Embargo des États-Unis contre Cuba

Chapitre 1 : Mondialisation et interdépendances (p.2). - Chapitre 2 : Autres logiques d’organisation de l’espace mondial (p.5). *** ■ Deuxième partie - LES TROIS GRANDES AIRES DE PUISSANCE DANS LE MONDE. A) L’AMERIQUE DU NORD. - Chapitre 1 : Les Etats-Unis : la superpuissance (p.12). - Chapitre 2 : La façade atlantique de l’Amérique du nord (p.32). B) L’UNION EUROPEENNE. - Chapitre 1 : La puissance économique de l’Union Européenne (p.38). - Chapitre 2 : L’Europe rhénane (p.47). C) L’ASIE ORIENTALE

Licence en Droit Renan LE MESTRE Introduction Ce cours a pour objet une présentation du droit applicable aux relations internationales, c’est-à-dire aux rapports qu’entretiennent les sujets du droit international, au premier rang desquels les États. Cette étude sera conduite en trois étapes. Dans un premier temps, nous étudierons la formation historique de la société internationale et les conditions d’apparition d’un droit des institutions et des relations internationales. Dans un second temps

Kennedy The Rise and Fall of the Great Powers 1987. ORDRE MONDIAL ● Arrangement, disposi-on d’objets et de rela-ons selon un principe, une règle, une structure. ● Rela-on entre les diKérents États, idée d’organisa-on et de classement : Donc à la prise en compte de certains critères pour classer, hiérarchiser les États. Fondamentalement mobile et peut céder la place à un autre ordre. ● Idée de stabilité (≠désordre). ● Renvoie aussi aux normes mondiales en ceci que le monde est organisé selon certaines

Paragraphe. ACRI : African Crisis Respons Initiative. AFDI : Annuaire Français de Droit International. AG : Assemblée Générale. Art : Article. ASEAN : Association des Nations de l’Asie du Sud-Est. CEDEAO/ECOWAS : Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest. CEE : Communauté Economique Européenne. Cf : Confère. CIA : Central Intelligencia Agency. CIJ : Cour Internationale de Justice. ECOMOG : ECOWAS Motoring Group (Force d’interposition de la CEDEAO) ECOSOC : Conseil

différence et retard, on se condamne à un schématisme abstrait faisant impasse sur la diversité des sociétés étudiées. En affirmant que le changement po répond à une seule matrice, théoriciens du développementaliste se voient contredit dans la réalité. Etats du Sud ont progressivement construit une vie po propre qui ne renvoie pas à un canon universel. Met en avant hybridation créolisation du politique. La science po va tenir compte peu à peu de l’illusion de l’universalité de nbx concepts politistes

des actes sont adoptés par des représentants des États, ils sont des actes effectués par l’organisation même et non par les États réunis. Ce sont des acteurs à part entière sur la scène internationale et qui sont actuellement plus nombreux que les États (plus de 300 organisations à ce jour). Au sein de cette catégorie, on peut notamment distinguer les organisations à vocation universelle (Organisation des Nations Unies qui accueille tous les États par exemple) des organisations dites « régionales

concept de sécurité, qui touche au politique, diffère du concept de défense, qui est les moyens mis en œuvre au service de cette politique. La quête de sécurité de la part des Etats n’est pas une question neuve dans l’histoire. On peut faire remonter une prise de conscience explicite de mener une politique de sécurité entre les Etats européens au milieu du 17ème siècle. Elle s’est achevée avec la signature du traité de Westphalie en 1648. Il est intéressant que cette période s’accompagne de la publication

Christianas comme la « république des nations chrétiennes » à la tête de laquelle devraient régner un chef unique, supérieur commun de tous les monarques. Pour défendre leur pouvoir, les rois doivent donc lutter sur deux fronts, à l’intérieur contres leurs vassaux et contre le pape et l’empereur à l’extérieur. Ce n’est qu’après avoir mis ceux-ci en échec qu’ils peuvent entretenir entre eux des relations égalitaires. La supériorité de l’église et du pape est accepte par charlemagne quand il reconstitue

rejaillit pas immédiatement sur les rapports entre les États, voire entre les individus. Dans un monde qui vit en accéléré et met parfois à malles règles et principes régissant les relations entre les différents acteurs, il est souvent difficile d'identifier les éléments de solidarités censés sous-tendre les efforts d'organisation de la société internationale. Le droit est dès lors soumis à la logique des rapports de force dans lesquels interfèrent les États, mais également les organisations internationales

une approche sectorielle. On peut partir de l’expression relations internationales {rapport entre les nations} pour mettre en évidence les nations. L’Etat s’identifie ici à la nation. Dans une première approche, les R.I sont des rapports entre Etats. Ce sont des rapports de coopération et quand ce sont des rapports de coopération on peut dire que ce sont des rapports paisibles ; il peut y avoir des rapports conflictuels. Ce sont des relations qui s’accompagnent de toute une succession d’instruments