Embarras

l’amour, gaiété, drôle, plaisenterie, sourir, amusant, émue, enthousiasme, excité. Nourriture : faim, privision, cuissinier gourmant, soupé, déjeuné, à table, repas, plats, régalent Hypocrisie : ton de la voix, fut laissé, rôle, ruse, « chut » , embarra, duplicité, être aimable, approche, terme voilé, semblent de point entendre, traite avec mépris Langage : délicatesse de tournure, des subtilité d’expression charmante, scabreuse, précautions du langage, bien dite, grivoisérie, argument conversation

naïfs et étonnés : Promptitude des déplacements, Incessante agitation, Étranges pouvoirs du roi ... En cédant la parole à un étranger, M se livre à une efficace satire de la Société Française. II - Une satire de la vie parisienne 1 - Les embarras de Paris (Nicolas Boileau) * Rica évoque ce que Boileau nommait dans Les Satires (1680) Donc Intertextualité. * Champs lexicaux de la rapidité, de l'agitation ... Mouvement continuel d'un royaume en pleine mutation économique grâce aux théories

naïfs et étonnés : Promptitude des déplacements, Incessante agitation, Étranges pouvoirs du roi ... En cédant la parole à un étranger, M se livre à une efficace satire de la Société Française. II - Une satire de la vie parisienne 1 - Les embarras de Paris (Nicolas Boileau) * Rica évoque ce que Boileau nommait dans Les Satires (1680) Donc Intertextualité. * Champs lexicaux de la rapidité, de l'agitation ... Mouvement continuel d'un royaume en pleine mutation économique grâce aux théories

Salluste, Ruy Blas, don Pamfilo D'Avalos, marquis Del Basto. – puis le marquis de Santa-Cruz. – puis le comte d'Albe.– Puis toute la cour. – Le Marquis Del Basto – saluant Ruy Blas – Il lui prend la main, que Ruy Blas lui livre avec embarras. – Ruy Blas – avec embarras – Ruy Blas – s'inclinant Les grands rideaux de la galerie vitrée s'ouvrent. Les seigneurs s'échelonnent près de la porte. Des gardes font la haie. Ruy Blas, haletant, hors de lui, vient sur le devant comme pour s'y réfugier

répétition de cette métonymie peut conférer à Tchen une stabilité psychologique par rapport à l’acte qu’il va accomplir. Dans cet incipit, l’auteur ne précise pas où se déroule la scène. Cependant, les indices « lit », « building voisin », « quelques embarras de voitures » nous indiquent que nous sommes dans une chambre, située dans un appartement, dans un lieu animé. Tchen est quant à lui en dehors de la pièce, « la moustiquaire » représentant un obstacle entre lui et sa victime. La description de la

nouvelle supercherie, la dernière réplique relance l’intérêt du spectateur. 2) Un éloge de la simplicité Arlequin dans sa manigances, une fois dans son rôle est gêner de le quitter, son embarras se lit dans les exclamations avec des onomatopées (l2-9-18-21). De même les interrogations sont des indices de ses embarras (11-16 ; 15-16 ; 21) de même pour les phrases interrompus. Arlequin utilise une périphrase, des images parce qu’il a du mal exprimer directement ce qu’il veut. La métaphore filée autour

d’esprit des Baroques. Pour eux, en effet, le monde est instable et la vie imprévisible. Pour eux, tout est fumée, tout peut s’évanouir à tout moment. LE CLASSICISME BOILEAU, Nicolas, « Les Embarras de Paris », Satire VI, Satires, 1666-1668 Qui frappe l’air, bon Dieu ! de ces lugubres cris ? En font pleuvoir l’ardoise et la tuile à foison. Est-ce donc pour veiller qu’on se couche à Paris ? Là, sur une charrette

les impressions, les émotions les plus vives par l’union intense des sons, des harmonies, des rythmes, en particuliers par les vers. Ainsi, le corpus que nous allons étudier en est-il le reflet. Qu’il s’agisse de l’œuvre de Nicolas Boileau « Les embarras de Paris », de  « Les mangeurs », de l’élégie « j’écris » ou encore de la satire «Pseudo-sonnet que les amateurs de plaisanterie facile proclameront le plus beau du recueil » et de l’ouvrage « rien ne sert de courir » tous ont été rédigés par des

enchantement, tendresses → A la vue de manon, DG est un autre homme, comme ensorcelé, les deux ans a passé à l'oublier s'efface d'un claquement de doigts. b) Une scène de réconciliation amoureuses → Les deux psg sont tristes, « son embarras fut pour qql temps égal au mien » → Manon tente de se faire pardonner pour son infidélité à DG qui est fou amoureux → DG déboussolé → « désordre de mon âme » → DG a du mal à s'exprimer a cause de la tristesse qu'il éprouve → DG dit : « demande

« extrêmement » et « si » (l.5-8). * Paris paraît comme une ville irréelle « bâtie en l’air » -> métaphore (l.7) + métaphore des astrologues (l.6). * Une ville surpeuplée -> critique densité de population (l.8-9) * le mot « embarras » renvoît aux Embarras de Paris de Boileau : exemple d’intertextualité. c) Une critique de la vie trépidante des parisiens * Le 3e paragraphe oppose l’agitation des parisiens déshumanisés (« machines ») ≠ lenteur orientale (l.13-14). * ex de