Encéphalite

surtout à voix haute) EGI : Epilepsie Généralisée Idiopathique EMJ : Epilepsie Myoclonique Juvénile Epilepsies symptomatiques : - Elles sont dues à une lésion cérébrale ou secondaires à des troubles métaboliques. (malformation congénitale, encéphalite, traumatisme crânien, AVC, tumeur, infection du système nerveux central, maladies neurologiques évolutives, anomalies des chromosomes, malformations cérébrales,…) Toutes les formes d’épilepsies peuvent se voir. Epilepsies cryptogénétique : Lorsque

courbatures, fatigue, adénopathies disséminées, éruption cutanée de type morbiliforme, angine avec dysphagie pouvant simuler une MNI. Des manifestations neurologiques peuvent être également décrites : · syndrome méningé, · méningite, · encéphalite, · paralysie faciale, · méningoradiculite. Dans tous les cas, les manifestations de cette primo-infection qui durent entre quelques jours et quelques semaines, vont disparaître et guérir. Au · · · plan biologique, on observe : une

dépit de l'avis contraire du psychiatre de l'établissement. Ancienne toxicomane, elle avait fait sept tentatives de suicide et trois actes d'automutilation en 10 mois d'incarcération. *Carole Debuine décède le 11 septembre 1997 des suites d'une encéphalite aiguë au centre hospitalier de Nice où elle venait d'être évacuée d'urgence. Placée en détention provisoire en mars 1997 au centre pénitentiaire de Draguignan, son traitement médical avait été interrompu depuis son incarcération. Se plaignant de

retour de communication. Chaque jour les moyens de communication devaient être adaptés à la patiente afin de prendre en considération ses besoins et ses attentes. J’ai pu durant mon stage rencontrer diverses pathologies neurologiques telles que des encéphalites, l’état de mal épileptique. Ces patients nécessitaient une prise en charge rapprochée et à chaque fois une difficulté de prise en charge avec une communication que nous n’utilisons pas habituellement : le non verbal. B. Analyse Cette situation

du délire, il faut éliminer les pathologies organiques telles que : les intoxications (champignons), les maladies infectieuses (tropicales), les fièvres très élevées, les affections endocriniennes (maladie de BASEDOW*, maladie de CUSHING*), les encéphalites, les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, la sénilité etc... Les causes psychiatriques Les psychoses chroniques: paranoïa, schizophrénies, psychose hallucinatoire chronique, paraphrénies. La maladie maniaco-dépressive : manie

n'ayant pas encore de moyens de défense élaborés pour se faire entendre de son entourage. Les causes peuvent être diverses et variées. Ils peuvent avoir pour origine (lointaine) : 1.une maladie fœtale, des traumatismes obstétricaux. 2. une encéphalite, des troubles sensoriels mal supportés. 3. Mais le plus souvent, ils sont dus à une erreur éducative, à des excès d'autorité ou d'indulgence, façonnant ainsi (bien malgré les parents) un révolté, un tyran en herbe parfaitement intolérant à la frustration

cardiaque : normale. → Consultation ophtalmologie : kératite à adénovirus. Consultation ophtalmologue demandée au CHU. → IDR fait le 12/11 lu le 15/11 résultat NEGATIF. Examens pratiqués au CHU de Limoges : → IRM cérébral : recherche d’une encéphalite qui pourrait être à l’origine des troubles de la mémoire de la concentration et de l’attention = du ralentissement psychomoteur de Mr S. →Coproculture : NEGATIVE. → Pet Scan a été demandé, la consultation anesthésiste a été demandée. (Quel

menacée - Un processus de rétablissement long et incertain - Des séquelles à la convergence du physique, du cognitif, du psychique, du social • TC (traumatisme crânien) • AVC (accident vasculaire cérébral) • Anoxie cérébrale • Tumeur cérébrale • Encéphalites… Le parcours de la personne cérébro-lésée (1/2) Ouverture des yeux Stimulation Phase d’éveil et reprise de conscience Conscience de soi Rééducation Phase de réentrainement des déficiences Conscience de l’état séquellaire Réadaptation

dégradation progressive, marqué par une phase de plateau suivie de légères améliorations. Pour sa part, l'étiologie du syndrome reste encore dans l'ombre; on l'impute parfois à une affection cérébrale antérieure et identifiable (telle qu'une encéphalite). Par ailleurs, la démence infantile paraît aussi dans des cas où de tels antécédents n'ont pu être constatés. De façon globale, de fortes présomptions convergent vers un dysfonctionnement possible du système nerveux central. Bien que des recherches

d'un syndrome épileptique sévère. Dans les années 70 les étiologies se répartissaient en : 40 % de cause inconnue 20 % de cause périnatale ou la souffrance à l'accouchement tenait une part importante 10 % de cause postnatale (méningite, encéphalite) 30 % de cause prénatale (malformation, cause génétique) Actuellement les progrès de la prise en charge obstétricale d'une part les méthodes de diagnostic d'autre part, ont modifié ces chiffres qui se tiennent autour de : 30 % de cause inconnue