En toute innocence

défavorisés. Il y dresse le portrait de plusieurs personnages accablés par la misère qui cherchent en vain à s’en sortir. Seule une enfant du nom de Cosette, née de la grande misère, grâce à son innocence et à sa bonté naturelle réussira à changer de classe sociale et portera à elle seule l’espoir pour toute la classe ouvrière. Cosette née de mère célibataire avait été mise en pension par sa mère chez la famille des Thénardier. En effet à cause de la mentalité de l’époque une fille mère n’était pas

EXTRAIT DE LA RENCONTRE DU CHEVALIER ET DE MANON . « J'avais marqué le temps de mon départ d'Amiens. Hélas ! que ne le marquais-je un jour plus tôt ! J'aurais porté chez mon père toute mon innocence. La veille même de celui que je devais quitter cette ville, étant à me promener avec mon ami, qui s'appelait Tiberge, nous vîmes arriver le coche d'Arras, et nous le suivîmes jusqu'à l'hôtellerie où ces voitures descendent. Nous n'avions pas d'autre motif que la curiosité. Il en sortit quelques femmes

Elle est séduite et, spontanément, elle trouve son nom « Ah ! Bel-Ami » et l’entrain, la joie qui lui manquaient. Laurine n’est pas un personnage de second plan, une apparition inutile. « Avec son aire grave de grande personne » (p.105) et son innocence de fillette, elle ressent plus durement que les autres femmes un attachement véritable pour le séducteur. Elle l’observe, surveille ses relations avec sa mère et sens monter en elle un sentiment de trouble qui la paralyse. Elle veut oublier ce Bel-Ami

pour faire condamner certaines gens. Ce livre constitue un plaidoyer terrifiant contre les forces de l'ordre et la complaisance de certains "justiciers" à l'endroit d'un homme dont le seul tort, au fond, était d'être coupable de proclamer son... innocence. L'éditeur 3 Fait par Stéphane LuZignan (zip_@innocent.com) "Dis-moi à qui le crime profite ...et je te désignerai le coupable" Le récit que vous allez lire est véridique. C'est le drame vécu, d'une femme et d'un homme accusés d'un

compagnons qui lui ressemblent. Comme lui, les arbres aspirent à l’éternité, ils sont ancrés dans la terre mais s‘élèvent vers les cieux. Comme lui, ils sont fragiles ; un rien peut les blesser ou les abattre. Ils ont aussi cette aspiration à protéger toute créature vivante sous leur épaisse frondaison. « Le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres. Un rossignol était précisément au-dessus de moi. Je m’endormis à son chant. Mon sommeil fut doux. Mon réveil le fut davantage. Il était grand

qui en parle et c’est ce qui me touche lorsque je lis ce poème. Les femmes sont sur la terre  Pour tout idéaliser;  L'univers est un mystère  Que commente leur baiser. C'est l'amour qui, pour ceinture,  A l'onde et le firmament,  Et dont toute la nature,  N'est, au fond, que l'ornement. Tout ce qui brille, offre à l'âme  Son parfum ou sa couleur;  Si Dieu n'avait fait la femme,  Il n'aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos étincelles,  Bleus saphirs, sans les yeux doux?  Les diamants

une cadence circulaire : « courbe / tour /douceur / tout / toujours », « jour / mousse », « sources / couleurs » ; « auréole / berceau », « rosée / roseaux / bateaux » ; « mon / rond / danse / temps / mon», « vent / couvrant / monde », « dépend / innocence /monde / entier / dépend / sang ».  - de nombreux jeux mélodieux : répétition d’une allitération dans un même vers : vers 2 en [d], rimes intérieures en [y] : « plus / vécu » (vers 4)

sont pas des balles perdues mais que l’enfant a été visé= acte délibéré. « dans la tête »= il n’avait aucune chance ⇨ « toupie en buis ») détaché des vers précédents et suivants = image du jeu, principale occupation de l’enfant = insouciance +innocence = symbolique du fait qu’il n’avait rien à se reprocher ⇨ « sa bouche/ Pâle » =enjambement qui met en valeur « pâle » « s’ouvrait »= constat de l’état cadavérique, malgré lui. La bouche est sujet= la mort agit. « noyait »= œil vitreux « farouche »=

détentions provisoires qui sont aller jusqu’à 3 ans de prison (une personne mourra en prison d’une surdose médicamenteuse et certains parlent d’un suicide). Une seule personne sera laissée libre. A partir de novembre 2001, l’affaire est médiatisée et toute la France fut choquée. Le juge Burgaud pense à l’existence d’un réseau de pédophilie, comme peu de temps avant, l’affaire Dutroux, qui avait marqué la Belgique d’un tel réseau de pédophilie. Après des heures de garde à vue, l’instruction repose que

couleuvre le dilemme apparaît comme un double gouffre. On pourra relever le champ lexical associé: « spirales vertigineuses »(l,1), « précipite »(l.29), « abîmes » (l.77). Ainsi,« Deux abîmes s'ouvraient devant Gauvain » (l.77)dans lequel il devait de toute façon tomber, « Il fallait se précipiter dans l'un ou l'autre »(l.78,79). Cette métaphore introduit un sentiment de fatalité, peut importe la décision final Gauvain en subira les conséquences, ce qui renforce la résonance tragique du texte. Le texte