Embarras

cette méconnaissance : « Tu ne sais pas qui je suis ». Par l’usage du présent de vérité générale, Antoine jongle contre le temps du passé pour mettre en évidence cet éloignement qui perdure encore aujourd’hui. Néanmoins, Antoine partage cet embarras : « Ce n’est pas ta faute et ce n’est pas la mienne non plus ». Par la répétition des négations partielles et complètes ainsi que l’usage du pronom « je », Antoine exprime sa compassion envers son frère. Il partage cette triste réalité. Mais

amants ») et discrètement reprise un peu plus loin (« Lieux que j’aimais toujours »). Par ce recours au vocabulaire galant, le poète présente la retraite comme une maîtresse capable de combler ceux qui l’aiment : « Elle offre à ses amants des biens sans embarras, / Biens purs, présents du Ciel, qui naissent sous les pas » (v. 20-21) ; elle prodigue une « douceur secrète » (v. 22). Le pluriel du mot « biens » et sa reprise évoquent l’abondance des plaisirs ; l’allitération en s du v. 22 suggère aussi une

Par contre, le Comte ne semble pas savoir que plusieurs personnages connaissent ses intentions comme Figaro, Marceline et Bartholo. Il reproche même à Chérubin ce qu'il fait lui-même → luxure. C'est pour cela que Figaro et Suzanne joue avec son embarras vers la fin de l'extrait, devant tout le monde mais de deux manières différentes. 3 scènes comiques → Le jeu du cache-cache vers le fauteuil avec Chérubin et Le comte, Celle de la découverte de Chérubin par le Comte sous la robe alors qu'il racontait

aux demandeurs d’emploi. Effectivement, la difficulté règne au sein de l’agence. Les agents de Pôle emploi ne peuvent consacrer aux demandeurs d’emplois uniquement qu’une vingtaine de minutes, ce qui est trop court pour prendre en compte leurs embarras. Malgré cela, la direction de l’agence met la pression aux employés pour administrer le dossier des chômeurs. Le nombre abondant de chômeurs est ahurissant. Une conseillère reçoit au moins une dizaine de demandeurs d’emplois. « L’Abattage » ici

plaire » donne l’autre temps au sonnet. L’auteur fait une accumulation des désagréments de la ville vers 13-14. Paris est vu désormais comme sale et embouteillée. Le poète fait la part des choses. Cette vision finale rappelle le poème de Boileau, Les embarras de Paris. 2.La désillusion de l’auteur La première personne « mon œil » et «  ce qui ne put me plaire ». La première personne est différente du « on » qui globalise, généralise. L’auteur porte un regard particulier sur la ville c’est l’expression

passe en 1902, Occupe-toi d'Amélie en 1908. En septembre 1909, après une violente dispute avec Marie-Anne qui a pris un amant, il quitte le domicile conjugal de la rue de Longchamp (cette séparation aboutira au divorce en 1916) et prétextant les embarras d’un déménagement, s'installe pour quelques jours dans un palace tout proche de la Gare Saint-Lazare, le Grand Hôtel Terminus, chambre 1896. Ce lieu devient en fait son domicile pour une dizaine d’année. À la suite de cette séparation, Feydeau renouvelle

rejeter Valmont, “ Je ne voulais plus vous répondre“. On voit clairement qu’elle est consciente qu’elle est entrain de perdre sa bataille. Puis on remarque que dans toute la lettre Madame de Tourvel emploie un champs lexical de la faiblesse avec “embarras“, “je ne le devrais pas“, “un sentiment qui m’offense et m’effraie“, “mes craintes“. Ce vocabulaire montre clairement sa soumission envers Valmont. Au contraire on peu noter un champs lexical de la force avec “Quittez“, “renoncez“, “vous devriez

résisté ». Le Vicomte de Valmont réussi à traduire un battement de cœur et un rougissement de la présidente, comme il l’explique à la Madame de Merteuil « Je senti son cœur battre plus vite. L’aimable rougeur vint colorer son visage, et son modeste embarras m’appris assez que son cœur avait palpité d’amour et non de crainte », tout comme Solal qui comprend la signification d’un simple soupir de sa conquête Ariane en expliquant « C’est un soupir spécial, par les narines, et qui signifie ah si vous saviez

dans une société de consommation comme la nôtre, la mode change constamment. Qui souhaiterait s'habiller à la façon d’un bourgeois du 19e siècle? Cette extravagance ne passerait pas inaperçue dans la société et provoquerait chez nous un certain embarras. La faute en revient à cette mode qui n’est considérée de nos jours que comme un déguisement. Une mode qui n’est plus véhiculée par des acteurs sociaux devient obsolète. Sans ces acteurs, il devient donc difficile de trouver du soutien et de l’approbation

époque, une situation précise. Le poète n’exprime pas forcément de sentiments et il ne cherche pas à convaincre les hommes d’adhérer à une cause. Il raconte poétiquement ce qu’il voit. On peut le constater dans le poème de Nicolas Boileau, « les embarras de Paris », on a une vision bien précise de la situation, sans pour autant avoir l’opinion de l’auteur. A travers cette étude, nous avons pu constater, que les fonctions de la poésie sont nombreuses et variées. Bien que l’expression des