Emile Verhaeren Le Départ

que des dizaines de milliers de Parisiens eurent la joie de voir jouer à l'Atelier, et dont le succès n'est pas encore épuisé aujourd'hui. Infatigable voyageur, toujours en quête de nouvelles cultures, il rendit ensuite visite, en Belgique, à Emile Verhaeren (1855-1916), dont il deviendrait l'ami intime, le traducteur et le biographe. Il vécut à Rome, à Florence, où il rencontra Ellen Key(1849-1926), la célèbre authoress suédoise, en Provence, en Espagne, en Afrique. Zweig visita l'Angleterre, parcourut

allitération en « an » ou « ain » ; « ravissant, dans, ventre, en », l'effet voulu est le bruit que peut faire la mécanique du manège. Avec romances sans paroles la poésie se chuchote et l'impératif “tournez” n'est pas prononcé avec autorité au départ mais avec douceur, lenteur, comme pour s'endormir pour simuler l'envoûtement du manège, au plus il tourne, au plus on a envie qu'il tourne et on voit moins le temps passer. Mais vers la fin, la fin de la fête arrive, il faut alors se dépêcher, la

fait de la ville son thème d’élection. Les littératures européennes en donnent plusieurs exemples aussi bien en prose qu’en vers, en particulier depuis la fin du 18e siècle, avec des auteurs comme Restif de la Bretonne, Charles Baudelaire, Émile Verhaeren, Alexandre O’Neill, et tant d’autres. Mais au-delà de cette parenté thématique, l’ouvrage que nous étudions ici est difficilement classable du point de vue de son genre. Il s’agit d’un de ces textes à statut problématique : il n’est pas un roman

HISTOIRE LITTERAIRE, ARTISTIQUE ET CULTURELLE LE SYMBOLISME Mouvement dont l'importance fut considérable à la fin du 19ème siècle. Apogée : entre 1880-1890. point de départ : 1886 et le Manifeste de Jean Moréas mais un mouvement qui ne peut pas se résumer à cette « école », il est beaucoup plus complexe que cela. Preuve : en 1891, Moréas lance un nouveau Manifeste. I) Origines du mouvement, une réaction contre : • le positivisme scientiste • le réalisme • le naturalisme (de Zola notamment)

Sommaire…………………………………………………………………………...…. …...1 Histoire……………………………………………………………………………...……….2 Personnages………………………………………………………………………...………2 Poèmes………………………………………………………………………………..……..3 ACTE 1 : Dans le parc………………………………………………………………...…...3 « La joie » de Émile Verhaeren du XIXème siècle (Julie et Noura)…..….……..…4 « Une tempête » de Victor Hugo du XIXème siècle (Sherine)……………………..6 « L'agonie » René-François Sully Prudhomme  du XIXème siècle (Julie)………...7 ACTE 2 : A l’hôpital………………………………………………………………………

harmonie imitative représentant les bruits des machines à vapeur. Le poète note aussi le fracas des trains, « l’ébranlement » qui secoue toute la gare. L’énumération « Tant d’adieux, tant de départs et tant de retours » souligne l’expérience de la gare, elle a vu beaucoup de choses, de plus l’antithèse « départs » et « retours » accentue cette idée en citant deux extrêmes. Par ailleurs, on remarque que le thème du temps est très présent tout au long de l’œuvre avec l’opposition entre le passé et le

menace de mort. Celle-ci accouche en octobre d’un enfant, Georges, et quelques mois après, s’enfuit avec lui, laissant Paris en proie aux deux tapageurs. Dès là, l’histoire accélère, tout en tournant en tragique : l’année 1872 apporte une suite de départs et de retours, un véritable ping-pong dont Verlaine devient la balle et Rimbaud et Mathilde – joueurs. Sauf que, évidemment, c’est à la balle de décider qui gagnera. Tandis que les deux poètes partent pour Belgique (vagabondage dont l’écho se fera

pas seulement le théâtre de la vie humaine : elle y joue un rôle actif, repoussoir ou réceptacle des ambitions, miroir vivant des antagonismes. la ville parvenue au rang de forme visible, de paysage, offre à l'imagination poétique le point de départ des plus riches métamorphoses. Avec le peintre, le poète a le privilège de fixer la ville dans l'unité d'un panorama, soit qu' "àvol d'oiseau" il la domine du regard comme Hugo, soit au contraire qu'il en pénètre les entrailles pour en dévoiler

------------------------------------------------- « Les usines » ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Emile Verharen, Les Villes tentaculaires, 1895 ------------------------------------------------- Introduction : Genre : poésie en vers libres Contexte : révolution industrielle Origines : belges Mouvement lit. : au départ réaliste puis symboliste Symbolisme = réaction au réalisme et au parnasse (la forme) Pour les Symbolistes, le monde ne saurait

chiffre de 400 poèmes dès l'année 1901, période qui correspond également à celle de la publication de sa première nouvelle "Im Schnee", dans le journal "Die Welt". En 1902, Stefan Zweig se rend à Paris et Bruxelles, où il fait la connaissance de Emile Verhaeren, qui devient son ami et son collaborateur. C'est également cette année-là que Zweig écrit une préface d'une quinzaine de pages pour l'édition de l'œuvre de Verlaine, chez Schuester und Loeffler. En 1903, Zweig manifeste le désir de s'affranchir