Electre Giraudoux Scene 13 Acte Ii

moderne. En revanche, l’engouement pour la mise en scène et l’adaptation d’auteurs tragiques, notamment grecs, que Georges Banu interrogeait dans « Tragédie grecque, défi de la scène contemporaine1 », ne faiblit pas. En ce seul printemps, on peut voir dans l’hexagone Les Bacchantes d’Euripide à la Comédie française, Le Sang des Atrides, d’après L’Orestie d’Eschyle, au Théâtre de la Bastille, Ajax de Sophocle au Théâtre du Granit de Belfort, Electre de Sophocle au Théâtre Sorano de Toulouse, Hécube

apparaissant à son fils a son pendant dans le film. Chez les écrivains un peu plus chevronnés, on peut mentionner que Rudyard Kipling, dans son ouvrage destiné à la jeunesse Histoires Comme Ça, a inséré le fameux poème « IF » qui est très largement inspiré de la tirade de Polonius (Acte I, Scène 3). Dans la littérature dite adulte, Hamlet, en époux volage, a aussi fait des petits un peu partout. Mais c'est quoi Hamlet ? À quoi ou à qui peut­il nous faire penser ? Tout d'abord, si l'on s'intéresse à sa filiation, et l'on sait à quel point Shakespeare était féru de

musicienne qui jouait du violon dans un orchestre itinérant et était professeuse de piano. Comme l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour

musicienne qui jouait du violon dans un orchestre itinérant et était professeuse de piano. Comme l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour

texte et représentation » Problématique : Comment porter sur scène la révolution romantique ? Lectures analytiques : L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition L.A. n°2 (Acte II, scène 2) : le monologue de la reine L.A. n°3 (Acte III, scène 2) : la tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents complémentaires : Art poétique

fortement marquée par le goût baroque de l’excès. Toute la tragédie est centrée sur la vengeance. La violence est à l’origine du couple, elle doit être à sa fin. Depuis qu’elle a rencontré Jason, Médée a les mains souillées de sang. Le dernier acte de violence de Médée est une réponse à l’inconstance de Jason. Il faut souligner que chez Corneille, Jason a les traits des séducteurs présents dans ses pièces. Ce trait est très accentué chez Corneille en comparaison avec Euripide et Sénèque. On

apparaît - Par la restructuration du système d’enseignement, on réforme le baccalauréat  Le latin et le grec n’est plus obligatoire → De plus en plus, on commence à faire le bac des lettres modernes, ainsi un grand nombre d’écrivains entrent en scène - On fonde les grands prix littéraires comme le prix Goncourt (1902) ou le prix Femina (1904) pour récompenser les écrivains 1 Ne pas confondre avec le roman d’aventures (kalandregény en hongrois) 6 Histoire littéraire du XXe siècle - Les gens

SÉQUENCE N° 1 « Les Justes de Camus, une tragédie moderne ? » Objet(s) d'étude : Théâtre, Texte et Représentation. § Œuvre intégrale : Les Justes de Camus Textes expliqués en classe 1.- La scène d’exposition du début jusqu’à « tyrannie ». 2.- Acte II Dora et Kaliayev : depuis « Kaliayev la regarde. Kaliayev, après un silence. Personne ne t’aimera jamais comme je t’aime (…) Kaliayev, avec violence. Le lendemain. » 3.- Le dénouement depuis « Dora. Non

Pays Bas, neutres et peu défendus : les Pays Bas sont battus en 5 jours, les troupes françaises montent vers le nord pour sauver la Belgique, qui capitule néanmoins le 27 mai. Pendant de temps, les Allemands percent les défenses françaises à Sedan le 13 mai et foncent sur la mer pour encercler les troupes françaises. Le piège se referme sur Dunkerque. Du 28 mai au 3 juin, 335 000 hommes dont 215 000 Anglais sont évacués vers la Gde Bretagne, des centaines de milliers de soldats français, pris au piège

parterre pour vous attirer, pas un bassin autour duquel tourner, pas un ancrage pour l’imagination dans cette géométrie droite, sinon à un bout le parc à bagnoles, et à l'autre un chantier de terrassement avec grues el bulldozers. En fond de scène sur le ciel bleu, un décor de cubes et de parallélépipèdes qui écrasait, mal, le souvenir des bidonvilles et des cahutes banlieusardes. Comment ne pas se désoler dans ce vide ? R. IKOR, Le Tourniquet des innocents, Éd