texte B met ici en scène la même situation que le texte A ; Giraudoux renouvelle cependant, avec humour, les éléments traditionnels du mythe en représentant un Jupiter bien « humain » et en renforçant la figure d’Alcmène. Éditions GRASSET

qu'on a tout perdu, que la ville brûle, que les innocents s'entretuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ? Électre - Demande au mendiant, il le sait. Le mendiant - Cela a un très beau nom, femme Narsès. Cela s'appelle l'aurore. JEAN GIRAUDOUX, Electre, Acte II, scène 10. II- Les pronoms et l’énonciation A- Les pronoms Texte d’étude Par cette liberté entrèrent en louable émulation de faire