En Attendant Godot Registre

Mme Cornet. Professeure de Lettres Approches didactiques du fait religieux dans l’art (Lettres et art) Projet de séquence pédagogique pour une 1ère L Le programme de 1ère est assez vaste et généreux pour intégrer l’étude littéraire des textes bibliques notamment lorsqu’il s’agit de mettre en évidence l’influence qu’ils ont eue sur notre littérature du moyen-âge jusqu’à nos jours. En 1ère L, l’objet d’étude conforme aux IO, intitulé « Les Réécritures », facilite encore cette possibilité

la Grèce Antique lors des fêtes religieuses en l’honneur de Dionysos. Elle repose sur le registre tragique puisqu’elle doit impérativement respecter la catharsis, à savoir inspirer crainte et pitié au spectateur. L’homme est confronté dans sa vie quotidienne au tragique qu’il reproduit souvent dans ses productions littéraires ou artistiques. Par définition, la tragédie est tragique mais est-ce que ce registre ne se retrouve pas aussi bien dans la plupart des genres littéraires et dans ceux du domaine

l’auteur nous montre encore les défauts de l’être humain ici en s’appuyant sur l’avarice mais aussi la tyrannie domestique, l'égoïsme et le sexisme en utilisant toujours un registre comique. On retrouve aussi des critiques de nombreux auteurs sur le thème de la société qui procède généralement de la manière en utilisant un registre comique. Dans Gargantua, de Rabelais on retrouve aussi de nombreux comiques tels que le comique de situations, ou de gestes. L’auteur y critique les mœurs de la société

défend position. Arguments . identification Ex dialogue argumentatif : Sganarelle et son maitre Dom Juan, l’un croit en sciences, l’autre religion. REGISTRES Le registre comique : C’est aussi un moyen efficace pour critiquer. Il peut se décliner en plusieurs constantes : l’humour, l’absurde, l’ironie. (comique de mot/ situation…) Le registre satirique : Il permet de dénoncer des situations en les ridiculisant. Il permet de faire réagir le lecteur grâce notamment à l’ironie et par l’exagération

repères traditionnels », à enclencher l'engrenage des effets théâtraux et à susciter l'intérêt du spectateur ? En quoi cette exposition est-elle programmatique de l'ensemble de la pièce ? I] Une exposition qui déjoue les attentes Dans En attendant Godot, le titre pose et ouvre l'horizon d'attente des personnages. Ici, le titre et la première phrase sonnent d'emblée la fin de quelque chose qui n'a pas encore commencé. « Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir », déclame Clov. L'intrigue

| | |( Le pittoresque du M-Âge | | | | |Procédés |-mélange registre comique & |- multiplication des détails vrais |-enquête préparatoire + document |-harmonie dans les sonorités | |d’écriture |tragique |- la description

il ne faut pas qu’il y ait seulement le héros d’intéressant mais aussi le méchant.   OBJET D’ETUDE : LE TEXTE THEATRAL ET SA REPRESENTATION. I. Groupement de textes Samuel BECKETT : En attendant Godot, 1952 Beckett est un irlandais, francophone, c’est un poète, romancier, et dramaturge. En attendant God(dieu)ot (suffixe dépréciatif, godasse, godillots) Lieu : vague/neutre Personnages : Vladimir (prénom) , Estragon (nom commun/plante) Retrouvaille des deux hommes : « revoila » ; « réunion » ;

face à une tradition qui, après avoir distingué les genres, tragiques et comiques, au moins en les fondant dans le drame, a séparé les « tonalités » (faire rire ou émouvoir, alternativement), cette dramaturgie ne sépare plus nettement le registre comique et le registre tragique, les rend non seulement peu séparables mais même quasi équivalents… Pour neutraliser l’effet encore intact d’étrangeté de ce théâtre, on a brandi la notion d’« absurd » comme si on retrouvait le questionnement existentiel de Camus

l’angoisse, l’ironie et le tragique. En ce qui concerne le langage, nous avons plutôt l’utilisation d’un langage courant, voire familier. Il y a un comique de répétition où l’auteur joue sur les infirmités de Hamm comme la surdité. Et comme dans En attendant Godot, on a l’impression que les personnages sont des clowns. Donc nous avons une certaine forme de comique dans ce texte qui contraste avec l’histoire. Les émotions que l’on retrouve font face à une certaine discorde, car ce contraste n’est pas attendu

Bérenger Unité de lieu : « salle du trône » Cadre temporel : salle du trône dans le château, précision sur le nombre de portes et de fenêtres. Par ailleurs, on, sait que le roi se meurt Donc l'unité d'action est la mort du roi ou son agonie. Le registre est tragique : Titre de l'œuvre : le roi se meurt Rien ne fonctionne comme avant, synonyme de décadence : La salle du trône est « délabrée », sale : « il y en a de la poussière » Le garde est vieux. La vache n'a « presque plus de lait » « Il fait