En Quel Sens Nos Paroles Nous Trahissent

Pascal Prayez fait son entrée en matière sur la communication. Il nous rappelle, qu’au-delà de la communication verbale, il existe une communication non verbale, involontaire, basée sur les expressions corporelles mais aussi l’odeur, la voix, qui trahissent nos impressions et nos sentiments. « Certains ont pu dire que le corps ne mentait pas » Pascal Prayez nous explique que le langage non verbal est régi d’une part par les émotions qui nous animent et conditionnent nos attitudes (émotions qui

une valeur symbolique en définissant la fonction de la parole poétique. Fonction prophétique, politique de la parole poétique : * une mise en scène, le seul homme (le poète) dans cet univers de bêtes, le thème du belluaire (cf fin de II, 7) * la "mise à nu" de la vérité (étude précise des trois derniers vers), * le choix révélateur des temps (du passé simple, temps révolu de la tromperie au présent de la révélation), * le sens du titre (n'est-ce qu'une fable ou est-ce l'histoire en

roman est structuré par un système narratif complexe : on assiste à un effet de narrateuracteur, puisque Alcofrybas Nasier participe aux aventures de ses héros (ch 17 & 32), mais aussi des narrateurs-acteurs : lorsque Pantagruel ou Panurge prennent la parole pour narrer leurs anecdotes. Cette structure polyphonique permet d’éviter au lecteur la monotonie d’un point de vue unique. Mais Rabelais ménage des surprises & des ruptures qui accentuent encore la discontinuité du récit. Il choisit par exemple de

prime sur les détails qui sont souvent négligé par l’auteur. Le texte de l’Apocalypse est divisé en sept parties, principalement car le nombre sept est très symbolique dans la Bible. Le texte de Saint Jean sur l’Apocalypse, prise dans son vrai sens, celui de Révélation, nous montre que les événements sombres de l’histoire ont toujours leur part de lumière et que le présent exige que nous ayons confiance dans l’avenir. L’analyse de ce puissant texte ne pouvant pas se faire sur si peu de pages

véritable nature. En ce sens, un mensonge, dès qu’il est formulé, compte à rebours jusqu’au moment où la vérité va éclater. Un mensonge qui serait universellement cru n’en serait plus un, à moins de pouvoir pénétrer dans la conscience du menteur. « À tant de menteries, comme il savait donner l’apparence du vrai ! » HOMÈRE, O d yssée « Juliette. – Vous aimez ça ? Qu’on vous mente ? Mais c’est du vice… » SARRAUTE, Le Mensonge L’acte de mentir est d’abord une prise de parole, une formulation. Le

physique (« bien fait, aimable, de bonne mine » l.3, « il a raison d'être beau » l.24) et Silvia les qualités morales (« je ne lui demande qu'un bon caractère » l.33). – Chez Lisette, appétits du corps non refoulés (connotation sensuelles de ses paroles : « délicieuse union », « épouser sans cérémonie » = allusion au désir, au plaisir et à la sensualité, « tout en sera bon dans cet homme-là », …) – Chez Silvia, intensité du rejet (double exclamation + terme « folle ») dans « Délicieuse ! Que

aimable, de bonne mine » l.3, « il a raison d'être beau » l.24) et Silvia les qualités morales (« je ne lui demande qu'un bon caractère » l.33). – Chez Lisette, appétits du corps non refoulés (connotation sensuelles de ses paroles : « délicieuse union », « épouser sans cérémonie » = allusion au désir, au plaisir et à la sensualité, « tout en sera bon dans cet homme-là », …) – Chez Silvia, intensité du rejet (double exclamation + terme « folle ») dans « Délicieuse

ce « Je » ? En effet, Baudelaire dédie ce poème à Manet, mais son narrateur s’apparente à ce dernier puisqu’il est peintre et perd son modèle inspiré du fait divers. Le discours est rapporté entre guillemets, comme une preuve de réalisme avec des paroles entendues puis retranscrites. On peut donc en déduire qu’il s’agit de propos mis dans la bouche de Manet qui s’adresserait à Baudelaire. On a donc ici une présence-absence de Baudelaire. Son statut est double : au plan de la fiction, il est en position

LA CULTURE : Introduction : Constat : La notion de culture reçoit un sens une acception distincte selon qu’on parle de l’humain en général, des groupes plus particularisés, et enfin des individus eux-mêmes. 1er niveau : - Niveau anthropologique : l’humain comme un être de culture. Par « culture », il faut entendre tout ce qui élève l’homme au-dessus de la simple nature. En tant qu’être de culture, l’être humain construit un monde artificiel, faits d’objets matériels et de symboles… Conception

trouvent souvent leur origine dans l’insatisfaction du besoin de reconnaissance. L’opposant, l’expert, le perfectionniste, le bout-en-train, le bavard, ... Reconnaître Porter de l’attention (retenir les prénoms, citer les propos, distribuer la parole à chacun, valoriser les rapporteurs...) à bon escient. Il existe des phénomènes spécifiques aux groupes “restreints” ainsi que des lois qui les régissent. Mucchielli, la dynamique des groupes, ESF éditeur, 14e édition, 1995. Quelques principes