Emploi Non Qualifié

technique détruit des emplois. L’achat de nouvelles machines plus productives réduit le nombre d’emplois nécessaire car il augmente la productivité du travail. Ainsi, pour un niveau et un temps donné de production, une augmentation de la productivité engendrée par le progrès technique, réduit l’emploi disponible. Cette conséquence disparaît si l’on profite de cet accroissement de la productivité pour réduire le temps de travail. Mais le progrès technique supprime des emplois par un autre système

trouver un emploi. Les principaux types de chômages :  Le chômage conjoncturel : est lié à l’évolution de l’évènement économique du pays. Il se traduit par une compression temporaire de la quantité de main d’œuvre.  Le chômage structurel : est lié aux évolutions des structures de l’appareil productif. Il provient du fait de nombreux chômeurs qui ne veulent pas occuper les emplois proposés faute de formation adaptée,…  Le chômage frictionnel (mobilité) : est lié au passage d’un emploi à un autre

dans le monde du travail, les jeunes rencontrent alors des problèmes face à la société en elle-même. En effet, le rapport entre les jeunes et la société a nettement été bouleversée. L'écart entre les jeunes chômeurs et la possibilité d'accès à un emploi stable s'agrandit depuis une vingtaine d'années. Nous allons voir comment le chômage chez les jeunes témoigne de leur vulnérabilité et les moyens mis en œuvre pour y lutter. PLAN Introduction OK I/ Quelques éléments de contexte OK II/ Les

active regroupe l’ensemble des personnes occupant un emploi ainsi que celles recherchant un emploi. La population active en 2012 est de 28566 milliers de personnes (actifs ayant un emploi+chômeurs) s’est à dire 56.7% de la population. Dont 13639 sont des femmes et 14927 des hommes sur un ensemble de 50412 milliers de personnes. En sachant que le nombre de chômeurs en 2012 est de 2811 milliers de personnes et 25754 milliers d’actifs ayant un emploi. 3)Les caractéristiques de la population active en

occupés, ou qu’elles proviennent des différences de rendement de ces caractéristiques, sont restées extrêmement stables : quelle que soit l’année considérée dans cette période, 75 % de l’écart des salaires proviennent des différences de structure des emplois, le facteur le plus important étant la durée de travail. Enfin, on constate également une grande stabilité de la dispersion des rémunérations sur la période, dans un contexte de faible progression des salaires. La stabilité de l’écart des salaires

des raisons d’étiques ou de santé ou encore pour leurs emplois. Depuis sa création en 1898, jusqu’à nos jours le statut de salarié à changé à de multiples reprises. Sont désignés comme salariés les individus étant sous la subordination d’un employeur et recevant en contre partie une rémunération ; les contrats de travail proposés peuvent être de différents types (Contrat Durée Indéterminé, Contrat Durée Déterminée…). Ils ont donc un emploi, dit typique ou atypique en fonction de leur contrat

sont contraints à exercer des petits boulots sans rapport avec leurs niveaux de qualification. Le déclassement frappe en priorité les ouvriers, les employés mais aussi les cadres du privé dont les statuts se fragilisent au fur et à mesure que leurs emplois se banalisent. Les fonctionnaires restent à l’abri du déclassement car ils sont protégés par leurs statuts. Cependant, ils se heurtent à une remise en question de leurs avantages statutaires, à une diminution des effectifs et à une dégradation des

des révoltes ouvrières contre l’introduction de machines dans le processus de production, les plus célèbres ; sont celle des CANUTS lyonnais, ou encore des LUDDITES dans l’industrie textile en grande Bretagne. Le progrès technique détruit des emplois par un autre mécanisme : pour bénéficier du progrès technique incorporé au capital, les entreprises sont amené à investir, à substituer le capital au travail, d’où une hausse du chômage appelé chômage technologique. Or il entraine également l’apparition

les pays du nord? Tout d'abord, les délocalisations sont souvent perçues comme des conséquences négatives de la mondialisation, accusée d'être responsable en particulier de la désindustrialisation de nos économies et de la destruction des emplois correspondants. Il est vrai que les délocalisations s'accompagnent de licenciements massifs et de fermetures d'usines qui sont d'autant plus visibles qu'ils sont fortement relayés par les médias et qu'ils se situent dans des secteurs sinistrés et

travailleurs qualifié qui vont être les concurrents des industries européenne, américaine et japonaise. D’autre par la main d’œuvre de ces économies émergentes est devenu accessible aux producteurs des pays à haut niveau de salaire. Ce qui permet de transporter des entreprises de fabrication dans leur pays. On remarque que les tâches effectué dans leur pays sont plus complexe. Ex : en Asie travail à la chaîne, assemblage de produit mécanique puis tache plus complexe= semi producteur. Certain emploi de