Élégie

fleur qui clôt le texte semble restaurer chez le poète cet espoir là. CONCLUSION Ce poème peut être l’un des plus beau écrit a la mémoire de Léopoldine qui sa mort a profondément bouleverse son père Victor Hugo et il exprime a travers cette élégie sa peine de l’avoir perdue. Léopoldine retient l’attention par la beauté de la description du paysage ainsi que le lyrisme pathétique qui teint ses vers. Il cherche a la ressuscitée grâce aux images suivantes « métaphores, litote, accumulation de

fut Jupiter (ou Zeus dans la mythologie grecque) qui devint le maître du monde soit du ciel. L’âge d’argent débutait. On retrouve également des évocations de l'âge d'or chez d'autres auteurs et poètes latins tels que Tibulle, dans l'une de ses Élégies, et chez Virgile, dans les Géorgiques. Le mythe de l'âge d'or prit une importance particulière sous Auguste qui apparaissait alors comme l'homme capable de ramener l'humanité, sinon à l'âge d'or, du moins à un nouvel âge meilleur que celui dans lequel

Antoine et Cléopatre (la célèbre bataille d'Actium menée par Auguste en – 31). Tibulle chante surtout l'amour avec ses joies, ses espoirs, ses déceptions, ses souffrances ; il exprime aussi son dégoût pour la vie turbulente (comme dans un poème :Elégies, I, 10 ) son désir de tranquillité, son goût pour la campagne, sa tristesse face à la mort qui le ravit fort jeune. Tibulle fait connaissance, à Rome, d'une jeune femme qu'il apelle Délia et qui se nommait Plania selon les rumeurs et se fut le

révéler qu'il est poète. Les vers que lui inspire Hostia le désignent bientôt au patronage de Mécène et aux faveurs de son maître. Cependant Properce refusa toujours d'abaisser « l'Epopée » à ces adulations qu'il laisse tomber sans scrupule dans des élégies, dans lesquelles le nom du Triumvir(titre porté par Pompée), n'est presque jamais séparé de celui de Cynthie, le nom sous lequel le poète a célébré sa maîtresse. La curiosité des critiques a dû naturellement se porter sur la femme qu'il a immortalisée

l’irruption du recueillement. - Les pleurs de la déesse (cf. v.2) annoncent le début de la cérémonie funéraire + périphrase qui désigne le tombeau, la sépulture. - Allusion à l’Anthologie Palatine et à la crainte du corps mutilé + Ovide, Les Tristes I, « élégie 2 ».  sorte de protection divine accordée à la jeune défunte et qui contrebalance l’horreur du décès. 18 Aux monstres dévorants eut soin de le cacher. 19 Par ses ordres bientôt les belles Néréides - L’adjectif « humide » renvoie à un motif virgilien

Texte 2 : Élégies (Tibulle) COMMENTAIRE Tibulle est un poète élégiaque romain du premier siècle avant J.C. Son œuvre est aujourd’hui connue sous le nom d’Elégies, en trois tomes, dont le dernier n’est pas entièrement écrit de sa main. Ce passage, situé dans le premier tome, est adressé à Messala qui doit se rendre en Orient pour une expédition militaire à laquelle Tibulle a été forcé de prendre part. Dans cette période de troubles, le départ a dû être décidé précipitamment et

EXPOSE DE FRANCAIS THEME : ELEGIE 2012-2013 COLLEGE DE LA RETRAITE TERMINALE C EXPOSE DE FRANÇAIS THEME : L’ELEGIE DANS ALCOOLS NOMS DES EXPOSANTS -EDONGO AXEL (CHEF) -NOUHO ADAMA -NZADDI ULRICH EXAMINATEUR : Mr MEBARA PLAN DE L’EXPOSE COMPETANCES ATENDUES INTRODUCTION 1-ORIGINE DE L’ELEGIE 2- PRESENCE DE L’ELEGIE DANS L’OEUVRE a- LYRISME DE L’AUTEUR b- L’ELEGIE : SOURCE D’INSPIRATION 3- EXPRESSION DE L’ELEGIE DANS L’ŒUVRE

Tibulle :  Commentaire Elégie 3, vers 35-56 On peut consulter aussi :   http://membres.lycos.fr/tibullus/index.htm Ou encore : Tibulle Elégies, livre 1 de J.M Mondoloni, dans la collection 40/4 chez Ellipses (Etudes antiques), dont je me suis largement inspirée. Il serait bon aussi de relire Virgile, bucolique 4, pour comparer et opposer ces textes. Introduction : -Situer Tibulle et son époque. -son œuvre (essentiellement les 10 élégies du premier livre, puisqu’il n’est pas certain que les élégies du 2° livre

 Fiche d'aide pour l'entretient Louise Labé : (1524-1566) Poétesse de l'école lyonnaise formée autour de Maurice Scève, qui fut l'une des plus grandes femmes de lettres du XVIe siècle. Son oeuvre :- Sonnets - Elégies - Le Débat de Folie et d'Amour Née à Lyon, elle était la fille d'un riche cordier, Pierre Charly (ou Charlin), surnommé Labé. Elle reçut une bonne éducation - enseignement de l'italien, du latin et de la musique - et fut instruite au maniement des

Dieu des amours et qui est issu du recueil Élégies en 1784 mais ce poème n’appartient à aucuns mouvements littéraires ou poétiques particulier. Le fait qu’Evariste de Parny s’adresse au Dieu des amours est assez plaisant dans ce poème ça change des multiples poèmes d’amour qui s’adresse soit à l’être aimée ou bien à l’aimant. Notre anthologie se poursuit avec une poésie de Marceline DESBORDES-VALMORE qui est Qu'en avez-vous fait ? Issu du recueil Elégies écrit en 1818-1819 et qui appartient au