En plein cœur

Une fin de vie merveilleuse « L’hôpital est un endroit super-sympa, avec plein d’adulte de bonne humeur qui parlent fort, avec plein de jouets et de dame rose qui veulent s’amuser avec les enfants, avec des copains toujours disponibles comme Bacon, Einstein ou Pop Corn, bref, l’hôpital c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir.o Moi, je ne fais plus plaisir. Quand le docteur Düsseldorf m’examine, le matin, le cœur n’y est plus, je le déçois. Il me regarde sans rien dire comme si j’avais

te mettre dans des états comme ça. Arrête de te faire du mal ...continuellement. Oublie ses belles paroles. Met toi en tête que tout était faux, que tout était calculé. Arrête de croire qu'il a un cœur, arrête de croire qu'il aurait pu changer. Oublie tous ses bons côtés. Oublie cette sensation de cœur brisé. Arrête de rêver de lui, arrête lui écrire des textes que tu ne lui enverras jamais. Met toi en tête, que ce n'était rien pour lui alors que pour toi ça a était terriblement important. Arrête

que j’ai donné naissance à une maman et un papa le xx xx xx à xx h. Depuis le ../../...., j'illumine leurs jours, écourte leurs nuits, et remplis leur vie de bonheur ! Leur passe-temps favori : me cajoler. X, bébé à plein-temps Après avoir joué au chat et à la souris pendant près de 9 mois, notre petit X est sorti de sa cachette secrète dans la nuit du xx xxxx 20xx. A suivre... Sur l'arbre de la famille X, X (nom aîné) est passé au rang de grand(e) frère/soeur

bien des endroits que l'expression est forcée et le tableau assombri à plaisir. Rappelle-toi que c'est un fou qui a écrit ces pages, et, si le mot paraît souvent surpasser le sentiment qu'il exprime, c'est que, ailleurs, il a fléchi sous le poids du coeur. Adieu, pense à moi et pour moi. I Pourquoi écrire ces pages ? - À quoi sont-elles bonnes ? - Qu'en sais-je moi-même ? Cela est assez sot à mon gré d'aller demander aux hommes le motif de leurs actions et de leurs écrits. - Savez-vous vous-même

j'étais épuisé, en sueur. Les minutes passaient comme des bateaux dans des écluses. Si longues, si remplies, si lourdes... Des ampoules ici et là se trouvaient sur mon corps. Mais seulement, je ne serais l'expliquer, j'étais bien. Paisible, et le cœur remplit. En allant me coucher, je me rappelais de ce que tu m'avais raconté sur ta vie passer. Tu avais perdu ta mère à l'âge de tes 10 ans et ce fut alors ton père qui vint à s'occuper de toi. C'était un riche banquier de banlieue issue de famille

d'hirondelles? A quoi penses-tu, laboureur, Qui, dans un sillon de charrue, Te détournes devant l'horreur D'une tête humaine apparue? A quoi penses-tu, forgeron, Quand ton marteau rive des chaînes? A quoi penses-tu, bûcheron, En frappant au coeur les vieux chênes? La nuit, quand le vent désolé Pousse au loin sa plainte éternelle, Sur le rempart démantelé, A quoi penses-tu, sentinelle? Et, sur vos gradins réguliers, Vous, chère et prochaine espérance, A quoi pensez-vous, écoliers

horizons bleus dépassés le matin. De ses yeux amortis les paresseuses larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait, tout parait sa fragile beauté. Étendue à ses pieds, calme et pleine de joie, Delphine la couvait avec des yeux ardents, Comme un animal fort qui surveille une proie, Après l'avoir d'abord marquée avec les dents. Beauté forte à genoux devant la beauté frêle, Superbe, elle humait voluptueusement Le vin de son

n'es plus là ? Pourquoi il n'y a plus rien de tout ça ? J'ai le coeur lourd et pourtant il est si vide. Paradoxe d'un amour éternel, sûrement mortel. Il avait toujours eu cette façon d'être encore là, au fond de mon cœur. De prendre juste un peu de place. Pas assez pour que j'en tombe amoureuse à nouveau, mais juste assez pour ne pas l'oublier. J'ai beau dire que j'ai tourné la page, je sais que dans le fond, au fond de mon cœur j'aurais toujours une part d'amour pour toi. Et je sais que si tu

parti, que les mots ne reprendront jamais, et les visages aussi, les sourires, les plaies. Mais il faut tout de même que j'essaie de dire. De dire ce qui depuis vingt ans me travaille le cœur. Les remords et les grandes questions. Il faut que j'ouvre au couteau le mystère comme un ventre, et que j'y plonge à pleines mains, même si rien ne changera rien à rien. Si on me demandait par quel miracle je sais tous les faits que je vais raconter, je répondrais que je les sais, un point c'est tout. Je les

Evaluation séquence 3 – Cyrano – Bilan Eval 1 - Moyenne de classe = 6,38/10 Eval 2 - Moyenne de classe = 6,31/10 Total = 12,63 Evaluation 1 Langue - Ponctuation - Phrases longues - Reprise des termes de la question Compréhension Q1 – Caractère – personnalité (pas de