Éloquence

expressions et marques d’outrage (l.9) de la part de Philaminte et Bélise. La servante se place en position d’infériorité en s’adressant aux deux femmes (l.32).Deux langages opposés, pour mieux servir la satire :Les femmes savantes parlent avec éloquence, emploi d’un vocabulaire soutenu (l.11, l.30). La servante admet ne pas posséder un verbatim aussi riche. Molière exagère leur lexique, déjà si différent, et leurs réactions, afin de se moquer des trois femmes. Les deux savantes multiplient les preuves

-« le coche » : grande voiture @rée par des chevaux servant au transport des voyageurs. -« son équipage » : ses bagages. -« facile à déconcerter » : facile à embarrasser, à désarçonner. -« ce dessein » : ceGe inten@on. -« mon éloquence scolas@que » : « éloquence » = rhétorique = art oratoire = art du discours expressif, entraînant, frappant, convaincant, persuasif ; « scolas@que » ici = du scolas@cat : maison où les jeunes religieux achèvent leurs études ; études auxquelles ils se livrent

ponctu, incompréhension de R avec les pts de susp- panique pour Cy, didas : «reculant avec effroi dans la nuit» + «que l’émotion gagne de + en +», réaction disproportionnée de Cy qui profite de l’obscurité, «...» montre son embarras mais retrouve son éloquence.- phrase interro «sans se voir» (l.19) => incompréhension de R- thème de la vue s’oppose au thème de l’éloquence «se parler doucement sans se voir»(l.18), sc de galanterie, voca précieux «adorable» (l.20), «doucement» (l.18)- allitération en -s

». Il est très courant qu’un noble se fasse connaître en se mettant au premier plan de la sphère publique et politique. D’ailleurs, ce ne sont pas tant ses oraisons funèbres qui le fit découvrir au grand public mais c’est plutôt grâce à son éloquence et son audace lorsqu’il s’attaque en justice au proconsul « Gnaeus Cornelius Dolabella » en ayant pour chef d’inculpation la « concussion » (ligne 4). Ses efforts fut vaincs puisque Gnaeus Cornelius Dolabella est acquitté avec l’appui des juges tous

en M et assonance en OU) + fatalité de son destin : « qui m’entrainait à ma perte » - Aboutit sur la définition de la femme fatale qui entraine son malheur et celui d’autrui : + Même si DG avait un atout pour lutter contre les plaisirs : « mon éloquence scolastique » + il succombe aux charmes de Manon avec le contraste plaisir/malheur : « son penchant au plaisir…qui a causé tous ses malheurs et les miens » ⇨ dimension moraliste car ce n’est pas de sa faute si DG a succombé : c’est le destin et

interlocuteurs et joue sur les sentiments, malheureusement Claude Gueux à tué un homme et à cette époque, au XIXe siècle, la loi est la loi, qui tue un homme est tué en retour . L'accusé est donc condamné à mort, malgré son talent d'orateur, son éloquence. C. Un discours éloquent peut avoir des retombées positives sur une période, mais être inefficace à long terme. Dans la fable le paysan du Danube, le harangueur fait preuve d'un talent exceptionnel en suscitant tout d'abord la curiosité de l'assemblée

Depuis l’Antiquité, le discours rhétorique et l’éloquence prônent une nouvelle forme d’arme : la parole. A travers la puissance de son éloquence s’exprime la force de la parole. En effet, en nous appuyant sur la fable de Jean de la Fontaine « La Génisse, la Chèvre et la Brebis », nous pouvons nous demander, en quoi, grâce à sa parole, la démonstration d’abus de pouvoir du lion le dispense d’user de la force ? Nous étudierons tout d’abord le rapport de force entre ces animaux personnifiés

du pays et lui ouvrent sa carrière politique, assisté par son influent parent Jamas Stanhope. Il fut d'abord membre de la chambre des communes, entra dans celle des Lords à la mort de son père, et se fait remarquer dans toutes les deux par son éloquence. Il fut ambassadeur en Hollande en 1728, vice roi en Irlande et secrétaire d'État en 1748. Il fut lié avec les hommes les plus distingués d'Angleterre et de France particulièrement avec Voltaire et Montesquieu et fut associé libre de l'académie

l’objet d’un apprentissage.  ● La parole​ désigne l’acte/le fait pour un individu d’utiliser de façon orale, le langage, elle se  fait dans une langue.  (concept : notion) - (cf : se référencer à)    1 La parole dans son usage a un pouvoir :   → ​Son éloquence : l’éloquence désigne la facilité à utiliser la parole/ à parler tant sur la forme  (articulation, son) que sur la fonds (sens).  L’éloquence est donc le pouvoir de bien parler et ainsi ​de persuader​ son interlocuteur.  On distingue persuader et

jeu de Charlot, il s'inspira probablement de la scène de vaudeville américaine où les personnages de vagabond étaient courants398. Jeu d'acteur en s'inspirant du mime et du clown, alliant une grâce acrobatique, des gestes expressifs et une grande éloquence faciale. Mime : Genre de comédie dans laquelle les acteurs s'expriment uniquement par la gestuelle . Ses longs métrages : Le Kid (1921) L'Opinion publique (1923) La Ruée vers l'or (1925) Le Cirque (1928) Les Lumières de la ville (1931) Les Temps