Émission de dioxyde de carbone

va à l’encontre des incitations de prévention et éducation à la santé. Physique – Technologie Question 2.1 (0,5 pt) Les sources d’énergie fossile sont : le pétrole, le charbon, le gaz naturel et l’uranium. Question 2.2 (2 pts) Le dioxyde de carbone est un gaz à effet de serre. Les gaz à effet de serre sont des gaz dont les propriétés physiques sont telles que leur présence dans l’atmosphère contribue à un effet de serre à la surface de la Terre. En effet, ces gaz sont transparents à certaines

surtout le cas chez des petites installations. Le CO est aussi présent dans les rejets8 de certains procédés industriels comme les aciéries9 et l’incinération10 de déchets11 mais surtout dans le gaz d’échappement12 des véhicules automobiles. Le dioxyde de carbone13 (CO2), un constituant14 naturel de l’atmosphère, contribue également à la pollution atmosphérique. Le CO2 est un des causes principales de l’effet de serre15. L’accroissement16 rapide de la concentration de ce gaz dans l’atmosphère provient17

d’électricité en France en 2011 était 478 milliards de kilowattheures) Le nucléaire ne produit pas beaucoup d’émissions A ce premier avantage s’ajoute le fait que le nucléaire n’émet pas de gaz nocifs tels que le dioxyde de carbone A cause de cet avantage, la France n’émet que 1,6 tonnes de carbone par habitant, par rapport à la moyenne de 2,27 pour l’Union européenne Donc, si la France continue à utiliser le nucléaire comme sa source primordiale d’énergie, le changement climatique pourra ralentir à une

(fertilisants, nuages de poussière, PESTICIDES, herbicides, émanations liées à l'élevage), la foresterie (pesticides, feux de forêt), les phénomènes naturels (VOLCANS, tempêtes de poussière, sel provenant des feux de forêt, embruns, pollen) et les émissions provenant des terres humides, comme le méthane et les composés organiques volatils (COV). Dans des villes septentrionales comme Edmonton, la vapeur d'eau émanant de la combustion du gaz naturel peut causer un FOG glacé en hiver. Dans ces conditions

combustion incomplète : Lorsque que la comburant manque ou que la température est trop basse. On forme alors du dioxyde de carbone, de l’eau mais aussi du carbone solide (traces noires). Le carbone solide réagit ensuite avec le dioxyde de carbone et forme du monoxyde de carbone qui est très toxique. - la combustion complète : il n’y a aucune suroxydation. On ne forme que de l’eau et du dioxyde de carbone. L’incinération est un exemple de combustion complète. CO2 + C 2 CO 3/ Présentation d‘une combustion

L’EFFET DE SERRE 
L’effet de serre est souvent hâtivement désigné comme responsable du réchauffement climatique. En réalité, l’effet de serre est un phénomène naturel lié à la présence de gaz atmosphériques, tels que le dioxyde de carbone, le méthane. qui piègent le rayonnement infrarouge émis par la Terre. Cet effet de serre permet à l’atmosphère de se maintenir à une température moyenne de 15°C et sans lui, la température moyenne de la Terre serait de l’ordre de - 18°C !

Pour en savoir plus

sont la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (ou protoxyde d'azote, de formule N2O) et l'(O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent les halocarbones lourds (fluorocarbones chlorés incluant les CFC, les molécules de HCFC-22 comme le fréon et le perfluorométhane) et l'hexafluorure de soufre (SF6). Contributions approximatives à l'effet de serre des principaux gaz, d'après le GIEC9 : vapeur d'eau : 60 % dioxyde de carbone : 26 % ozone : 8 %

Il prend en compte le dioxyde de carbone, l'oxyde nitreux et le méthane, mais pas l'ozone. * Imposer des normes plus basses d’émissions des GES aux producteurs automobiles. * Les arbres absorbent du dioxyde de carbone : les forêts sont des puits de carbone. Pour ne pas amplifier l'effet de serre, il faut stopper la déforestation. Les océans absorbent également du dioxyde de carbone. * L'énergie fossile (charbon, pétrole, gaz) produit du dioxyde de carbone. En comparaison, l'énergie

responsables du réchauffement de notre planète. Toutes les études actuellement réalisées dans le monde montrent qu'en comparaison à l'essence un litre d'éthanol produit 60% de CO2 en moins, ainsi que 60% d'oxyde d'azote (Nox) et 50% de monoxyde de carbone (CO) en moins. Son impact sur l'effet de serre et 2.5 fois meilleur et énergétiquement moins coûteux. Le bioéthanol apporte deux fois plus d'énergie qu'il n'en consomme.  Le bioéthanol se dégradent plus vite que les carburants fossiles, ce qui limiterait 

aussi car les arbres consomment les CO2 et apportent de l’oxygène. Si ce problème commence à devenir inquiétant dès les années 60, il ne fait que s’amplifier. Au départ seuls l’Amérique du nord et l’Europe sont responsables de la majorité de ces émissions. Avec les développements économiques de pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil, le risque de surémission grandit encore (production d’énergie, parc automobile en plein boum), tandis que la technologie (notamment les moteurs de voiture) tend à diminuer