Emouvoir Le Lecteur

cervelles étaient répandues sur la terre a côté de bras et des jambes coupés » .Avec cette dernière phrase on peut conclure que tous les éléments sont arranges pour la création d’une image atroce et choquant, cherchant peut être émouvoir des sensations et émotions chez le lecteur. Par contre, est ce que cette scène va touchait notre héros Candide ou il va montrer de l’indifférence et regret envers elle ? Dans un deuxième temps, nous analyserons les attributs du caractère de candide qui font de lui

est une gradation descendante. L’hyperbole « moins malheureux que nous » montre combien ils subissent un traitement inhumain. Candide est touché par ces paroles : « ils versait des larmes », « en pleurant ». Le registre pathétique est là pour émouvoir le lecteur ; ici à travers le personnage de Candide. On peut donc dire que le témoignage du nègre est émouvant et réaliste et qu’il suscite la pitié. Voltaire ne veut pas seulement dénoncer l’horreur de l’esclavage, il veut aussi insister sur les vices

derrière les "joyeusetés", il y a matière à réflexion. Le rire selon Figaro dans le Barbier de Séville : "je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer" (Beaumarchais) C'est le rire de protection : Je ris pour ne pas me laisser émouvoir. Je ris pour ne pas me laisser aller à la tristesse. Je ris pour ne pas me laisser impressionner. Je ris car je fais le choix de considérer que la vie n'est pas sérieuse. Par contraste, la situation n'en ressort pas moins grave, et le personnage

moins nombreuses (mort-caché). Shade les voit mal. Fumé des bombardements. Shade trouve va impressionnant. Conclusion : Ecrit dans l’espoir d’arrêter le massacre de Madrid. Explique le titre du livre. Texte fortement engagé. Il cherche à émouvoir les lecteurs pour qu’ils réclament la fin de la guerre Points important : * Description de Madrid sous les bombes ↪ Madrid en feu (Champ

L'argumentation direct et indirect. Une argumentation peut être présentée de 2 façons: direct et indirect. Ces deux formes permettent à l'argumentation de remplir de diverses façons les trois obligations de l'orateur : instruire, émouvoir et séduire. → L'argumentation direct : elle consiste à exposer la pensée sans détour. Elle apparaît dans: Le dialogue d'idées: Il conduit à l'affirmation d'une pensée ou d'une thèse, dans un échange constitué de questions et de réponses. L'intérêt

efficacité à ce poème qui ressemble à un apologue ? [Annonce des axes] C’est d’abord le ton pathétique qui frappe le lecteur ; c’est aussi la figure du personnage principal, le Loup, animal sauvage transformé en véritable héros, qui donne toute sa force symbolique à la « leçon » que Vigny donne aux hommes. I. Le récit pathétique d’un combat et d’une mort Vigny, pour émouvoir le lecteur et donner plus de force à sa réflexion, rend ce récit particulièrement poignant. 1. Les choix narratifs Vigny, pour

mis en avant. La tristesse de la situation se mêle au romantisme de cette déclaration d'amour. Les vers sont des alexandrins (12 syllabes) Ce sont des strophes de 5 vers : des quintils. Les rimes sont embrassées (ABBA) les impressions du lecteur Le poème fut écrit dans un but précis, remémorer, préserver de l'oubli, laisser une trace de certains faits. Le titre est d'ailleur explicite « Strophe pour se souvenir ». « Onze ans déjà que cela passe vite, onze ans. » Les années passent en rappelant

polyphonie (plusieurs voix) - antagonisme entre roi = for et cerf = faible - discours flatteur et intelligent du cerf (cynisme, hypocrisie = nécessaires pour survire dans ce monde) - voix du peuple + du narrateur également présentes - adresse au lecteur ( prend part du récit 3) Un récit fertile en rebondissements - 1: on dit que le cerf a rit, alors qu’on sait qu’il n’a tout simplement pas pleuré - 2: accusation - 3: condamnation à mort - 4: discours du cerf - 5: dénouement, inversement de

sera ré-édité trois ans plus tard, le 15 mars 1832, cette fois-ci signé de Victor Hugo, et complété alors par une longue préface dans laquelle il développe son argumentation. Écrit comme un journal à la première personne, Hugo interpelle le lecteur en exposant les sentiments d’un homme, qui se livre à un monologue intérieur. Le récit commence par une exclamation, lancée comme une prise de conscience : « Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée ». Au fil des pages

les guerres de religion en France grâce à une allégorie d'une" mère", la France et de ces "deux enfants", qui représentent la religion catholique et protestante. Le fait que les deux frères se fassent la guerre inspire la pitié et la révolte du lecteur mais surtout au poète grâce à la ponctuation (? !) Les catholiques et les protestants sont injustes envers leur pays car ils le détruisent et la France « Succombe à la douleur, mi-vivante, mi-morte » (v22). Dans le texte 2, Victor Hugo dénonce, le