Empirisme Et Rationalisme

intellectuelles détaillées et de règle opératoires reproductibles nécessaires a la production de connaissances et a la résolution de problèmes de recherche Dimension : dans le cadre de l’analyse conceptuelle, aspect spécifique d’un concept donne Empirisme : approche qui consiste à fonder sur la réalité ce qui peut être dire a partir des données issues des sens, de la perception de l’expérience humaine Épistémologie : discipline philosophique qui traite de la manière dont la science aborde un phénomène

Édition complétée le 19 novembre 2005 à Chicoutimi, Ville de Saguenay, province de Québec, Canada. Table des matières Introduction 1. Définition de la science 2. Principaux courants épistémologiques 2.1. Rationalisme (17e siècle) 2.2. Empirisme (18e siècle) 2.3. Positivisme (19e siècle) 2.4. Constructivisme (20e siècle) 2.5. Réalisme (20e siècle) 2.6. Résumé des principaux courants épistémologiques 3. Convergence historique de la classification proposée 4. Limites

fluctuation de perceptions changeantes et contradictoires. Cela illustre l’empirisme, courant auquel appartient le philosophe du 18e siècle. En effet l'empirisme part du principe qu'aucune connaissance n'est possible sans expérience. Il s'oppose ainsi au rationalisme ou philosophie du sujet qui identifie conscience et moi. Celui-ci constituerait l'essence de l’homme, réalité interne inaltérable et source de connaissance.Ainsi, Hume évoque d'abord une thèse qu'il ne partage, pas celle d'un moi intérieur stable

(ontologie) ou encore de celui de la philosophie de l'art (esthétique). Problématique épistémologique L'apparence sensible est-elle une source fiable de connaissance ? La connaissance vient-elle de l'expérience sensible (= empirisme) ou de la raison (= rationalisme) ? Descartes, dans son analyse du morceau de cire montre que les apparences sensibles du morceau de cire ne nous apprennent pas vraiment ce qu'est la cire, puisque la même cire demeure alors que toutes ses qualités sensibles changent

II) Les impasses de l'identité le moi est-il unique ? La stabilité et l'unité du moi ne sont pas incontestables David Hume (1711-1776) → Traité de la nature humaine; 1739 David Hume oppose son empirisme au rationalisme de Descartes. Empirisme: doctrine qui soutient que l'expérience est la seule source de connaissance. « Je ne peux rien observer que la perception » Hume s'attaque à la simplicité cartésienne, c'est-à-dire à l'idée que ce moi ne se composerait que

transdisciplinarité. Épistémologie: manière de concevoir les procédés pour acquérir les connaissances valables sur les phénomènes. Considérations: Sujet (ce sur quoi on discute, on écrit) et objet (ce sur quoi porte une activité) Théorie: rationalisme ou empirisme Raisonnements: Induction (généralisation, à partir de quelques cas, étendre au plus large) et déduction (démonstration, partir de prémisses et tirer des conséquences). Concepts: À partir d’une activité pratique, sensible, il s’agit d’une

scepticisme) * Ne peut douter * * Pourquoi existent le doute et la méthode? * Pour pouvoir trouver la vérité * Scepticisme => ne peut déterminer la vérité humaine avec certitude * * 2ème : Fondation du rationalisme moderne * * Rationalisme : Doctrine qui soutient que toutes les connaissances certaines proviennent de la raison. * * Chacun à une part de raison, partagée par tous. Elle part de l’individu, de soi-même pour atteindre la vérité. * L’âme

l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort » texte 7p 276 première hypothèse: expérimenter sur la matière A comment appréhender cette réalité ? *à partir de la raison ? rationalisme exposé auteur, Descartes, Discours de la méthode limites: comment connaitre sans voir? *à partir des sens? empirisme exposé auteurs, Locke, Essai sur l'entendement humain limites, induction, Hume, Traité de la nature humaine *l'opposition classique est dépassée: rapport est reconnu Kant

Comte pour fonder une approche moderniste, méthodique et historique de la science. Il substitue à la loi des trois états sa propre vision du processus scientifique, dont les étapes principales sont le « réalisme naïf », le « rationalisme » et le « surrationalisme » (ou « rationalisme dialectique »)[10] . • Friedrich Nietzsche. Bachelard réinterprète les notions nietzschéennes de désir, de puissance et d'ascension[11] , qu'il applique à ses psychologies du feu et de l'air. • Lautréamont. Bachelard lui

vérités objectives indépendantes de l'observateur. Les Transcendantalistes américains ont adopté ces idées dans leur conception de la nature et de la spiritualité, cherchant à élargir la notion de connaissance au-delà des limites de l'empirisme et du rationalisme. Prenons un exemple pour illustrer la conception kantienne de l'intuition et de la subjectivité. Si vous regardez une pomme, votre esprit reçoit des informations sensorielles sur la couleur, la forme, l'odeur et la texture de la pomme.