Emphase

fermeture = référence implicite au paradis terrestre prédication & style direct, procédé oratoire. Propriété mise en valeur dans son côté hostile quasi démoniaque -métaphore + allégories finn texte « esclavage et misère croître et mousson » Emphase lyrique + thème nature (= point d’orgue de la démonstration) III. LA SOCIÉTÉ CIVILISÉE « Société civile » = féroce (& conjonctive exclamative + crescendo dans champ lexical violence + rapidité accumulation) -> progression argumentative

abondante. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre au XIXe siècle et a été généralement admiré par ses contemporains et l'est encore, mais il a été aussi contesté par certains critiques, en particulier pour son emphase [1]. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l'engagement de l'écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position qui le condamneront à l'exil pendant les vingt ans du Second Empire

figure d'appendice, d'à-côté professionnel en marge de l'engagement, ou de période, formatrice sans doute, mais bientôt dépassée. Peut-être y a-t-il une part de légitimité à procéder ainsi, l'héritage laissé par Fanon à ce que l'on peut appeler, sans emphase, "l'histoire de l'humanité", relevant davantage du politique que du psychiatrique. A y regarder d'un peu plus près, cependant, on s'aperçoit que le psychologique et le politique chez Fanon ne s'opposent pas comme deux moments que sépareraient la

la misère ? I. Un discours engagé A) Enonciation -Apostrophe : implique son destinataire : l.20,23,16… ex :vous l.20 -Questions rhétoriques l.4,5 -Pronoms personnels je -Anaphore « je dis » l.10  insistance, donne de l’engagement, marque une emphase -Paradoxe l.11 Hugo se sent responsable de cette misère et souhaite donc l’abolir. Il en est complice. -Ethos, prise de conscience, réagir, pathos -6 SS valorisation (consession) -7 SS blâme (concession) l.42,43 parallélisme/ impératif/ allégorie

ton humilité m’a vaincu. » Il en fera de même avec le père d’Aminthe, lui faisant croire qu’il épousera sa fille ou encore avec le Duc Octave. Ce trait de caractère est exacerbé dans la mise en scène en premier lieu par le jeu de l’acteur, son emphase dans la récitation de son texte et les modulations dans la tonalité de sa voix, qui créent un personnage dynamique, voire même violent dans ses sentiments et ses pulsions. La voix est un élément récurent dans la mise en scène, qui est parcourue de

LA 1 : Livre V, Chapitre X → Fantine Comment Victor Hugo s’y prend-t-il pour montrer la misère de Fantine ? I. La peinture de la misère A. Une situation due à la dureté des conditions La description de Fantine commence avec la mise en emphase de l'argent « c'est de l'argent », « 10 francs », « 40 francs », « dette », « ruinée », « créancié » car elle vient d'être « congédiée » et « a moins de travail ». Fantine essuie un double isolement, à le fois avec son enfant naturel et également

ne pas sur jouer le sublime de peur de sombrer dans le pathos, de jouer le grotesque sans tomber dans la parodie. Comment montrer par le jeu de l’acteur l’articulation entre passions privées et ambitions publiques. Comment dire l’alexandrin sans emphase tout en respectant sa construction. Faire un choix entre les décors prévus et l’espace vide du théâtre contemporain. 2. Quels éléments inimaginables finissent-ils par être possibles ? Le fantastique avec une pièce joué comme un rêve ou un cauchemar

cœur assez sain pour savoir aimer la liberté : Tous veulent commander, à ce prix nul ne craint d’obéir. Un petit parvenu se donne cent maîtres pour acquérir dix valets. Il n’y a qu’à voir la fierté des nobles dans les monarchies ; avec quelle emphase ils prononcent ces mots de service et de servir ; combien ils s’estiment grands et respectables quand ils peuvent avoir l’honneur de dire, le roi mon maître ; combien ils méprisent des républicains qui ne sont que libres, et qui certainement

Mise en abîme : répétition d'un élèment à l'interieur d'un même élèment similaire. Enchassement : on inscère un élèment supplémentaire dans un discours. Contre-rejet : un mot au début que devrait être à la fin. IV. Les figures de pensées Emphase : emploie un ton solenel pour évoquer une réalité ( exagération ). Oeuphémisme : attenuer ses mots pour ne pas choquer. Hyperbôle : exagération. Litote : dire peu pour suggérer beaucoup. Appostrophe : on interpelle directement. Analepse : on

| |En dépit du fait que |Malgré que (+ substantif) | |Pour marquer une emphase | |C'est dire que |Non seulement