Emmanuelle Monfort

L’ART ET LE BEAU I Le beau existe-t-il dans la nature ou dans l’art ? 1 L’art imite la nature 2 La nature imite l’art II Le beau existe-t-il dans les choses ou dans le regard que nous portons sur elles ? 1 Le beau n’est pas la représentation d’une chose belle, mais la belle représentation d’une chose 2 Le beau n’est pas l’agréable. L’universalité du jugement de goût III Le beau existe-t-il encore dans l’art ? 1 Un certain art contemporain : les objets triviaux

IPO Séquence 1 : INTRODUCTION - L'université sans condition ? - La question de l'homme et des Humanités séquence 2 : I ) Qu'est-ce que la psychologie ? - La psychologie générale ou l'unité de la psychologie : un mythe à déconstruire. séquence 3 : L'arrière-fond philosophique de l'histoire de la psychologie - Héritage de la philosophie antique : les philosophes de la nature et Aristote, premiers grands "rationalistes". - Héritage cartésien : Descartes et le doute méthodique -

Y a-t-il une psychologie morale freudienne? (paru dans la mongraphie La vie morale de la Revue internationale de psychopathologie) Mots-clés: Freud, psychologie morale, philosophie de l'esprit, psychopathologie, Surmoi. Résumé: Au lieu d'une psychologie morale, on a plutôt l'habitude de voir dans l'œuvre de Freud une psychopathologie de la morale. En démontrant que cette vision repose sur divers présupposés naturalistes que la philosophie de l'esprit contemporaine permet de critiquer, une

La logique veut que l'on pense que notre bonheur n'existe que dans ce que l'on appelle la vie privée, que chaque être s'auto suffit. Le bonheur est un état de satisfaction totale de l'être humain, d'ataraxie ; une affaire privée correspond à l'intimité de chaque être humain, ce qui n'est pas partagé avec les autres. Mais face à cette réponse logique se dresse la réalité, ne peut-on réellement être heureux que dans notre vie privée ? La vie, les personnes qui nous entourent ne seraient alors que des

Chapitre 6 : avons nous des devoirs envers nous mêmes ou seulement envers les autres? La morale repose sur un sentiment d'obligation, alors est ce qu'on peut être obligés envers nous même? Sa paraît bizarre parce que celui qui est obligé est obligé envers lui même et peut se dispenser de l'obligation! Cependant sans devoir envers nous même, la morale se réduit à un principe de non nuisance envers les autres. I / Idée de devoirs envers nous mêmes est... A) ...absurde! Pour ogien, l'éthique

Philo : « Suffit-il d’être doué pour être artiste ? » L’origine de la création artistique est souvent l’objet de réflexions philosophiques ou de débats, en effet dès l’antiquité des penseurs tel que Platon expriment leurs idées à propos de l’art mais aussi de l’implication de l’artiste dans la réalisation de son œuvre. En effet certains affirment que l’inspiration ou le génie sont à l’origine de la création artistique et non le travail de l’artiste lui-même. Le talent, peut être définit comme

Récapitulatif de votre recherche : Série : Terminale Générale S Matière : Philosophie Le Corrigé Vous avez déjà consulté ce corrigé 2004€€-€€ Terminale Générale S€€-€€ Philosophie€€-€€ Dissertation I - LES TERMES DU SUJET A - HOMME La philosophie distingue traditionnellement l'homme de l'animal. Le comportement animal est réglé par l'instinct, alors que l'homme a une liberté de choix (un libre arbitre) qui l'individualise : chaque individu peut opérer des choix différents,

Wilhelm Friedrich, Esthétique, trad. fr. Ch. Bénard, éd. revue et compl. B. Timmermans et P. Zaccaria, Le Livre de Poche, 1997. JEAN PAUL, Cours préparatoire d'esthétique [abrév. CPE], trad. fr. A.-M. Lang et J.-L. Nancy, L'Âge d'homme, 1979. KANT Emmanuel, Kritik der reinen Vernunft [1781], in Kants Werke, vol. 6, Berlin, Gruyter, 1968; Critique de la raison pure, in Œuvres philosophiques, éd. F. Alquié (dir.), trad. fr. A. J.-L. Delamarre et F. Marty, éd. J. Barni revue, Gallimard, “ La Pléiade ”

traites l'humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen » Cf. Emmanuel Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, traduction de Victor Delbos, Paris, Éd. Delagrave, 1959, p150. Cette règle à pour but de différencier l’homme de l’objet. Emmanuel fait une distinction très clair entre l’objet et l’homme. Le premier est invulnérable et remplaçable. Alors que le fœtus, ou l’embryon, est unique et ne peut

Etre libre, est-ce être indépendant ? On croit souvent qu’être libre, c’est être indépendant, c’est-à-dire faire ce que l’on veut sans que rien ni personne ne vienne nous contrarier. Mais peut-on être vraiment libre sans accepter de respecter un certain nombre de règles ? Il s’agit de distinguer plusieurs sortes de libertés à partir du rapport qu’elles entretiennent avec la loi en général, afin de savoir laquelle est la plus satisfaisante pour les hommes. I) Caractéristiques et limites