En Quoi L épargne Constitue T Elle Un Aspect Fondamental De L Activité Bancaire Quels Sont Les

crédits d’investissement de la banque de détail et de 7,6 % des prêts à l’habitat. Dans un contexte économique où il faut aider les entreprises à créer des emplois, le CIC a regroupé début 2011 ses activités de haut de bilan au sein de CM-CIC Capital Finance. 2e opérateur français à capitaux bancaires en capitalinvestissement avec 2,6 milliards d’euros sous gestion et plus de 500 participations en compte propre, cette structure bénéficie d’un fort ancrage auprès des PME en région qu’elle pourra épauler

époques ont une chose en commun : la réflexion sur l'économie n'est pas autonome. Les auteurs n'ont pas l'objectif de fonder une science économique. Dans l'antiquité grecque, ce qui prévaut c'est la réflexion sur l'éthique et la politique. Les activités économiques sont méprisées. Le lien social dépend de la politique, du statut du citoyen. Les philosophes tiennent compte des phénomènes économiques car cela fait partie de leur recherche éthique et politique. Avec la scolastique, c'est la même

UN DROIT FONDAMENTAL VIEUX DE 3 000 ANS : L'ETAT DE NECESSITE JALONS POUR UNE HISTOIRE DE LA NOTION Philippe-Jean HESSE Professeur émérite à l'Université de Nantes L'idée de nécessité est une idée largement répandue, mais dont l'histoire reste à faire. Nous l'aborderons ici sous l'angle juridique de l'état de nécessité, ce qui laisse de côté nombre d'acceptions du terme et de débats : ainsi parle-t-on de "monnaie de nécessité" à propos des pièces et billets qui circulent sans cours légal dans

sont toutes fiduciaires : fondées sur la confiance. Cette observation montre que les sociétés et les économies ont un besoin croissant de monnaie et que, si beaucoup de monnaies se dévalorisent et disparaissent, d’autres se créent et s’imposent. À quoi sert cette monnaie ? Elle a rendu les échanges fluides, par le crédit elle a financé les investissements, dans et entre les nations, puis elle est devenue un élément du patrimoine sous forme de créances. Avec la mondialisation, le capitalisme devient

sont toutes fiduciaires : fondées sur la confiance. Cette observation montre que les sociétés et les économies ont un besoin croissant de monnaie et que, si beaucoup de monnaies se dévalorisent et disparaissent, d’autres se créent et s’imposent. À quoi sert cette monnaie ? Elle a rendu les échanges fluides, par le crédit elle a financé les investissements, dans et entre les nations, puis elle est devenue un élément du patrimoine sous forme de créances. Avec la mondialisation, le capitalisme devient

masquer la réalité de leurs comptes. Certaines furent sanctionnée par la suite et mise en faillite, la plus célèbre est la société Enron. A partir de cette date là il y eu des réformes importantes, marquant le retour de l’Etat dans le contrôle des activités financières. Le but était alors de redonner confiance dans les marchés financiers. C’est notamment la naissance de la Sarbanes Oxley Act, prise en 2002 par les USA avec l’idée essentielle de contrôler davantage les marchés. En France, c’est la loi

élevée et diversifiée. L’effet inverse peut également être constaté, mais il a lieu avec un certain temps de retard. On parle alors d’un « effet cliquet », qui freine la baisse de la consommation en cas de diminution du revenu. Les taux d’intérêt bancaires, qui représentent en quelque sorte le prix de la monnaie, jouent également un rôle dans les décisions de consommation. Ainsi, une baisse des taux stimule la consommation, car elle rend les crédits moins onéreux. Une hausse des taux par contre aura

alors consacrer ce surplus à l’achat d’autres biens ou il peut acheter plus du bien considéré. A l’inverse, la hausse du prix d’un bien joue comme une baisse du pouvoir d’achat du consommateur, surtout lorsque ce bien est un bien de consommation fondamental comme le logement. Il convient de faire une distinction entre les biens supérieurs et les biens inférieurs. En effet, si le bien dont le prix baisse est considéré comme supérieur par le consommateur, le surplus se portera sur ce bien et il y aura

vraiment ? La mise en place d’un système de rémunération variable 152 153 154 154 164 169 ■ VI 147 173 173 177 179 181 TABLE DES MATIÈRES © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit CHAPITRE 4 Rémunérations collectives, actionnariat et épargne salariale : les clés du dispositif Les mécanismes et enjeux de la rémunération collective Formes et objectifs de la rémunération collective Organisation et optimisation du dispositif de rémunération collective Le concept de rémunération variable collective

Chedal, Partner, Landwell & Associés. Rifki Ismal, Ph.D., University of Durham and Bank of Indonésia, Royaume-Uni et Indonésie Jérome Lasserre-Capdeville, Maître de Conférences, Université de Strasbourg. Sâmi Hazoug, ATER, Centre de Droit Privé Fondamental, Université de Strasbourg. Stéphane Henrion, Attorney-at-Law, Director - International VAT Services, Landwell & Associés, Correspondent Law Firm of PwC Gérald Pasquier, Avocat, Hong Kong Anass Patel, Directeur stratégie et recherche, DTZ Asset Management