Embarras

la rangée de baraques' marque l'expérience d'un véritable choc, soulignés par • Une emotion violente ('gorge serré, larmes...') et un sentiment de révolte ('rebelles') • Mais aussi un trouble profond avec un questionnement, une agitation et un embarras ==> 2ème partie consacré à l'artiste 2) Une fête : une dénégation systématique : a. Une description au service d'un point de vue critique : Des jugements de valeurs implicites transparaissent à travers un registre ironique : • Comparaisons

Polinka se dégrade, elle est de plus en plus gênée. On le voit à partir de la L48 après la remarque de Nicolaï sur sa relation avec l'étudiant en médecine. Polinka « pique un fard et ne répond plus! » L48 « Polinka ne répond pas et dans son embarras « promène le doigt sur le comptoir ». L55 « elle s'assied sur une chaise et regarde pensivement les cartons blancs et elle soupire » « Elle le regarde d'un air coupable »L90 « Elle a l'air pâle, malade, elle change de visage. » L 121 Elle commence

« ces souhaits, ces imaginations, ces rêves » , « rêveur », « pensif ». Ces éléments= Eloignent le lecteur de la réalité+ anonymat des personnages = Ne cible pas quelqu’un en particulier III Un récit moraliste. « Qui déguisait assez bien son embarras »= surenchère. En rajoute sur le fait que les courtisans sont serviles et hypocrites. -Le Ministre se protège du miroir en invoquant la religion= critique de la religion. On utilise la religion pour détruire ce qui nous embarrasse. -Champ lexical

de termes qui s’opposent comme « laid »/ « beau ». On peut également remarque la présence d’un oxymore au vers 12 « l’infirme qui volait ». En trois strophe le poète nous a fait un tableau assez visuel et triste de l’oiseau, on peut imaginer son embarra. Ce récit se veut surtout allégorique, l’aspect pittoresque de l’anecdote n’est qu’un prétexte à l’allégorie. La 3ème strophe présente un aspect moral et 4ème strophe un aspect philosophique. Il y a une comparaison « le poète est semblable

l'appréhension de l'inconnu, une espèce de remords, et jusqu'au plaisir de voir, d'un seul coup d'œil, tant de femmes à sa disposition, l'émurent tellement, qu'il devint très pâle et restait sans avancer, sans rien dire. Toutes riaient, joyeuses de son embarras; croyant qu'on s'en moquait, il s'enfuit; et, comme Frédéric avait l'argent, Deslauriers fut bien obligé de le suivre. On les vit sortir. Cela fit une histoire qui n'était pas oubliée trois ans après. Ils se la contèrent prolixement, chacun

Cependant il peut devenir nocif s’il est trop présent. Il possède de nombreux facteurs qui sont principalement : - Les facteurs liés à l’environnement : L'environnement d’un individu possède une place importante dans le développement de l'anxiété. Les embarras financiers, les conflits privés, des parents trop stricts ou eux-mêmes anxieux, et l’absence de soutien de l’entourage sont autant de raisons qui peuvent mener au stress et à l'anxiété. - Les traits de caractère : Notre personnalité et notre tempérament

quasi l’engager à lui parler de sa passion. Enfin elle jugea qu’il valait mieux le lui laisser, et elle fut bien aise de lui accorder une faveur qu’elle lui pouvait faire sans qu’il sût même qu’elle la lui faisait. Mr de Nemours, qui remarquait son embarras, et qui en devinait quasi la cause, s’approcha d’elle et lui dit tout bas : - Si vous avez vu ce que j’ai osé faire, ayez la bonté, madame, de me laisser croire que vous l’ignorez ; je n’ose vous en demander d’avantage. Et il se retira après ces

passage précise nettement la règle du jeu : « Lucien leva les yeux et vit… ». Adoptant ce point de vue, le narrateur place dans une certaine mesure le lecteur dans une situation privilégiée : il faut être en effet sur un cheval pour apercevoir « un embarras sous une voûte au bout de la rue », et, à plus forte raison, pour pouvoir distinguer le détail de « la mousseline brodée » du rideau ou encore lire dans les yeux d’une inconnue « une expression singulière » surtout quand on sait qu’elle est « à

l'aise. Je fus debout devant lui, son regard m'évita. Il était vrai que je méritais sa haine, je l'avais trompé, je l'avais trompé, ma sœur. Ah ! Quelle perfide femme était-je ! Je souffre encore de ce moment. Je lui confia mon infidélité dans un embarras profond. Je pleurais, je souffrais, je mourais de honte. Mais, je lui fit réaliser qu'il n'avait jamais pris le soin de s'occuper de moi, ni de prendre de mes nouvelles, pendant deux ans. Il demeurait sans voix. Son visage blafard, blême ne bougeait

Epiméthée, dont la sagesse était imparfaite, avait déjà dépensé, sans y prendre garde, toutes les facultés en faveur des animaux, et il lui restait encore à pourvoir l'espèce humaine, pour laquelle, faute d'équipement, il ne savait que faire. Dans cet embarras, survient Prométhée pour inspecter le travail. Celui-ci voit toutes les autres races harmonieusement équipées, et l'homme nu, sans chaussures, sans couvertures, sans armes. Et le jour marqué par le destin était venu, où il fallait que l'homme sortît