Elle était Déchaussée Elle était Décoiffée

: « Elle était déchaussée », Les Contemplations , Victor Hugo Topos : Image récurrente en poésie Onirique → onus(latin) : rêve locus amoenus  : Lieu qui n’est pas troublé, fait pour l’amour) Thèmes  : Nature, beauté, idéalisation, admiration, sentiments amoureux Le poème « Elle était déchaussée » , est

Introduction: Le poème que nous allons étudier ici se trouve dans le premier livre du recueil Les Contemplations : Aurore, il se nomme elle était déchaussée. Il a été écrit en 1853 par Victor Hugo, qui est une figure incontournable du 19ème siècle. C’est un des rares poèmes du recueil où la douleur n’est pas témoignée. Le poème évoque un souvenir de jeunesse: le bonheur d’une rencontre amoureuse éphémère. Problématique: Qu’est-ce qui donne

Contemplations(1856) « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » Question : Comment la rencontre amoureuse est-elle mise en scène ? Introduction Présentation de l’auteur : (à développer : Victor Hugo, chef de file du romantisme, dramaturge, romancier et poète) Présentation du poème : Poème extrait des Contemplations, recueil écrit en exil, comportant deux parties : « Autrefois » et « Aujourd’hui ». La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace la frontière entre ces deux mondes. « Elle était déchaussée, elle était

thèmes universels tels que les souffrances, l'amour, les passions et la mort. Tout au long du premier livre, "Aurore", Victor Hugo fait l'éloge d'une jeunesse retrouvée à travers ses souvenirs, notamment dans le poème écrit en 1853 intitulé "Elle était déchaussée"  soumis à notre étude. Dans celui-ci, le poète, séduit par la beauté d'une jeune inconnue, relate de son invitation amoureuse au caractère idyllique voire mystique.  Il sera donc question pour nous de déterminer quels sont les traits

est jolie et attirante. L'adjectif qualificatif "décoiffée" ramène à ses cheveux, qui à l'époque était un signe de sensualité (de même pour "déchaussée") => ces deux extrémités attirent la sensualité de la femme (...) Plan: Introduction I) Les sentiments et sensations des deux personnages II) L'amour s'accorde avec la nature III) Mise en scène du coup de foudre Conclusion Poème étudié: Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants

Marouane Zaboul Dissertation 1 Sujet  : Montrez que Charles Baudelaire et Victor Hugo, dans leurs poèmes respectifs « À une passante » (p.29) et « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » (p.19), présentent le thème de l’amour sous des angles très différents. La discussion entre Nihan et Kamal dans le film turc « Kara Sveda (l’amour éternel) » durait depuis quelques heures concernant ce sujet d’une beauté inexplicable, mais d’une complexité infernale. L’amour, ce sentiment

omniprésence du « je », les textes sont raconté à la première personne du singulier « je partirai. » (Demain dès l'aube) De plus nous remarquons une ponctuation forte très marquée «Oh ! Comme les oiseaux chantaient au fond des bois». (Elle était déchaussée, elle était décoiffée) Tous ces éléments ainsi que la présence de nombreuses figures de style (personnification au texte 1 « comme l'eau caressait doucement le rivage ») permettent d’introduire le lyrisme. Le lyrisme est un genre que l’on retrouve dans

Victor Hugo « Elle était déchaussée, elle était décoiffée… » Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi, qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c’est le mois où l’on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive

Commentaire 1ère Partie « Elle était déchaussée elle était décoiffée » Victor Hugo Plan détaillé Introduction : situer le poète dans son époque ; présenter le recueil puis la poésie. I- Le lyrisme 1) La femme et le poète : l’homme parle, la femme se regarde.« moi » « je » « elle » la femme n’est pas nommée ; le poète utilise les pronoms moi et je. 2) Les jeux de regards : ils sont déterminants pour la naissance des sentiments « elle me regarda pour la seconde fois »

Victor Hugo : elle était déchaussée Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ; Elle me regarda pour la seconde fois