Embarras

du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! La vague de vacarme retomba : quelque embarras de voitures (il y avait encore des embarras de voitures, là-bas, dans le monde des hommes…). Il se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière, immobiles dans cette nuit où le temps n’existait plus. Il se répétait que cet homme devait

sévère mais détournée et non prise en charge directement par Montesquieu II) La critique de la société française 1) Satire de la vie française - champs lexicaux de l’agitation, de la rapidité et du mouvement : « mouvement » l.2, « embarras » l.7, « courent » « volent » l.9, « train » l.10, « coups de coude » l. 12, « passe » l.13, « croise » l.14, « soudain » l.14, ← difficultés de la circulation et la frénésie stérile des déambulations à la française ← France, royaume en pleine

du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! La vague de vacarme retomba : quelque embarras de voitures (il y avait encore des embarras de voitures, là-bas, dans le monde des hommes…). Il se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière, immobiles dans cette nuit où le temps n’existait plus. Il se répétait que cet homme devait

défiler le régiment… » (L6-7). C’est grâce à ce contraste que Lucien la remarque. Tout cela concourt à créer un effet de réel relativement banal. Aussi ne sommes-nous guère étonné lorsqu’une pause dans le déroulement de l’action intervient : « Un embarras sous une voûte, au bout de la rue, avait forcé le régiment à s’arrêter. » (L11). C’est pourtant à cause de cette pause que le héros se prend à rêver à la jeune femme qu’il vient d’apercevoir « Elle pouvait avoir vingt-quatre ou vingt-cinq ans. Lucien

Saint-Yves l’hésitation de Mademoiselle de Saint-Yves apparaît tout d’abord au début du chapitre, où le personnage apparaît « désolée » ; ensuite, lorsque le confesseur lui demande de lui livrer le nom du « vilain homme », elle connaît « un long embarras et de grandes irrésolutions ». Cette hésitation est à relier avec la fin du chapitre quinze où Mademoiselle de Saint-Yves reçoit des propositions indécentes et ne sait que faire pour y répondre. La source du caractère cocasse de cette confession

la critique de la société française et occidentale. Tout d'abord, la vie parisienne est critiquée. L'agitation présente dans la ville se fait ressentir par différents moyens : «  quand tout le monde est descendu dans le rue, il s'y fait un bel embarras. » (Lignes 9-10) ; « je n'y ai encore vu marcher personne. Il n'y a point de gens au monde qui tirent mieux parti de leur machine que les Français ; ils courent, ils volent. » (Lignes 11-13). L'énonciateur associe certains éléments aux français

Des Grieux: « je demeurai interdit à sa vue », « j'attendais, les yeux baissés et avec tremblement qu'elle s'expliqua », « je commençai plusieurs fois une réponse que je n'eus pas la force d'achever » alors que Manon, après le premier moment d' « embarras », rompt le silence, parle de son infidélité, et des réactions de Des Grieux à son égard. La douleur la jeune femme ne l'empêche nullement d'argumenter alors que Des Grieux n'arrive pas à tenir des propos cohérents. Par ailleurs, ces différences

Blas. Trois mouvements se distinguent dans cet extrait, le quiproquo et la référence au Barbon moliéresque de : « Vous vous m’ennuyez fort » à « Allons je ne suis pas marié ! » ; le comique de caractère et le Galant de : « Vous venez faire cet embarras » à « C’est charmant ! » et défi accepté et prémices d’une issue tragique de « Nous allons nous battre » à la fin. Dans quelle mesure ce mélange de registre offre-t-il une pause comique dans l’action dramatique ? L’extrait s’ouvre sur un

Lafayette Artiste Edvard Munch Date 1891 Emplacment Galerie nationale oslo 3       Rue de Paris par temps de pluie Nom Rue de Paris par temps de pluie Artiste Gustave Caillebotte Date 1877 Enplacement Art Institute of Chicago 4       Les Embarras de Paris Qui frappe l'air, bon Dieu ! de ces lugubres cris ? Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ? Et quel fâcheux démon, durant les nuits entières, Rassemble ici les chats de toutes les gouttières ? J'ai beau sauter du lit, plein de

pleurant à chaudes larmes » - le mouvement, effectué « avec transport » que provoque l’aveu de DG - L’intensité des gestes, « embrasser », et leur nombre« caresses », b. DG - la paralysie de la surprise, « je demeurai interdit » - La gêne, « embarras », « les yeux baissés » - L’explosion de l’émotion, « en versant moi-même des pleurs » II. CETTE SCENE PRESENTE LE DOUBLE VISAGE DE MANON A. SON MASQUE 1. Pour le portier, objectif mais dupé, Manon lui apparaît comme une « dame », c-a-d une