En Attendant Godot Absurde

Le théâtre de l’absurde « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). Contexte historique : Les deux guerres

Le théâtre de l’absurde I. Introduction « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). II. Contexte historique :

un échange d’informations entre au moins deux personnes et qui traite généralement d’un seul sujet. La parodie se définit comme l’imitation d’un modèle détourné de son sens premier à des fins, généralement, comiques. Beckett dans sa pièce En attendant Godot parodie le dialogue. I. Une parodie de conversation, un dialogue sur rien. a) Relation des personnages est très différente. L’extrait de la pièce de Beckett met en scène deux couples de personnages, Pozzo-Lucky et Vladimir-Estragon, qui se

et L’Innommable en 1953. En attendant Godot est joué à Paris, à Londres et à New York. Dorénavant, Beckett se consacre entièrement au théâtre et accède à la notoriété. Il obtient le prix Nobel de littérature en 1969. Beckett est mort en décembre 1989 à Paris. Théâtre de l’absurde Les thèmes récurrents de ce « mouvement » sont la solitude l’homme, le tragique de l’existence, le néant, l’impossibilité de communiquer, l’angoisse humaine devant la mort. Le terme « absurde » a été emprunté à la philosophie

psychanalyse et de la Seconde Guerre Mondiale, écrit, dans un monde dévasté par la folie meurtrière et le génocide, sa trilogie romanesque composée de Molloy (1947-1948), Malone meurt (1948) et L’Innommable (1949), ses grands chefs-d’œuvre qui, avec En attendant Godot (1948), sont les seules œuvres qu’il ne reniera jamais. Cette véritable naissance à l’écriture reviendra souvent dans ses textes et ses entretiens, sous la forme d’une révélation qui a lieu en Irlande. En 1946, il retourne en Irlande auprès de

Le théâtre de l'absurde. « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). Contexte historique : Les

guerre mondiale. Ionesco, Adamov, Beckett, Genet, voire Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. La particularité de Ionesco et Beckett est qu'ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l'intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène. L'absurdité des situations mais également la déstructuration du langage

mort d'au moins un personnage ・ Absurde : lié à l'angoisse, on ne peut s'attacher à rien, il n'y a ni progrès ni évolution Pas d'action définie, si ce n'est de regarder de l'eau, de passer le temps. - leur discution, un peu comme avec les clochards de Beckett : cela ne sert à rien, juste à passer le temps b) rapport des personnages : la vieillesse ・ affection "mon chou" "ma crotte" ... ・ Mère-fils, didascalie l.57-58 Ouverture : vers En attendant Godot de Beckett : par les deux personnages

lecteur. Non pour comprendre l'histoire sinon un peu mieux comprendre les personnages.    Une des didascalies revient toujours, non à chaque phrase mais presque. Il s'agit de 'Un temps'. A première vue, on pourrait penser qu'elle est strictement absurde et inutile, mais au fil du texte, on voit qu'elle montre souvent une hésitation de la part du personnage qui va parler, ou aussi une insistance sur les mots venant d'être prononcés, de la part de celui qui vient de parler. Elle est donc utile .

Théâtre de l’Absurde  apparait : rupture totale du genre classique, origine de cette pensée est traumatisme de la 2GM. Mvt s'inspire du mvt Dada surréaliste (Jean Cocteau) et s’opposé au réalisme. Religieuse (Paul Clodelle) absurde : 2ème révolution avec En attendant Godot. Existentialiste (Camus, Sartre), Louis Jouvet avec Don Juan est acteur/metteur en scène. Le XXème siècle est le siècle de la créativité et de la mise en scène.