En route pour la joie

quelques-uns des plus grands vins blancs de France. Les porches de pierre, les fontaines magnifiques et les fenêtres de bois sculpté, souvent ornées de fleurs qui illuminent les rues sinueuses des villages de la Route des Vins, invitent au plaisir d’une dégustation où la convivialité et la joie se mêlent au commentaire imagé du vigneron. | | | | | | La plaine d'Alsace et le RiedModelée et fertilisée par le Rhin et ses affluents, la grande plaine d’Alsace apparaît comme un jardin merveilleusement

Sur la route avec Galopin, un âne Ces lignes sont un voyage, un humble voyage, qui tire sa puissance de sa simplicité. Il suffit d’un chemin pour allonger ses pas, et c’est une aventure. Avec Galopin, mon compagnon de route, mon porteur, un âne, nous voulons vous emmener avec ces quelques mots. Cet article est paru originellement dans la revue Passerelle Eco n°12. Je n’ai pas de destination pas plus qu’une prévision de retour, j’ai un grand souhait qui me motive et c’est là toute l’affaire : je

ses attraits. Ce n’est que 15 années plus tard que je faisais mon baluchon pour partir vers cette grande ville, je déménageais à Montréal. L’excitement me prenait, mais la nervosité aussi. Je me souviendrais toujours de cette route vers ma nouvelle demeure. Cette longue route interminable. C’était une journée d’été (les jours d’été sont toujours plus beaux que les jours d’hiver.) C’était ça le problème; l’hiver. Je m’étais toujours imaginé la ville dans un contexte estival. J’avais oublié ce qu’étaient

Le rêve qu’on a en soi, on le retrouve hors de soi." Victor Hugo C'est au bout de la vieille corde qu'on tisse la nouvelle. Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens. Une souffrance partagée est diminuée de moitié alors qu'une joie partagée est doublée  Le monde est une caméra : souriez s'il vous plaît ! De votre ami, dites du bien, de votre ennemi, ne dites rien. Qui me trompe une fois, honte à lui ; qui me trompe deux fois, honte à moi. Une pomme par jour éloigne

plus vite. Laurent sortit de la mercerie et continua son chemin. Sur sa route, il s’arrêta net devant la vitrine d’un petit café de Paris. A l’intérieur, il y reconnut une personne très familière. C’était son ancien camarade de collège, Jonas ! Il venait de parler de lui, il y a à peine une heure et voilà qu’il le voyait dans un café en compagnie d’une charmante femme, âgée. Il y entra, s’approcha de Jonas et cria de joie : - Jonas ! - Laurent ! Ca me fait énormément plaisir de te revoir 

frère pour notre promenade, le soleil brillait avec éclat au-dessus de Huelgoat et l’air s’emplissait de la joie d’un début d’été. Une fois arrivés, aucuns nuages à l’horizon, bref un temps génial pour une promenade ! Nous descendîmes vers la grotte où nous avions décidés de nous amuser sur les rochers. Mais bizarrement en descendant, nous ne rencontrions aucunes personnes sur notre route… Plus loin, la grotte était là devant nous. Mon frère y entra en me disant : «-Je passe devant, tu me suis 

chronique sur un groupe engagé la voici L’addiction à l’engagement Après le succès de leur album « One Trip/One Noise » en 1998, ces bourreaux des cœurs nous reviennent avec des chansons aussi engagée que jamais avec leur nouvel album « En route pour la joie » un mélange de rock rapide et d’indie calme qui nous entrainent dans une béatitude et qui nous encouragent à analyser leur point de vue politique. Noir Désir Composé de quatre membres (Bertrand Cantat, Serge Teyssot-Gay, Jean-Paul Roy et

retour la mère les retrouvera feuilletant bien paisiblement leur livre d'images. Ou bien ces enfants 3 se seront conformés aux ordres de la maman ; ils n'auront pas cédé au désir d'aller jouer dans la rue avec les petits voisins dont les cris de joie parviennent jusqu'à leurs oreilles ; ils auront résisté à la tentation d'ouvrir pour savoir qui a frappé ; ils n'auront pas touché aux allumettes, quoi qu'ils eussent bien voulu en voir briller la flamme ; ils n'auront pas léché le pot de confitures

Carnet de Bord Lundi 28: Nous avions rendez-vous à 9h à la gare de Brest; après l'arrivée de tout le monde, on s'est mis en route pour le port. Nous avons toutes marché dans la joie et la bonne humeur, même si le temps n'était pas très clément. 15Minutes plus tard nous étions devant le Bel Espoir, à côté il y avait aussi le bateau la Recouvrance. On a du attendre 10h pour pouvoir monter sur le bateau. Et puis enfin nous y étions, sur un des fameux bateaux du père Jaouen. Un membre de l'équipage

pour ce que l'on appelait la dur réalité theâtre. Les grands rideaux rouges s'en allait pour laisser place à un décor qui m'étais ma foie, peu ordinaire. C'était un décor, surprenant, il y avait sur le sol, un tissu vert représentant certainement la route de campagne annoncé dans la didascalie initiale, c'était un peu simple, mais j'adorais. Discretement posées dans le fond de la scène deux chaises, mises en valeurs par un éclairage rose pâle. Je restais perplexe dut à l'emplacement de ces deux chaises