Embarras

salut de la race. Cependant Epiméthée, qui n’était pas très réfléchi, avait, sans y prendre garde, dépensé pour les animaux toutes les facultés dont il disposait et il lui restait la race humaine à pourvoir, et il ne savait que faire. Dans cet embarras, Prométhée vient pour examiner le partage ; il voit les animaux bien pourvus, mais l’homme nu, sans chaussures, ni couverture, ni armes, et le jour fixé approchait où il fallait l’amener du sein de la terre à la lumière. Alors Prométhée, ne sachant

la répétition de « Vous êtes amoureux » illustrent l'évidence du sentiment amoureux. - La ponctuation expressive met en valeur les sentiments : Ø les exclamations : enthousiasme, spontanéité Ø les points de suspension : émotion, attente, embarras - Echo entre le titre « Roman » et le vers 17 « Le coeur fou Robinsonne à travers les romans » qui nous livre une clé d'interprétation du poème. La métonymie « le coeur Robinsonne » renvoie en fait à l'adolescent qui se laisse porter par ses sentiments

du matin, par l'échelle, il accède à la chambre de Mathilde, qui l'attendait. Elle commence par se refuser à ses avances, et lui demande de renvoyer l'échelle au moyen d'une corde, pour ne pas casser les vitres des salons en contrebas. Grand embarras pour tous deux. Mathilde réclame ses lettres ; Julien détaille les précautions qu'il a prises. Réaction enflammée de Mathilde, qui ne se refuse plus qu'à demi. Nul bonheur amoureux pour Julien dans cette situation, rien que des satisfactions d'ambitieux

pour me repousser, dans son bizarre effroi, Anime du dedans tous ses gens contre moi, Et qu'abuse à ses yeux, par sa machine même, Celle qu'il veut tenir dans l'ignorance extrême! Pour moi, je vous l'avoue, encor que son retour En un grand embarras jette ici mon amour, Je tiens cela plaisant autant qu'on saurait dire: Je ne puis y songer sans de bon coeur en rire; Et vous n'en riez pas assez, à mon avis. ARNOLPHE, avec un ris forcé. Pardonnez-moi, j'en ris tout autant que je puis

comprendre la situation, il fait allusion au diamants vers1466 ''Le vol des diamants n'est pas ce qui m'étonne : on lève les cachets, qu'on ne l'aperçoit pas ;mais le don qu'on veut qu'hier j'en vins faire en personne est ce qui fait ici mon cruel embarras. '' Amphitryon est donc perdu entre réalité et folie et ne sait pas qui croire entre son esprit et sa femme, néanmoins, il espère que Alcmene a perdu la raison comme il l'explique au vers 1489 ''Et que pour mon bonheur elle ait perdu l'esprit''

Introduction : La littérature marocaine d’expression française s’inscrit dans un mouvement né dans les années 40, une période du militantisme nationaliste, elle a connu trois grandes périodes notamment la troisième génération qui est un retour aux sources et une littérature plus personnelle. Fouad laaroui avec son œuvre «  une année chez les français » et Mohamed Nedali avec «  triste jeunesse » sont témoins de cette littérature qui

ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice ». De plus, son récit comporte des limites puisque la société comporte des règles de bienséance, des tabous et censure de ce fait certains sujets. En effet Montaigne expose son embarras dans la phrase hypothétique « Que si j’eusse esté entre ces nations qu’on dict vivre encore sous la douce liberté des premières loix de la nature, je t’asseure que je m’y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nud ». Ici il désigne par

rejettent » et non « ils rejètent ») - idem pour jeter. - tous les verbes en ...oyer, uyer, ayer (comme envoyer, essayer, ennuyer), à la 3ème personne s’achèvent par « oie », « uie », « aie ». - totalitaire (et non totalitariste, malgré totalitarisme) - embarras, débarras - embarrasser, débarrasser (et non débarasser) - chrétien (et non christianiste, malgré christianisme) - péché originel (et non pêché originel), pécher (et non pêcher, sauf s’il s’agit d’attraper du poisson) - interpeller (et non interpeler

société européenne qu’ils découvrent. Le même procédé est ici poussé à l’extrême, puisque ce n’est plus un musulman voyageant en pays chrétien, mais un homme ignorant tout des différentes pratiques religieuses, qui fait part de son étonnement et de son embarras. Sa situation peut sembler comique, car il ne sait plus comment prier, voulant satisfaire tous ceux qui lui disent comment s’y prendre : on l’imagine se mettre tantôt « debout », tantôt « assis » ou « à genoux » sous l’injonction de croyants dont

Sonnet sur la moisson d'un lieu proche de Paris * Théophile de VIAU (1590-1626) * Au milieu de Paris je me suis fait ermite * Isaac de BENSERADE (1613-1691) * Sur la ville de Paris * Nicolas BOILEAU (1636-1711) * Les embarras de Paris * Paul SCARRON (1610-1660) * Sur Paris * Marc-Antoine DÉSAUGIERS (1772-1827) * Tableau de Paris (A cinq heures du matin) * Tableau de Paris (A cinq heures du soir) * Alfred de VIGNY (1797-1863) * L'esprit