En Attendant Godot Absurde

Théâtre de l’absurde, années 1950, monde. Mise en contexte Suite aux atrocités de la première moitié du 20iéme siècle, l’homme découvre qu’il peut être monstrueux et la vie lui paraît alors complètement absurde. L’art subit le contrecoup de ces atrocités. L’homme ne perçoit plus le sens de cet univers. Le théâtre perd toutes ses perspectives conventionnelles, les dramaturges vont désormais montrer l’angoisse par les mots eux même et non par l’histoire. Définition Le théâtre de l’absurde est

ensuite contredits par son bon sens et sa raison. Dans une pièce absurde également nous pouvons trouver un sens caché. Dans En attendant Godot de Samuel Beckett, le langage se réduit à sa fonction pratique, il s’agit de parler pour parler, de dire n’importe quoi pour maintenir un semblant de communication (on retrouve une situation similaire dans La cantatrice chauve de Ionesco). Pendant toute la pièce, Vladimir et Estragon vont attendre Godot. Cette pièce est une analyse de la condition humaine, à savoir

d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959) et par Samuel Beckett (En attendant Godot, 1952), le théâtre de l’absurde tend à éliminer tout déterminisme logique, à nier le pouvoir de communication du langage pour le restreindre à une fonction purement ludique, et à

Emmanuel Parke    FRN 371  A contre­courant : le théâtre francophone  Prof. Hebouche  Fiche Beckett (2 pages)       Dans « The ‘Absurd’ Actor in the Theatre of Samuel Beckett » l’auteur Enoch Brater  discute la chute de l’humanisme par rapport à la réalité. L’homme se trouve dans un état  philosophiquement absurde où il n’a plus de foi en lui­même. Pour des attentes, l’homme veut  l’unité mais il trouve la diversité partout ; il a envie du bonheur et de la raison, mais il trouve le  pessimisme dans un monde inaudible et discordant

lui-même la catégorisation de ses œuvres sous la dénomination de théâtre de l’Absurde : « Je préfère à l’expression absurde celle d’insolite. » Il voit dans ce dernier terme un caractère d’effroi et d’émerveillement face à l’étrangeté du monde alors que l’absurde serait synonyme de non-sens, d’incompréhension. Selon lui, ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas une chose qu’elle est absurde. « Eugène Ionesco » est donc retenu dans les encyclopédies comme étant un dramaturge français d'origine roumaine

Lecture analitique N°3 « Les voix Morte »(En attendant Godot de Beckett) Introduction : Nous sommes au début se l’Acte II, « lendemain mm heure, mm endroit » →c presque leur résidence→ Les 2 pers se sont disputés. On arrive a ce txt et on change complètement de theme,page qui parait détacher , en apesanteur → moment d’improvisation Est-ce que c’est une manière d’exister ? Txt déroutant et particulier, temps mort, Absurde oui, B moment marqué particulièrement par l’absurde, mais telle que B

scène « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles. »(Eugène Ionesco). Cette pièce se révèle être une allégorie de la vie dans laquelle Winnie ou l’Homme s’enfonce petit à petit vers la mort. Du même style, en attendant Godot écrit en 1952 symbolise la vie comme une longue attente de la mort où deux personnages attendent Godot qui se révèle être Dieu (God/Godot).

Le théâtre de l’Absurde Partie A : L’Absurde, présentation. Le mot absurde vient du latin ab-surdus ce qui signifie au sens propre « sourd, inaudible » mais au sens figuré « hors de propos ». Le théâtre de l’Absurde exprime donc un écart avec ce qui devrait être et ce qui est. Le théâtre de l’absurde représente bien le questionnement de l’époque. Une époque d’après-guerre où toutes les idées et les conceptions déjà existantes sont remises en question. •Les idées essentielles : L’absurde

comprend de nombreux romans : Murphy (écrit en anglais en 1938, traduit en 1947), Molloy (1951), Malone meurt (1952), L’Innommable (1953), Nouvelles et textes pour rien (1955), Watt (1969). Mais il a eu plus encore de succès sur la scène : En attendant Godot (1953), Fin de partie (1956), La Dernière Bande (1958), Oh ! les beaux jours (1963). Le succès international de Beckett et la qualité remarquable de ses écrits lui ont valu le prix Nobel de littérature en 1969. Influencé par son

même du dialogue et pas seulement par les idées développées que se manifeste l'insignifiance de la vie dérisoire de l'homme. La structure des œuvres est souvent cyclique (comme « La leçon » ou encore « La dernière bande » ou répétitive (« En attendant Godot »), visant à montrer, par l'absence d'action d'ensemble, le caractère monotone, répétitif et sans issue de notre vie quotidienne. Le contenu des répliques est pauvre, et porte souvent sur des gestes ou des situations d'une grande banalité,