Emphase

Inspiré de l’histoire de Florence au temps des Médicis - et probablement de chroniques florentines authentiques.  Également son œuvre narrative principale, la Confession d’un enfant du siècle (1836), est une autobiographie romancée qui, avec quelque emphase et quelque complaisance, analyse l’âme tourmentée du poète. On y trouve surtout l’expression du sentiment de trahison que ressentait la génération de 1830, celle qui vit ses espoirs anéantis par l’échec du soulèvement de Juillet et son avenir confisqué

spirituels », « Pour lui imprimer plus fortement le caractère de l'enfance, nous le faisons exprès tutoyer par Figaro ». Par ailleurs, Beaumarchais ajoute : « Ce rôle ne peut être joué [...] que par une jeune et très jolie femme », afin de marquer une emphase sur son innocence et jeunesse, sur laquelle il insistera tout au long de la pièce. Ceci afin de justifier d'avance ses actions et pour le rendre innocent et inoffensif. Ce personnage, physiquement ne tient pas une place très importante dans le texte

comme dans le monologue de Figaro, porte-parole de Beaumarchais. Tous ces personnages expriment critique et revendications : les femmes réclament d'être associées à la vie de la cité et de pouvoir pratiquer tous les métiers, Figaro dénonce avec emphase l'arbitraire des nobles, l'injustice des privilèges de la naissance, la censure qui frappe les écrivains, une société corrompue où le mérite n'est jamais reconnu : il réclame une certaine égalité, la liberté, d'expression notamment. Les deux autres

l’exact opposé du titre. I. La prière donne une image implorante des hommes Impératif marque de la prière => daigne, puissent Apostrophe à Dieu « à toi » et gradation hyperbolique « Dieu de tous les êtres, de tous les hommes et de tous les temps ». Emphase sur la faiblesse des hommes « faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers » Il implore Dieu avec les verbes « oser » et « demander ». Il minimise les hommes face à Dieu, hommes petits à l’image des « atomes

avec Fantine ou Éponyme. Comment Victor Hugo s'y prend-t-il pour montrer la misère de Fantine ? Tout d'abord nous verrons la description d'une miséreuse puis la tragédie social de sa misère. La description de Fantine commence avec la mise en emphase de l'argent « c'est de l'argent », « 10 francs », « 40 francs », « dette », « ruinée », « créancié » car elle vient d'être « congédiée » et « a moins de travail ». Fantine essuie un double isolement, à le fois avec son enfant naturel et également

soit commode, léger, développé technologiquement et en couleur noire ? C : Tout a fait. V : Vous n’avez pas à chercher ailleurs ! je vous offre un vrai bijou qui correspond parfaitement à ce que vous cherchez. C’est le Panasonic Lumix DMC TZ3. (Emphase sur le Panasonic DMC TZ3) C : Et qu’est ce qu’il a de si spécial ce P-A-N-A-S-O-N-I-C DMC TZ3 ? V : Vu votre goût raffiné, je vous propose d’essayer notre produit star que nous réservons aux connaisseurs en photographie. Le DMC TZ3 a un boîtier

tristement l’hiver» → saison personnifiée / attribution de 2 états du corps souffrant et malheureux → inverse dc la symbolique traditionnelle du printemps « Hiver » mis en rejet au v 2 : continuité de la proposition du 1e vers → mise en valeur par emphase + Mot « hiver » répété une seconde fois à la fin du vers → insistance + Hémistiche du 2e vers se termine par mot « art » → hiver = source inspi Printemps associé à une forme de paralysie et / stérilité : « impuissance » . 2. L’angoisse

I Le personnages de Mlle de Chartres est présenté avec une certaine emphase. A) Emploi du procédé littéraire de l’hyperbole 1-Personnage présenté comme supérieur : superlatifs, adjectifs mélioratifs, termes absolus. 2-Personnage présenté comme source immédiate de l’admiration générale : valorisation de son apparition, thème de la surprise ; focalisation omniscient qui permet de la présenté comme une exception à travers le temps. B) Ce portrait est en effet un éloge , tant il accumule les qualités

déjà votre chapeau ne vous appartient pas plus que vous ne vous appartenez à vous même : Vous êtes au jeu ... » (l.21 à 23). Ici il utilise un élément modalisateur tel que l'impératif puis une amplification de métaphores énumérées pour produire une emphase sur la notion de jeu et de dépossession. Le personnage est aussi responsabilisé par l'auteur avec une anaphore du mot « vous » et du mot « votre » des lignes 23 à 24; « Vous êtes au jeu, vous, votre fortune, votre coiffe, votre canne, et votre manteau

rayonne une figure prégnante, bienfaisante, aimante, soignante, celle de sa mère. C’est pour effacer une faute grave, ne pas lui avoir assez témoigné son amour et son admiration, que l’auteur a écrit Le livre de ma mère. L’énumération s’ouvre par une emphase lyrique, une « convocation » “Ô mon passé” (et cette tentative d’appropriation est comme un exorcisme pour contourner cette absence définitive), et se clôt par « ô sons morts du passé, fumées enfouies et dissoutes saisons. » Le texte se retourne sur