En Attendant Godot Absurde

L’amitié peut-elle encore exister dans l’univers d’En Attendant Godot ? Après l'écriture d'Eleuthéria, où Samuel Beckett s'était retrouvé dépassé par trop d'actions et de personnages, il choisit de s'attaquer à un sujet plus simple : «J'ai commencé d'écrire Godot pour me détendre, pour fuir l'horrible prose que j'écrivais à l'époque», «la sauvage anarchie des romans», déclara l'auteur. Cette pièce de théâtre en deux actes de Samuel Beckett est parue en 1952 aux Éditions de Minuit et a été

I/ Sens et origines de l'Absurde: Pourquoi le mouvement est-il appelé ainsi? A/ Le sens commun Le sens premier du mot « absurde » était « inharmonieux » au sens musical, d'où la définition du dictionnaire: en désaccord avec la raison et la bienséance, incongru, irraisonnable, illogique. Dans le langage courant « absurde » peut ne signifier que « ridicule ». B/ Le sens donné par le mouvement Cet définition n'est pas le sens que nous entendons quand nous parlons du théâtre de l'Absurde

considérable. Pierre (poussant quelques tables avec elle) – C’est vrai. Mais bon. En tout cas, je suis bien content de ne pas avoir à travailler sur l’extrait de Corneille. Camille – Pourquoi ? Moi, j’aime bien Le Cid… Pierre – Oui, mais au moins, En attendant Godot, ça me fait rire. Camille (interloquée) – Pardon ? Pierre – Oui, je dis bien : ça me fait rire. La scène est amusante, quoi ! Camille – Mais pas du tout, tu n’as rien compris à la scène ! Je n’ai pas du tout la même interprétation du texte que

d’action) 4 L’occupation p. 110 ligne 20 – 22 : Estragon et Vladimir sont obligée de rester, pour cela ils cherchent quelque chose à faire. Le « au secours ! » de Pozzo a été aperçu. ligne 12 : Vladimir pense que rêver fait passer le temps en attendant Godot, mais il ne veut pas savoir ce que Estragon a rêvé. 5 La répétition p. 111 ligne 1 : Une répétition de l’action. p. 113 ligne 5 – 7 : Une répétition de la réponse de Pozzo. 6 L’irréalité p. 113 ligne 9 : Peut-être rien n’est réelle

l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rupture totale vis-à-vis de toutes les traditions théâtrales. Refus du réalisme des personnages et de l’intrigue . Combattre les illusions, littéraires et philosophiques, qui donnent une image idéalisée de l’homme. Montrer les limites du langage dans la communication : souligner l’absurdité de la vie et du monde par des discours absurdes ou vides. Caractéristiques rejet les règles du théâtre, à savoir unité

éclaté → nouvelle vison du monde (pas de Dieu, pas de sens ; spirale) b) Un personnage moderne : l'anti-héros ► Dépassé par le monde dans lequel il vit → n'agit pas librement Personnages = pantins Fin de l'humanité → réification En attendant Godot, Samuel Beckett Introduction Entrée en matière ► Nietszche postule « Dieu est mort » au XIXe siècle → Absurdité Création d'un nouveau théâtre au XXe siècle : Le théâtre de l'absurde ► Basculement historique : monde totalitaire et

__________________________________________________________ PLAN I- le théâtre, un lieu de distractions et d'émotions fortes 1) Le théâtre un genre où règne la variété Des genres très différents de pièces correspondant à des époques et à des mouvements différents : absurde, romantisme, une variété de sujets et de mise en scène tragédie, comédie, tragicomédie: tout type de pièce : illustrant, les problèmes les plaisirs et les déplaisirs de la vie 2)Le théâtre, sources d'émotions fortes diverses émotions = tristesse

poursuivant pas la tradition. Il y’a un conflit fort dans la famille entre le père et son fils. En attendant Godot (1953) Samuel Beckett :1. L'absurdité de la condition humaine : Les deux œuvres traitent de l'absurdité de la condition humaine et de l'impossibilité de trouver un sens à la vie. Dans "En attendant Godot", les personnages principaux, Vladimir et Estragon, attendent Godot sans savoir pourquoi ils l'attendent ni ce qu'il représente. De même, dans "Juste la fin du monde", le personnage

Ionesco, Adamov, Beckett, Genet, voire Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. La particularité de Eugène Ionesco et Samuel Beckett est qu’ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l’intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène. L’absurdité des situations mais également la destructuration du langage

jusqu'au coup, en gros, t'es dans la merde! R : Euhhhhh... Non pas vraiment... Attendez un peu! Vous êtes qui au juste? J : Moi? Une partie de ta conscience... Je m'appelle Sartre... Jean-Paul Sartre. R : Est-ce que je deviens fou!? M : C'est peut-être absurde, mais tu as besoin de te recentrer, donc tu parles tout seul... R : Donc je suis fou..? B : Non... Quoique.. en fait si p-e bien! G : Je pense pas que c'est de cette manière que tu vas l'aider. J : Et toi tu comptes faire comment hein? Il me semble