Électronique de puissance

(56) Etude des documents 1 et 2 1- Relevez deux éléments qui prouvent la puissance économique du Japon. Deux réponses parmi les suivantes sont attendues : - membre du G8 - 2e producteur mondial de richesse (PNB) - 3e puissance commerciale - 2e rang mondial pour le nombre de grandes entreprises - 3e investisseur mondial 2- A quel secteur industriel appartient la firme japonaise Sony ? Sony fabrique du matériel électronique. 3- Qu'est ce qui explique la réussite de Sony ? Montrez que Sony est

L’ELECTRICITE 1. Le courant électrique 1.1 Les atomes 1.2 Le noyau 1.3 Le nuage électronique 1.4 La tension électrique 1.5 Dipôle 1.6 Le courant électrique 2. Lois des tensions 2.1 Loi des branches 2.2 Loi des mailles 2.3 Loi des nœuds 2.4 Quelques relations fondamentales 2.5 Lois Ohm 2.6 La loi de puissance 2.7 Montage en série et en parallèle 3 Les mesures électriques 3.1 Le multimètre 3.2 Contrôle de continuité 3.3 Court circuit à la masse 3.4 Court circuit au plus 3.5 Court circuit mutuel 3

L’ELECTRICITE 1. Le courant électrique 2 1.1 Les atomes 2 1.2 Le noyau 2 1.3 Le nuage électronique 2 1.4 La tension électrique 3 1.5 Dipôle 3 1.6 Le courant électrique 4 2. Lois des tensions 4 2.1 Loi des branches 4 2.2 Loi des mailles 5 2.3 Loi des nœuds 6 2.4 Quelques relations fondamentales 7 2.5 Lois Ohm 8 2.6 La loi de puissance 9 2.7 Montage en série et en parallèle 9 3 Les mesures électriques 11 3.1 Le multimètre

Courants harmoniques e) Surtensions à fréquence industrielle f) Déséquilibres de tension La position de la NFC 15-100 « Les courants harmoniques sont générés principalement par les appareils dont l’alimentation, conçue à base d’électronique de puissance, absorbe des courants non sinusoïdaux (……) la déformation est caractérisée par un taux de distorsion en intensité (THDi) (…..) » « Les courants harmoniques peuvent être source de perturbations localement, mais aussi augmenter le niveau de distorsion

W/cm2 durant des durées d’interaction comprises entre 10 –8 s et quelques secondes ; L Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite. © Techniques de l’Ingénieur, traité Électronique E 4 220 − 1 LASERS POUR USINAGE _________________________________________________________________________________________________________________ — les procédés athermiques tels que la thermoélasticité, la photoablation et le choc-laser

Claude Chevassu Présentation de l'électronique de puissance : L'électronique de puissance a pour but de modifier la présentation de l'énergie électrique avec un rendement maximum. Modifier la présentation de l'énergie électrique veut dire que : • on transforme l'alternatif en continu : montages redresseurs, • on transforme le continu en alternatif : montages onduleurs, • on modifie la valeur efficace d'une tension alternative : montages gradateurs, • on modifie la valeur moyenne d'une tension

d’affecter le fonctionnement des récepteurs. Parfois, cette chute de tension est telle qu’elle est perceptible sur les appareils d’éclairage. Pour remédier à ces inconvénients, les règlements de quelques secteurs interdisent, au-dessus d’une certaine puissance, l’emploi de moteurs démarrant en direct. Se reporter aux pages K34 à K39 du catalogue Distribution BT 1999/2000 et aux tableaux des chutes de tension admissibles selon la norme NFC 15-100. En fonction des caractéristiques du moteur et de la charge

Electrostatique, Transfert de chaleur, Optique, Electronique & systèmes embarquées, Electronique Analogique/Numérique, Electrotechnique, Electronique de puissance, Semi-conducteurs, Microprocesseurs, Instrumentation & Capteurs, traitement de signal, Automatique & Robotique, Moteurs électriques, conception et simulation des systèmes mécatroniques avec « CATIA », RDM, MMC, Mécanique des fluides, Systèmes pneumatiques/ Hydrauliques, Mécanique de l’automobile, Electronique de l’automobile. Compétences Informatique:

sensibilité 3.1 Forme du couple de récupération . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Modes de Contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 Contrôle à coefficient d’amortissement constant . . 3.2.2 Contrôle à β optimal avec écrêtage de la puissance 3.2.3 Contrôle par latching . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.4 Comparaison et bilan des modes de contrôle . . . . 3.3 Etude de sensibilité des « outils » . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Sensibilité au temps de simulation . . . . . . . . .

..................................................4 I.7 LE FILTRE DE SORTIE ..................................................................................................................................................4 I.8 AMPLIFICATEUR DE PUISSANCE ..................................................................................................................................4 I.9 PERFORMANCES GLOBALE ........................................................................................