Embarras

jugerait qu’elles ne sont habitées que par des astrologues. Tu juges bien qu’une ville bâtie en l’air, qui a six ou sept maisons les unes sur les autres, est extrêmement peuplée ; et que, quand tout le monde est descendu dans la rue, il s’y fait un bel embarras. Tu ne le croirais pas peut-être, depuis un mois que je suis ici, je n’y ai encore vu marcher personne. Il n’y a pas de gens au monde qui tirent mieux parti de leur machine que les Français ; ils courent, ils volent : les voitures lentes d’Asie,

: " Il avait envie de s’excuser, d’inventer une raison pour expliquer la négligence de sa toilette; mais il ne trouva rien, et n’osa pas ajouter à ce sujet difficile ", là encore le rythme binaire témoigne de l’affolement croissant de Duroy Son embarras atteint son paroxysme lorsqu’il se trouve sous le regard inquisiteur de cette femme par laquelle il est " examiné, inspecté des pieds à la tête, pesé, jugé "; cette accumulation suggère la domination de Madeleine. Il n’a plus qu’à rougir et se taire

son arme : En effet le stratagème de Don Juan consiste à proposer le mariage et….il ne peut épouser deux femmes ! b. un suspens Un certain suspens est mis en place par Molière : comment « l’épouseur à toutes mains » va-t-il se sortir de cet embarras ? Va-t-il être démasqué ? Sa qualité d’abuseur va-t-elle être révélée ? Devra-t-il subir l’affront d’une réprimande de la part des deux paysannes ? Bref, va-t-il perdre la face ? Molière s’amuse à différer le moment de résolution du conflit. [très

devine l’univers urbain, identifiable grâce à divers descriptions et sons : la lumière provenant du « building voisin » (l.6), « le rectangle d’électricité pâle » (l.7), les coups de klaxon (l.9), le « vacarme » ainsi que les bruits lointains des « embarras de voitures » (l.11-12). Des jeux d’ombre et de lumière ont aussi un rôle important pour nous dépeindre au mieux l’angoisse présente dans la pièce et la torpeur que ressent Tchen. Ils sont appropriés à la nature de l’acte : un meurtre, acte illicite

au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés! La vague de vacarme retomba : quelque embarras de voitures (il y avait encore des embarras de voitures, là-bas, dans le monde des hommes…). Il se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière, immobiles dans cette nuit où le temps n’existait plus. Il se répétait que cet homme devait

d’intérêt pour toute chose. Découragement : abattement, perte de courage. Contrariété : sentiment de déplaisir créé par un obstacle, un évènement imprévu. Peine : chagrin, souffrance morale, état de quelqu’un qui est inquiet, tourmenté. Honte Embarras : gêne, difficulté rencontrée dans la réalisation de quelque chose. Position difficile et gênante. Eprouver, manifester de l’embarras devant un problème difficile. Gêne : troublé, mal à l’aise. Déception : sentiment d’une personne trompée dans

avec Ellénore et il s’en aperçoit. Il est très mal à l’aise. Le champs lexical sur le gêne et le mal être, nous le montre clairement : « ma situation était insupportable, mon front était couvert d’une sueur froide, je rougissais, je pâlissais, mon embarras ». Adolphe est un homme timide comme son père. Leurs rapports sont très distants, il veut seulement que son fils fasse carrière. Il n’est pas très à son aise dans la société. Il aime être seul et pouvoir être indépendant ce qui est peut-être dû au

faire passer un message, ils peuvent aussi décrire. Les embarras de Paris, écrit par Nicolas Boileau démontre bien le fait que la poésie peut aussi décrire. En l’occurrence ce texte décris la ville de Paris et de ce qu’il si passe. Ce poème donne l’impression que celui qui a écris ces vers, marchait dans la capitale et qu’il écrivait, ce qu’il voyait, ce qu’il se passait. L’auteur n’exprime aucun sentiment dans cet extrait des embarras de Paris, il fait juste une description. Francis Ponge, a lui

modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circonstance donnait du prix à cette légère faveur. Nous étions seuls, je respirais avec embarras, elle avait les yeux baissés. Ma bouche, au lieu de trouver des paroles, s'avisa de se coller sur sa main, qu'elle retira doucement après qu'elle fut baisée, en me regardant d'un air qui n'était point irrité. Je ne sais ce que j'aurais pu lui dire

A) Le lieux et la situation de personnages - Elle apparait sur une estrade en hauteur et vue par tous, malgré elle. Pour la première fois elle se trouve dans une situation de quelqu’un qui est perdu. - Son comportement se traduit par son embarra. Cette embarra, ce voit son immobilité sur l’estrade : « ne sachant s’il fallait s’avancer ou s’enfuir ». - Cl de la peur : « craintif », « effarouchée « , « immobile », « s’enfuir ». B) La structure du texte - Le texte est encadré par 2 liens logiques