Embarras

s'acharne contre lui ---> pitié. b. Egisthe présenté comme "pur", "loyal", "innocent" ----> injustice de son meurtre ---> pitié chez le spectacteur (antithèse avec "criminel") c. Champ lexicale et vocabulaire de la lutte => héroisme : lutte, gène, embarras. Mais lutte inutile contre le destin ---> pitié. d. Plus de temps consacré au récit de la mort d'Egisthe, phrases plus longues ---> pitié e. Ne peut pas se débarasser de Chlytemnestre, liée à elle et donc au crime dans toute l'éternité ---> pitié

n’osant même croiser les cuisses, ni s’appuyer sur le coude » (l. 15-16) dénombre les particularités de l’attitude du jeune homme en vue de faire ressortir l’application qu’il donne pour l’écoute des leçons ce qui n’intéresse pas les élèves, et son embarras. La comparaison « attentif comme au sermon » (l.15-16) crée un rapprochement entre la leçon et un sermon dans l’intention de signaler sa concentration religieuse, comme s’il était à la messe, ce qui n’est pas usuel. L’adolescent indique une manière

procède au partage] Cependant, Epiméthée, qui n’était pas très réfléchi, avait sans y prendre garde dépensé pour les animaux toutes les facultés dont il disposait et il lui restait la race humaine à pourvoir, et il ne savait que faire. Dans cet embarras, Prométhée vient pour examiner le partage ; il voit les animaux bien pourvus, mais l’homme nu, sans chaussures, ni couverture, ni armes, et le jour fixé approchait où il fallait l’amener du sein de la terre à la lumière. Alors Prométhée, ne sachant

« champes », « bagnole » Course – signe de camaraderie 2) Les signes implicites d’une situation embarrassée * Le jeu des pronoms : « on », « je », « il » pour parler de lui Discours indirect libre, discours direct Malaise de Riquet, embarras, confusion * Les points de suspension Riquet parle de lui-même. Vides, Aurélien ne répond pas. II°) Une barrière entre les deux 1) L’opposition sociale Milieu Langage Vêtement 2) La prise de conscience de leur différence A

signifiant « avoir honte ». En latin, le terme pudere signifie également « avoir honte ». La pudeur est généralement définie comme cette sorte de discrétion, de retenue, de modestie qui empêche de dire, d'entendre ou de faire certaines choses sans embarras. La pudeur renvoie ainsi semble-t-il au regard de l’autre. Parler de la pudeur comme quelque chose de naturel revient à lui reconnaître une réalité dont la production ne relève de rien d’humain. Elle précèderait alors l’existence et lui serait

Analyse complète sur boule de suifpar Amélie ChagnonTravail présenté Nova Doyon 340-101, Écriture et littérature, groupe 24Cégep de Saint-Laurent ─ 2 décembre 2020Guy de Maupassant (1850-1893) est un auteur français adhérant au réalisme, un courant littéraire du XIXe siècle caractérisé par l’étude de la condition humaine et qui critique beaucoup la société. Il écrit notamment la nouvelle « Boule de Suif » en 1880 où il y dénonce entre autres l’hypocrisie de la haute société envers les classes sociales

être heureuse avec Ruy Blas mais perdre son trône, soit Don Salluste révèle l'amour cachée de la Reine avec un « pauvre valet » au peuple, ce qui serait une honte. « Agamemnon », personnage principale de Jean Racine, est face lui aussi face à un embarras très délicat : sacrifier sa fille adorée au risque de la perdre, en échange de l'aide des Dieux contre les Troyens ou être renié par son peuple face au refus de ce sacrifice. Et pour finir, dans le dernier texte, «  Brastsch », un des deux derniers

pas fortuné. En revanche, le comte, n’a pas bcp de fortune mais il a tout pour élever Araminte car il peut lui offrir un titre de noblesse. L’obstacle intérieur est celui de vaincre l’amour propre. Dans la pièce Araminte va devoir surmonter son embarras et surmonter son amour propre en acceptant ses sentiments quelle a pour Dorante. Les conditions sociales, à l’époque de Marivaux la société est divisée en trois : le clergé, la noblesse et le tiers-état dont fait partie la bourgeoisie. Araminte appartient

sans repos qui s’arrête. Certaines personnes pacifient leur stress en bougeant frénétiquement leur jambe lorsqu’ils sont assis. C’est la jambe sans repos. Si cette jambe s’arrête brutalement, il faut augmenter sa vigilance. La main sur la nuque. Embarras, honte, gêne, impuissance habituellement peut provenir d’un manque de confiance dans le mensonge. La joue qui démange. Stress de colère. Les mains qui s’essuient sur les jambes. Les mains sont moites La déglutition. Visible à la gorge qui avale

répulsion, et comme l’effroi d’un inceste. Une autre crainte l’arrêta, celle d’en avoir dégoût plus tard. D’ailleurs, quel embarras ce serait! - et tout à la fois par prudence et pour ne pas dégrader son idéal, il tourna sur ses talons et se mit à faire une cigarette » p.513 Ici il comprend qu’elle est venu pour s’offrir mais se dit qu’après tout Mme Arnoux pourrait devenir un « embarras » pour lui, il préfère faire une cigarette. « Elle le baisa au front comme une mère.» p.515 Ici on a la situation très