Emmanuel Levy

ETRE LIBRE EST-CE FAIRE CE QUE L'ON VEUT ? La liberté pourrait être définie de la manière suivante : " pouvoir agir selon sa volonté sans être entravé par le pouvoir d'autrui." Cette idée s'oppose à celle de l'enfermement. C'est la raison pour laquelle, jadis , un homme était qualifié de libre lorsqu'il ne dépendait plus de personne ou lorsqu'il n'était plus esclave.. Si nous nous arrêtons à cette définition, l'homme moderne, contemporain, n'est pas libre. En effet, aujourd'hui nous somme contraints

Alors, si quelqu’un aperçoit un enfant qui se fait maltraité, peut-il donner son accord libre et éclairé pour dénoncer le méfait? -------------------------------------------- [ 1 ]. EMMANUEL KANT. Fondement pour la métaphysique des mœurs (1785) (1re section, p. 16-17). Paris, 2000 © Hatier. [ 2 ]. EMMANUEL KANT. Fondement opur la métaphysique des mœurs (1785) (2e section, p. 68-72). Paris, 2000 © Hatier.

Commentaire texte 5 Hume Ce texte est tiré des Essais Philosophiques sur l’Entendement Humain (titre final : Enquête sur l’entendement humain, écriture pendant 1à ans de 1748 à 1758) de David Hume. Thème : Dans ce texte Hume analyse plus précisément le statut de la causalité dans l’entendement humain. Problématique : Comment se construit la relation de causalité ? Est-ce notre raison qui va permettre d’en rendre compte en considérant alors qu’elle serait intrinsèque aux phénomènes ou bien

Auteur : Charles Pépin LES PHILOSOPHES SUR LE DIVAN : LES TROIS PATIENT DU DR ‘FREUD Extrais : Sartre & Kant Dix citations appréciées tirées du livre de Charles Pépin SARTRE : I. « Je sais aujourd’hui que toute ma philosophie ne fut qu’une tentative pour justifier mon trouble identitaire, un effort génial et pathétique pour donner une épaisseur métaphysique, universelle, à cette maladie dont jusqu’à maintenant il ne m’avait jamais semblé souffrir.» (p.21) II. «Que les

Résumé: L'Homme est un être désirant. L'objet de ces désirs ne cesse de changer, peut-être sous l'influence de la société ou pour des raisons que le sujet de ces désirs ignore et ne peut maîtriser. Ainsi, l'Homme soumis à ses pulsions, ne parvient pas à agir sur celles-ci et en devient esclave. Or, même si l'on considère libre l'Homme qui agit indépendamment de toute contrainte et même de toute raison, sa liberté étant alors réduite au libre-arbitre, cette dernière nécessite toutefois un effort

Termes importants : moralité, bonheur, désir, contrainte, devoir, volonté, raison Definition de bonheur : Le bonheur (étymologiquement la bonne fortune - entendre dans "fortune" : ce qui arrive de bien ou de mal -) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. Nous cherchons tous à être heureux, mais est-ce un devoir d’être heureux ? En d’autres termes, y a-t-il un devoir

Peut-on être sûr d’avoir raison ? Analyse du sujet : Ce sujet pose la question du lien entre la certitude (peut-on être sûr) et la raison (d’avoir raison). L’intitulé vise à aiguiller l’élève sur une interrogation concernant la capacité d’une telle situation de se produire. Si l’on peut trivialement répondre à cette question par la positive (oui, je suis sûr d’avoir réglé ma baguette de pain 1€ ce matin), chaque personne est amenée, au fil de ses expériences personnelles et des situations

L’homme est un animal qui, du moment où il vit parmi d’autre individus de son espèce, a besoin d’un maître. Car il abuse à coup sûr de sa liberté à l’égard de ses semblables; et, quoique, en tant que créature raisonnable, il souhaite une loi qui limite la liberté de tous, son penchant à l’égoïsme l’incite toutefois à se réserver dans toute la mesure du possible un régime d’exception pour luimême. Il lui faut donc un maître qui batte en brèche sa volonté particulière et le force à obéir à une volonté

Philosophie P.26 du Manuel «L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant» Qu’est-ce que l’homme? L’infiniment grand et l’infiniment petit. L’homme apparaît ainsi comme «un milieu entre rien et tout», perdu dans l’univers infini que nous dévoile la science. Cet univers est désenchanté. «Son centre est partout et sa circonférence nulle part». L’homme est de toutes parts dépassé par la puissance énorme de la nature. Sa faiblesse est immense, ses

l’ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. ». Ce simple raisonnement admet de façon incontestable l'existence d'une conscience qui nous permet de penser. De plus, Emmanuel Kant ajoute dans Anthropologie du point de vue pragmatique que « La pensée que « je ne suis pas » ne peut absolument pas exister ; car si je ne suis pas, je ne peux pas non plus être conscient que je ne suis pas. Je peux bien dire : je ne suis pas