Embarras

accompagné d´un aide-facteur, lesquels 10 passaient pour les étrennes avec leur lot de calendriers représentant nécessairement des chiens à l´arrêt, des chats endormis, des oiseaux sur la branche, des ports de mer et des pics enneigés, bref l´embarras du choix. Bien sûr, dit Ferrer avec enthousiasme, entrez donc. Hélène avait l´air d´accord de se prononcer avec lui sur le motif du calendrier, on se décida pour 15 deux bouquets recto-verso, un par semestre, puis Ferrer d´excellente humeur distribua

complicité avec Dubois. L’aveu est un cheminement pénible : didascalies (émue, ému, émotion).     Position de faiblesse de Dorante. Araminte est repoussée dans ses retranchements. Plaintes, question embarrassée, qui expriment le doute, expression d’un embarras et d’un regret : à la prononciation du mot « aimer », les événements prennent une autre tournure, le dialogue est alors ouvert.     L’aveu amoureux est une sorte de piège verbal. Cet aveu est l’occasion d’une double déclaration. Cet aveu de Dorante

manière de s’exprimer quelconque « B’jour ! dit Polinka en s’approchant. Vous voyez, me revoilà. Je voudrais du passement »(ligne 18,19). De plus, Nicolaï est soucieux de ne pas perdre son emploi, et est préoccupé de faire la conversation «  dans son embarras, promène son doigt sur le comptoir » Il souhaite faire croire à l’entourage du magasin que leur conversation est portée uniquement sur la couture et non sur les sentiments personnels de Polinka et Nicolaï, pour n’éveiller aucun soupçons «  faîtes

visuelle, tout est silencieux. -Le regard est doué de mouvement: il parcourt la figure de Mme Arnoux, avec un mouvement descendant passant par sa taille et focalisant finalement ses mains. -Le regard de Frédéric permet également de sentir son embarras, "il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière", "et, quand il se fut mis plus loin, du même còté, il la regarda". B/ Le portrait de Mme Arnoux - Le portrait que mène Frédéric est très laudatif et idéalisé: "cette splendeur", "la séduction

montre que le personnage ne saut pas comme s'y prendre pour prier, et à la ligne 19 « je voudrais...mais », il y a donc une opposition entre ce qu'il veut et la réalité. On retrouve un champ lexical de l'incompréhension avec « je n'entend rien » et « embarras » qui montre le trouble. Il y a la champ lexical du désaccord « disputer » (l.2), « juge » (l.14), « il y en a qui prétendent...d'autres qui soutiennent »(l.6-7). On remarque donc un germe de critique avec « prétendre » et « soutenir ». Le personnage

comme il nous l'explique (v.22) dans Le songe d’un habitant du Mogol (XI, 4). Nous retrouvons dans la même fable la volonté de la recherche ascétique et la quête d’une paix intérieure. il est dit au (v.20) "Elle offre à ses amants des biens sans embarras, biens purs" comme quoi cette quête offre à ces retraité des avantages comme des inconvénient. Dans Le juge arbitre, l’hospitalier et le solitaire (XII, 29) le solitaire Retiré du monde, dédié au calme et à un seul homme, isole également du bruit

connaissances toutes faites. Forcément une question ouverte. Comment appréhender la réflexion sur le sujet ? Le travail préparatoire UN TIERS du temps au moins : analyse du sujet. (=décomposer un tout en ses éléments) : - Y chercher une DIFFICULTE, un embarras pour la pensée (un laboria socratique). Une question dont la réponse ne va pas de soi. Chercher tout ce qui peut obscurcire la question. - Transformer cette difficulté en un PROBLEME GENERAL. --> aussi la forme d'une question. Cerner le sens des

est visuelle, tout est silencieux. -Le regard est doué de mouvement: il parcours la figure de Mme Arnoux, avec un mouvement descendant passant par sa taille et focalisant finalement ses mains. -Le regard de Frédéric permet également de sentir son embarras, "il affectait d'observer une chalouppe sur la rivière", "et, quand il se fut mis plus loin, du même còté, il la regarda". B/ Le portrait de Mme Arnoux - Le portrait que mène Frédéric est très laudatif et idéalisé: "cette splendeur", "la séduction

la végétation s'arrêtèrent jadis sur la stupéfaction des rocs. Mille bâtonnets du velours de soie s'assirent alors en tailleur. Dès lors, depuis l'apparente crispation de la mousse à même le roc avec ses licteurs, tout au monde pris dans un embarras inextricable et boucle là-dessous, s'affole, trépigne, étouffe. Bien plus, les poils ont poussé; avec le temps tout s'est encore assombri. O préoccupations à poils de plus en plus longs! Les profonds tapis, en prière lorsqu'on s'assoit dessus

le croirais pas », ligne 26 « Ne crois pas que je puisse, quant à présent, te parler ». - Rica se permet de critiquer activement la ville de Paris et la société française avec ironie : ligne 8 «  Tu juges bien qu’une ville […] il s’y fait un bel embarras. », lignes 12 à 17 « Tu ne le croirais pas peut-être […] les feraient tomber en syncope. ». II – Les références à l’Orient. a) Comparaison entre Paris et la Perse : - comparaison entre Paris et Ispahan : ligne 6 « Paris est aussi grand qu’Ispahan