Emile Zola Travail 1901

Lys dans la vallée, et Madame Bovary, de La Femme de trente ans[16]. Le cycle romanesque de La Comédie humaine et le principe des personnages reparaissant ont également influencé de nombreux auteurs de son siècle et du siècle suivant, notamment Émile Zola, pour le cycle des Rougon-Macquart, et plus tard, Marcel Proust[17] à propos duquel Georges Cattaui écrit : « Ce sont les fameux « monomanes » de Balzac que nous revoyons, en effet, dans les grands passionnés de Proust [18],[19]. » On n'arrête

de la vie politique française. 3. La question sociale : seconde révolution industrielle, elle voit l’apparition de masses urbaines, prolétariennes, qui résident dans les banlieues, réalités industrielle qui transforme leur apport par rapport au travail. La IIIème république a apporté une forme de nouveau compris sociale dans laquelle les forces potentiellement révolutionnaires, les forces comme le socialisme on trouvé des solutions politiques : la synthèse jaurésienne consiste à accepter la République

major allemand ne sait qui est le véritable coupable 3-Raison d’Etat et répu parlementaire -Bernard Lazare, juif, appartient à l’avant-garde littéraire et libertaire, contradicteur acharné de Drumont et de sa sociologie raciste -16mai 1896 : Zola écrit Pour les juifs> drumont l’attaque aussitôt -La Chambre prend parti au débat : Naquet pourfendant l’antisémitisme -3sept 1896 :Mathieu Dreyfus et son petit groupe de dreyfusard lance dans la presse la rumeur de l’évasion de D> passe inaperçu

progrès des pays et les pays sont en progrès. S’il y a un progrès économique, il y a donc un progrès social, qui permet l’effacement des inégalités et une paix universelles. De plus l’Expo nus montre que le progrès est en très grande partie du au travail des ouvriers ce qui permet d’espérer une amélioration de leur condition. Mais ce point de vue sera démenti par l’Histoire, car la « Belle époque » sera suivie d’une guerre, la concurrence pacifique tournera à une confrontation violente et armée, et

l’œuvre bien. Pour ce mémoire, nous avons choisi les romans très semblables au premier coup d’œil : ils sont intitulés du nom de l’héroïne ayant le même prénom – Thérèse. Il s’agit de Thérèse Raquin écrit par Emile Zola et de Thérèse Desqueyroux de François Mauriac. Le but de ce travail est de faire la comparaison de ces deux et de trouver des ressemblances ainsi que des différences. Pour atteindre ce but, il faut étudier les romans séparément. Tout d’abord, nous allons initier le lecteur en

un texte juridique qui organise le fonctionnement d’un régime politique. La 3ème république peut être qualifiée de libérale car les libertés fondamentales sont respectés et d’autres sont rajoutés (liberté syndicale : 1884, liberté d’association : 1901), c’est un régime parlementaire, le président de la république et le parlement sont responsables devant le parlement. C’est un régime laïc (1905), la religion est renvoyée dans la sphère privée. C. L’enracinement de la culture république 1

guerre d'avoir violé le droit en condamnant un accusé sur une pièce restée secrète, et j'accuse le second conseil de guerre d'avoir couvert cette illégalité par ordre, en commettant à son tour le crime juridique d'acquitter sciemment un coupable." Emile ZOLA, in "l'Aurore", 13 janvier 1898. (1) C'est lui qui a conduit l'enquête qui aboutit à l'arrestation de Dreyfus. (2) Ministre de la Guerre en 1894. (3) Ministre de la Guerre en 1897 au moment où se trouve révélé le rôle d'Esterhazy. (4) Chef

et morale de la France, Renan (« crise allemande de la pensée française », titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers : « la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins »)

MAUPASSANT ANTHOLOGIE POÉTIQUE !8 SECONDE 2 LÉIA VINGRIEF (Extrait) Mélancolia Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne,

sont dépeints avec la plus grande franchise possible, sans les idéaliser et sans artifices.Les sujets traités représentent le plus souvent la vie quotidienne du petit peuple en abordant des thèmes ordinaires alors jamais exprimés à travers l'art : travail, relations conjugales, affrontements sociaux etc... Ils sont ainsi une critique des conditions sociales. Le Réalisme en peinture décrète que tout évenement, objet, être, chose ou action est digne d'être un sujet pictural, et qu'il doit être rendu