En Attendant Godot Tragique Comique

plus ou moins imaginaires qu’il rattache au sien. C’est de 1638 que daterait l’ajout de « de Bergerac », peut-être lorsqu’il rejoint les cadets de Gascogne. L'écrivain est surtout connu aujourd’hui pour sa comédie Le Pédant joué, pour son Histoire comique des États et Empires de la Lune, première partie de l’Autre Monde, et particulièrement pour avoir inspiré à Edmond Rostand le personnage central de sa pièce Cyrano de Bergerac, qui reprend certes des éléments de la biographie du poète du grand siècle

pouvoir et l’amour. C/ Le conflit tragique Le conflit tragique ou dilemme cornélien, place le héros dans une situation de déchirement intérieur. En effet, il est libre de choisir mais ne sait pas choisir. Il se trouve prisonnier d’un choix impossible à faire. Il y a conflit tragique lorsqu’il y a équivalence de motif. La mort apparaît bien souvent comme la seule échappatoire. Ex 1 : Rodrigue dans le Cid, est un personnage emblématique du conflit tragique. En effet, il doit choisir entre perdre

Français : Mots éclairs. Partie d’examen : Question En attendant Godot : C’est une pièce écrite par Beckett et jouée pour la première fois en 1953. C’est une pièce de théâtre sans histoire : Beckett montre deux personnages qui attendent quelque chose et qui s’occupent. C’est une œuvre qui déconcerte : elle va recevoir l’étiquette de l’anti-théâtre, synonyme de théâtre de dérision ou théâtre de l’absurde.

monarchie. L’idéologie de l’état est confirmée par la poésie de louange (hymnes, odes de Ronsard) qui appliquent aux rois, superlatifs et comparaisons héroïques. Poésie lyrique et engagée avec le protestant Agrippa d’Aubigné qui a écrit le recueil Les Tragiques paru en 1616 et dont la facture s’apparente au baroque Poésie lyrique et pathétique : Louise Labé qui chante les affres de l’amour Peintres : rôle majeur de la peinture italienne ; Léonard de Vinci, Michel- Ange Architecture : les Châteaux de

est toujours en mouvement, en perpétuelle métamorphose. • L'idée du chaos est également importante dans le Baroque. Le monde est parfois présenté comme en désordre, instable. Les principales œuvres Baroques sont Les Tragiques d'Agrippa d'Aubigné, écrit en 1616, L'illusion comique de Corneille, écrit en 1636, ou encore Stances de la mort de Jean de Sponde, écrit en 1598. Le classicisme (1634 - 1685) Les plus grands auteurs classiques sont Pierre Corneille (1606 - 1684), Jean de La Fontaine (1621

Mais, plus on avance dans le siècle, plus il devient difficile de distinguer le courant précis auquel appartient telle ou telle œuvre. Le Nouveau théâtre par exemple, met en scène des personnages dont on ne sait plus très bien s'ils sont comiques ou tragiques. Il côtoie et ignore un théâtre plus populaire. Dans le genre romanesque, à l'humanisme des romanciers du début du siècle fait suite une littérature préoccupée par le problème de l'existence. Les personnages sont en proie à un monde qui

couple de théâtre clownesque est déjà présent dans l'œuvre de Beckett dans En attendant Godot avec Valdimir et Estragon. Ce que le spectateur va voir en premier c'est ce personnage qui se déplace de façon mécanique sur tout l'espace de la scène se livrant à une étrange pantomime. Référence évident à Charlie Chaplin (avec sa démarche) que Beckett connaissait par cœur. Il se trouve qu'à l'époque un autre très grand comique du cinéma américain : Buster Keaton. Lui c'est le personnage impassible (il ne

| |Pierre Augustin Caron de Beaumarchais, né le 24 janvier 1732 à Paris où il est mort le 18 mai 1799, était un écrivain, dramaturge, | |auteur comique, éditeur, horloger, inventeur, musicien, politicien, espion, vendeur d'armes, révolutionnaire (pour la France et pour | |les Etats-Unis) et fut l’une des figures emblématiques du Siècle des Lumières. 

Suzanne. Beckett En Attendant Godot. C’est l’histoire de Vladimir et Estragon, pour lesquels la vie est monotone, ennuyeuse. Pour eux, chaque jour est comme le précédent. Ils se retrouvent, chaque jour, près d’un arbre mort, se redécouvrent comme s’ils se rencontraient, comme s’ils avaient subit une amnésie le soir. Ils se racontent tout, leurs malheurs, oubliant qui ils sont, d’où ils viennent… La seule chose à laquelle ils tiennent vraiment, c’est de rencontrer le fameux Godot, sans savoir qui il

balinais à de « grands hiéroglyphes ».Artaud rassemble en 1938 dans Le Théâtre et son double les écrits sur le théâtre qu’il a rédigés depuis 1932. Séduit par l’aspect métaphysique du théâtre oriental, il est par ailleurs fasciné par le sang et le tragique. Artaud revendique pour le théâtre une cruauté métaphysique capable de blesser l’âme, grâce à laquelle le genre pourra renouer avec ses origines sacrées. Si le théâtre veut redevenir cérémonie, il doit être exigeant et cruel envers luimême. Artaud