Enjeux Du Multipartisme

production industrielle est en cours avec l’abandon de la production de biens de consommation simples comme les ventilateurs, les réfrigérateurs et les enregistreurs audio pour les semi-conducteurs et l’automobile. L’augmentation de la productivité est un enjeux stratégique, surtout dans une entreprise fondée sur l’utilisation de la main d’ uvre à bas salaires. Par exemple, dans les années 1990, le nombre de travailleurs requis sur une chaîne d’assemblage de magnétoscopes est passé de 26 à 14. A l’image des

La Perestroïka se traduit par une libéralisation de l'économie : on commence à parler de rentabilité, de profit... Cette libéraliation va jusqu'à autoriser la création de petites entreprises privées. Sur le plan politique Gorbatchev autorise le multipartisme et la création d'autres partis. Il veut dissocier l'état et le parti et créé pour celà la fonction de président de l'URSS, élu par le "soviet suprême" (le parlement de l'URSS). Les tentions avec les occidentaux sur la scène internationales seront

du nombre contre la loi de la division en classes. Le combat politique a déjà commencé avant même la tenue des états généraux. Il faut donc obtenir le vote par tête des députés des états généraux. Les enjeux dépassent de très loin le caractère technique de la mesure, c’est un enjeu fondamental. Enjeu mis en lumière par l’abbé Sieyès « Qu’est-ce que le Tiers-état », il reprend de façon générale les idées des lumières pour les appliquer aux problèmes français. Il livre à la postérité une théorie politique

politique européenne, éducation nationale...). 2°. Les causes de l’instabilité sont diverses. Les problèmes de la Reconstruction ou de la décolonisation sont lourds à assumer. L’élection des députés à la RP, même avec apparentements, entretient le multipartisme indiscipliné. Certains mécanismes de rationalisation sont tournés en pratique ; par ex., Ramadier (1947) reviendra devant l’Assemblée avec toute son équipe, instaurant la « double barrière », pratiquée jusqu’à la révision constitutionnelles de

nationales constituantes. Dans la formule la plus démocratique, les travaux de l’assemblée constituante sont en plus validés par référendums (ex : 1946, 1793). B) Le pouvoir de réviser la constitution : le pouvoir constituant dérivé/ institué. 1) Les enjeux de la révision La constitution, qui est le projet politique, le texte fondamental dont se dote un état, ne peut jamais être définitive car elle doit être adaptée à l’évolution de mœurs, à l’évolution du contexte international, à l’intégration dans

Géographie de la paix en 1944. Il ne nie pas l’existence du « heartland » mais pense qu’avec les moyens de communication modernes, le « heartland » a perdu de son caractère invincible. Le pivot est le « rimland » ou anneau des terres : région côtière, enjeu de toutes les puissances, notamment la Russie et les USA. Qui contrôle le rimland contrôle le monde. Les USA se sont prétextés à cette chose en développant des alliances militaires (OTAN, OTAZE) lors du « containment ». Les idées de SPYKMAN ont été

organisations européennes dans le nouveau contexte géopolitique. 10 A. La disparition des organisations de l’Europe de l’Est 10  Le CAEM 10  Le pacte de Varsovie. 11 C. L’ouverture des organisations occidentales au pays d’Europe de l’Est. 11 1. Les enjeux des nouvelles relations entre l’Est et l’Ouest. 11  Politique et juridique : 11  Economique : 11  Sécuritaire : 11 5. Les difficultés de l’intégration des pays de l’est. 11 §3. La sécurité européenne. 12 A. La permanence de l’OTAN. 12 1. Une institution

politique. On se demande si il faut étudier la séparation des pouvoirs, l’étude du droit individuel, l’étude du droit électoral le droit de liberté… Par exemple Ducrocq pense qu’il faut revenir sur le contenu fondamental, mais il ne voit pas les enjeux sur les techniques, les mécanismes concrets. D’autres comme Moreau considère que l’étude des droits des citoyens relève véritablement d’un cours de droit constitutionnel mais il refuse de traiter ces questions précisément. D’autres enfin comme

Turquie en Occident s’appuyait sur des raisons de stabilité intérieure du pays : l’adoption d’un modèle externe, non ancré dans l’histoire nationale et difficilement compréhensible par la population, n’était pas sans risque. L’institution même du multipartisme comportait la possibilité de voir naître des partis populistes, ultra-nationalistes ou religieux, susceptibles de s’opposer au régime. L’appartenance de la Turquie à des organismes internationaux et le soutien des puissances occidentales, lui permettant

des libertés fondamentales, et en pratique, ils sont généralement respectés. Les enfreintes aux droits de l’homme et les limitations aux libertés fondamentales constituent des exceptions. La Constitution assure les principes de démocratie et le multipartisme est une réalité. Mais en pratique, il y a des limites à l’application de ces principes en termes notamment de point de vue du contrôle du législatif sur l’exécutif. Les pouvoirs de décision les plus importants appartiennent au président de la République