En route pour la joie

chaussures de sports blanches et chaussettes montantes vertes). La caméra est en travelling, elle suit le ballon de rugby qui passe de joueur en joueur. Il s’agit d’un plan d’ensemble. Le ballon s’arrête à la barrière noire. Une voiture passe sur la route qui sépare le terrain de rugby du terrain vague. La caméra fait un plan général. Il y des passant. A ce moment, une inscription apparait sur l’écran : « SOUTH AFRICA , FEBRUARY 11, 1990 ». De par cette inscription, le cinéaste nous informe que nous

longtemps au même endroit car  « Vous autres, vous ne savez ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur allège, tout son avoir sur le dos » (p. 190). Le Survenant explique la joie de voyager de ville en ville avec une énumération des choses qu’il aime lorsqu’il part d’un endroit pour aller à un autre. L’effet rechercher dans cette énumération est tout simplement le changement, ne pas avoir de résidences permanentes. De plus

des enfants lisant dans la verdure fleurie leur livre de maroquin rouge ! Hélas, Lui, comme mille anges blancs qui se séparent sur la route, s'éloigne par delà la montagne ! Elle, toute froide, et noire, court ! après le départ de l'homme ! IV Regret des bras épais et jeunes d'herbe pure ! Or des lunes d'avril au coeur du saint lit ! Joie des chantiers riverains à l'abandon, en proie aux soirs d'août qui faisaient germer ces pourritures ! Qu'elle pleure à présent sous les

ils se sépareront suite à des différents entre Zampano et Il Matto, un membre de la troupe. Plus tard, après avoir recroisé Il Matto, Zampano se battra une fois de plus avec lui et le tuera, ôtant toute joie de vivre à celle qui l’accompagnait. Il abandonnera Gelsomina peu après cela sur la route et, quelques années plus tard, il l’apprend morte et pleure à son tour. Cette production reçu l’oscar du meilleur film étranger en 1956 et Lion d’argent au festival de Venise en 1954. Malgré une critique

adultes étaient le long de cette route . Lorenz répéta a David qu’il pouvait encore refuser mais David ne s’arrêta pas. Il se mit le long de cette route .Il fit un décompte dans sa tête trois, deux , un … top .Il s’élança a une vitesse folle .C’est quelques instants lui semblaient des heures .Anastacia, Lorenz et Tom avait un visage crispé .Ils se mirent a trembler Anastacia ferma les yeux quand elles les rouvra elle aperçut David de l’autre coté de la route qui avait réussi son défi

par crainte  d’échouer à cette quête, alors il faut balayer ces erreurs et confusions quant au fait d’être heureux. Pour cela, il faut faire un examen de soi qui consiste à ne pas confondre le plaisir éphémère des sens, comme le simple sentiment de joie ressenti lors d’un évènement heureux mais qui ne dure jamais longtemps, avec un plaisir durable en rapport avec l’exercice d’une sagesse qui le rendrait stable. Ainsi, le problème consiste à déterminer les véritables raisons de mener à bien un examen

ouvrait ses bras. Il se jetait contre sa poitrine et murmurait des mots d'amour. Ces mots usés qui servent chaque fois qu'un homme tombe amoureux d'un fille. Ils allaient tous les deux, main dans la main, le long des champs de blé, silencieux, ivres de joie et d'amour. Chaque fois qu'elle lui souriait, il sentait son coeur bondir comme s'il eût voulu sortir de sa poitrine. Il ne disait rien, savourant seulement cet instant d'éternité dont il savait qu'il ne l'oublierait jamais. La robe légère de Natacha

Pangloss est pendu. Candide se retrouve seul après un nouveau tremblement de terre. Alors qu'il est désespéré, il rencontre une vieille qui lui demande de la suivre. CHAPITRE VII La vieille soigne Candide et lui amène Cunégonde. Ils sont fous de joie. Ils se racontent ce qui leur est arrivé. CHAPITRE VIII Cunégonde raconte son histoire : elle n'a été que blessée puis faite prisonnière par un capitaine bulgare. Puis l'homme, lassé, l'a vendue à un Juif. Elle se retrouve finalement partagée entre

il est enfin le maître »). Alain propose une compréhension du bonheur ou celui-ci est « action », volonté et effort sans relache, contre toute acquisition trop facile de l’objet de nos désirs, qui n’aurait pour effet que de laisser ennuyer et sans joie, c’est ce qu’il explique dans une troisième partie (« car c’est la puissance… ravive le feu »). Et enfin dans une quatrième et derniere partie, Alain demontre sa compréhension du bonheur avec un exemple sur les rois, « trop flattés, trop choyés

était beau et le savait, il faisait donc tout pour se faire remarquer: il allait boire « des bocks sur le boulevard ». A la fin du roman, son personnage se divise en deux partis dans le dernier texte que nous avons vu que: d’un coté il est « affolé de joie », « il se croyait un roi qu’un peuple venait acclamer » lorsqu’il sortit de l’église avec sa nouvelle femme et que commençait l’interminable défilé des assistants. De l’autre « sa pensée revenait en arrière, et devant ses yeux flottait l’image de