Encours

| TOTAL | 7620 | 1,513 | 11 532,5 | TOTAL | 7620 | 1,513 | 11 529,06 | | | | | | | | +3,46 | | | | | TOTAL | | | 11 532,5 | 4. Le cas des produits semi fini et des encours Les produits semi fini correspondent à un stade de fabrication atteint et achevé par le produit en formation. On les appelle aussi produit en formation / produits intermédiaires ou semi ouvrés. Pour obtenir le produit fini TISSU, le processus

|8000 |22 |176000 | |  |TOTAL |  |  |  |12000 |  |262000 | Valorisation des Encours: Les Encours initiaux Atelier 1 |Elmts |Qtts |C U |MTS | |MAT 1ERE M |(50*100%) 7,2 |14,4 |5184

la fin de l’opération . Avec cette méthode le produit n'est pas comptabilisé que lors de la livraison du bien ou l'achèvement du service. Autrement dit, le fait générateur est la livraison du bien ou l'achèvement du service. • Encours d'exécution du contrat: les encours se rapportant au contrat à LT doivent être valorisés et comptabilisés à la clôture de chaque exercice. Aucun bénéfice n'est comptabilisé par respect au principe de spécialisation des exercices. 2 www.ecogestion.ma • En fin du

classés dans la catégorie des créances pré-douteuses : 1) - les encours des crédits amortissables dont une échéance n’est pas réglée 90 jours après son terme (*) ; 2) - les encours des crédits remboursables en une seule échéance qui ne sont pas honorés 90 jours après leur terme (*) ; 3) - les loyers des biens donnés en crédit-bail ou en location avec option d’achat, qui ne sont pas réglés 90 jours après leur terme ; 4) - les encours des crédits par décaissement et/ou par signature consentis à des

commissions, charges d’exploitation, provisions, résultat, effectifs et environnement économique). Les réponses sont pondérées en fonction de l’importance de l’activité de l’établissement interrogé (selon la question, celle-ci est opérée par le biais des encours de crédits ou de dépôts). Les chiffres ainsi obtenus donnent une mesure synthétique de l’écart entre la proportion des dirigeants estimant qu’il y a eu progression ou qu’une situation est en amélioration et celle des dirigeants jugeant qu’il y a eu

Encours DAV Après les transferts vers AGE en février dernier, l’encours DAV à connu une nouvelle progression de 15.5 % pour atteindre 20.6 m€ en fin d’année 22 20 18 16 14 12 10 2001 2002 2003 2004 févr-05 2005 Encours EPARGNE L’impact des transferts a été moins sensible sur le pavé Epargne. La progression sur l’année affiche + 6.8 % avec un effort accru sur l’épargne bilantielle qui représente 37 % de l’épargne totale Particularité de l’année : contrairement aux autres années, nous n’avons

personnel et ratio des frais généraux 21 IVGESTION FINANCIERE 23 a) Taux de rendement des actifs productifs 23 b) Taux de capitalisation 24 V NIVEAU DE L’ACTIVITE DE LA MICROFINANCE 26 a) Encours total de crédit 26 b) Encours moyen de crédit 26 c) Encours moyen de crédit par emprunteur 27 d) Encours de dépôt par déposant 28 VI LES INDICATEURS NON FINANCIERS 29 a) La clientèle 29 b) Autres Indicateurs 29 VII RATIOS PRUDENTIELS 30 a) Activités autres que l’épargne et le crédit 30 b)

d’intermédiation Taux d'intermédiation (encours) France 20,00 25,00 30,00 35,00 40,00 45,00 50,00 55,00 60,00 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 % Taux d'intermédiation étroit, encours 3 Evolution du taux d’intermédiation Taux d'intermédiation (encours) France 20,00 30,00 40,00 50,00 60,00 70,00 80,00 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 % Taux d'intermédiation étroit, encours Taux d'intermédiation large, encours Ensemble des EC français Source: Commission

performance seront menés dès début 2012. L'exercice 2011 a été aussi caractérisé par un climat social de qualité, induisant une mobilisation forte de l'enssemble des acteurs. et aussi par une évolution du modèle de présence de notre Institution vers un encours plus équilibré par région et activités, conduisant dans un premier temps à sa réduction puis dans un second temps à une croissance équilibrée . Pour conclure tous ces projets et ces performances sont le résultat des efforts individuels et collectifs

nouveaux mandats de gestion des institutionnels, ainsi que la conversion de grand fond monétaire en ISR. De plus, nous pouvons remarquer un changement du mode de gestion des encours ISR avec un retour de la gestion collective contre la gestion dédiée. En effet, entre 2008 et 2009, la part gestion collective des encours ISR représentait 28,9 milliards d’euros, contre 21,8 pour la gestion dédiée. C’est un renversement de tendance puisque depuis 2006, la gestion dédiée évoluait au détriment de la