En route pour la joie

les problèmes ont empirés…, j’ai peur pour ma famille. Aux Etats-Unis, des mesures sont prises pour aider les immigrés, une telle solidarité me touche au cœur. Je continue ma route plus envieux que jamais. Après plusieurs semaines de voyage, difficiles, me voilà enfin arrivé à destination, je ne peux exprimer ma joie ! Je pensais que tout serait formidable, mais quand je découvre tous les gens dans la même situation que moi cela me désole. Ils s’entassent dans des logements déplorables tels

premier plan comme Picasso pour la peinture, ou Einstein pour la science. Ceux-là deviennent des génies par le simple éclat de leurs qualités naturelles et personnelles. Peu d'entre nous ont en eux-mêmes de telles possibilités... Cependant, une autre route s'ouvre devant nous, qui nous permet d'acquérir une personnalité propre. Nous pouvons nous identifier à elle et la défendre. Plus on étudie la biographie d'hommes comme George Washington ou Charles de Gaulle, de femmes comme Marie Curie ou Mère Teresa

l’hôpital ou il travaille comme chirurgien renommé 10h40 En route sois disant pour Nazareth, elle demande au chauffeur de s’arrêter simulant une urgence. 12h Elle se rend chez le chef marwan , consentante, elle se fait placer la bombe sur le corps. 13h30, la fin de ce joli périple, elle rentre dans le restaurant, regarde à gauche, puis à droite … Que vois-t-elle ? Les sourires, des enfants remplis de joie. Mais elle aussi est remplie de joie à l’idée de se faire sauter Manipulé me dirais vous 

organiser une fête à Sacca et ouvrir le grand reservoir d’eau du palais Sanseverina afin d’inonder la ville de Parme. Présentation des principaux thèmes Dans ce chapitre, les thèmes principaux sont l’amour, la vengeance, le courage, la crainte, la joie, la tristesse et l’espoir. Le thème principal qui ressort dans l’ensemble de ce chapitre, c’est l’amour. Ce sentiment nourrit les autres thèmes de ce chapitre. Par exemple, on voit que l’amour que la comtesse éprouve pour son neveu l’amène à vouloir

montrer à tous son très grand pouvoir, Minos pria alors Neptune, le dieu des Mers et des Océans, de lui accorder un présent. Exauçant ce vœu, Neptune fit surgir de l'écume et des vagues furieuses un taureau blanc, aussi sauvage que beau. Au comble de sa joie, le roi ne se doutait pas alors qu'il aurait à regretter cette faveur divine… Bien des années auparavant, Minos avait épousé la fille du Soleil, la très belle Pasiphaé. Le couple avait eu plusieurs enfants et rien ne semblait devoir s'opposer au bonheur

des plus précieuses. Le Prince observe attentivement la route pour pouvoir revenir. Il rentre chez lui mais dès le lendemain, la séparation avec sa belle, l’attriste. Il retourne jusque chez Grisélidis et apprend dans quelle simplicité elle vit avec son père. Il est follement amoureux d’elle car en plus d’être belle, elle a de l’esprit. Le Prince annonce qu’il accepte le mariage et qu’il choisira sa femme dans son royaume. Tous sont fous de joie. La ville se met en activité. Les Dames font tout pour

le retour des enfants à la maison - tous les éléments cités avant sont aussi représentatifs de la pénibilité et des difficultés du quotidien ( se nourrir , ect) - joie de la première sortie d’Omar qui quitte son village - Représentation de la femme Zhor qui enlève son voila pour courir provoque pb : «  sans haik, même sur cette route deserte, …Aie ! » Et condition de « prisonnières » des femmes p11 comparaison à « une bête rogue plutôt qu’a des êtres humains », « d’insupportables mégères » -

fausse route et qu’ils ne pourront que « régner en idée sur le vaste univers ». Les Hommes, au contraire de la nature qui est représentée par des phrases amples, est représenté par des exclamations et des phrases saccadées qui sont courtes et injonctives. Il pense que la nature est grande et florissante et que certains hommes pensent qu’ils sont supérieurs à tout ça et qu’ils peuvent s’en servir comme bon leur semble. L’auteur pense que l’homme se fourvoie et qu’il est sur la mauvaise route mais que

vase. Cherchez plutôt à travers de la route, au grand soleil : je serai la, les yeux vers le ciel fier comme un roi de repartir voir un dernier pays » (p.192). Comme on peut voir, il est maître de sa vie et de son destin. Comme la tradition le veut, les habitants de chenal du moine doivent suivre les conseilles du curé, doivent être présent lors de la messe mais le survenant lui, obéit à personne, il fait comme bon lui semble : « Marie-Amanda se faisait une joie d’assister à la messe de minuit. À la

d’un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s’abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres3 hideux. Lui, gagnant à pas lents une roche élevée, De son aile pendante abritant sa couvée, Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux. Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte ; En vain il