Emile Verhaeren Le Départ

techniques modernes et elle offrait déjà une image polluée, grise, quasiment monstrueuse. Les élèves ont pu ainsi étudier l’évolution du paysage urbain à travers les regards aiguisés de poètes aux sensibilités diverses : Rimbaud, en poète visionnaire, Verhaeren, cynique et sans illusions, Apollinaire, en chantre de la modernité et Senghor interrogeant modernité et négritude. La séquence a amené un questionnement sur l’homme, son besoin de construire un monde urbain, en collectivité mais aussi hiérarchisé

parviennent à travers les sources de l’époque relevées et traitées par Gral Francis Lenne dans «La dernière éclipse de Milan Rastislav Štefánik» :4 Enfin ce fut le Brésil [le séjour de Štefánik, note de l’auteur] en 1912. Mais ses liens privilégiés avec Emile Chautemps donnèrent à ses missions une autre tournure. Ce sénateur de grande envergure lui fit découvrir Claudel, ami ou «Otage» [l’ouvrage que Claudel écrit à Prague, n.a.] de Philippe Berthelot qui sauva son poste en Chine :5 quel génie de la langue

influence sur l’imaginaire littéraire de l’écrivain. Son père, Constantin Rodenbach, travaille comme vérificateur des poids et des mesures. Après des humanités dans un collège jésuite, le Collège Sainte-Barbe de Gand, où il rencontre notamment Émile Verhaeren, Georges fait des études de droit à l’Université de Gand. Bien que flamand, Georges Rodenbach reçoit une éducation française et francophone, compte tenu de son statut social1, ce qui ne l’empêchera pas de plaider en faveur de la langue flamande

sympathise avec Léon Blum. 1889 Avec ses amis Pierre Louis, Marcel Drouin et Maurice Quillot, il fonde la Potache-Revue. Il y publie ses premiers vers. Il voyage seul en Bretagne, retrouvant sa mère lors de certaines étapes. 1890 Mort de son oncle, Emile Rondeaux, le père de Madeleine. Durant l'été André Gide séjourne au bord du lac d'Annecy. Il y écrit les Cahiers d'André Walter. En décembre, il se rend à Montpellier chez son oncle Charles Gide. Il y rencontre Paul Valéry. Leur amitié durera jusqu'à

trois… À toi ma vie ! À toi mon sang ! La nuit, mon cœur la nuit est très douce et très blonde. O Lou, le ciel est pur aujourd’hui comme une onde. Un cœur, le mien, te suit jusques au bout du monde. L’heure est venue. Adieu ! l’heure de ton départ On va rentrer. Il est neuf heures moins le quart Une… deux… trois… Adieu de Nîmes dans le Gard 4 fév. 1915 » > Écouter un extrait : Je pense à toi. En 1914, Apollinaire s’engage volontairement dans les troupes françaises. Il fait la rencontre

LA CULTURE COMME TRANSFORMATION DES CHOSES : LE TRAVAIL : ● double pré-texte : poèmes de Victor Hugo (1802-1885) et d'Emile Verhaeren(1855-1916) Saison des semailles, le soir C'est le moment crépusculaire. J'admire, assis sous un portail, Ce reste de jour dont s'éclaire La dernière heure du travail. Dans les terres, de nuit baignées, Je contemple, ému, les haillons D'un vieillard qui jette à poignée La moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noire Domine les profonds labours

que j’ai recueillis ont été écrits à des époques différentes : 16ème siècle pour Ronsard, 18ème siècle pour Voltaire et Fontenelle ; 19ème siècle pour Verlaine, Hugo, Max Elskamp, Maupassant, Sully Prudhomme et Baudelaire ; 20ème siècle pour E. Verhaeren et Ramuz ; et enfin 21ème siècle pour Elodie Santos. Ils sont d’auteurs différents, mais aussi de formes différentes, puisqu’on trouve aussi bien des poèmes composés de distiques que de poèmes composés de quatrains. J’ai classé ces poèmes par ordre

la poésie • « Voix Lactée II » « la descente à reculons » • Phoenix : • oiseau qui renaît de ses cendres // Apo renaît de ses chagrins d’amour grâce à la poésie • « Chanson du Mal aimé » : → désespoir amoureux de Guillaume Apollinaire après le départ d’Annie Playden PUIS → renaissance grâce à un amour nouveau, une nouvelle muse : Marie Laurencin. • La sorcière Lorelei : mythologie allemande dans le poème « Loreley » - « une sorcière blonde »II. Mais une grande modernité A. Une influence urbaine

meurtrie, Je renverse sur vous les feux de mes flambeaux Et je monte la garde autour de vos tombeaux, Moi qui suis l'avenir, parce que la Patrie. Cette œuvre intitulée « la patrie des soldats morts » est une écriture poétique écrite par Emile Verhaeren qui date du mouvement du surréalisme donc au 20ème siècle. Il appartient au recueil «  les ailes rouges de la guerre ». C’est un poème composé de six quatrains et de rimes embrasées ABBA. Ce poème parlant du même thème que le premier poème plonge

et justifie son goût incessant des départs. Zweig voyage autant pour connaître et apprendre que pour se fuir lui-même, dans le mirage des changements d’horizons3. Les rencontres décisives (1904-1933) 1904-1914 : période d'écriture Ses nombreux voyages ne l’empêchent pas de poursuivre ses activités d’écriture (un recueil de nouvelles publié en 1904) et de traduction, notamment de Verlaine qu’il admire passionnément. Il traduit également le poète Émile Verhaeren qu’il a rencontré à Bruxelles et dont