Enjeux Risques Création Monétaire

siècle et demi d’histoire, gardé une première fonction qui est monétaire, à savoir protéger les capitaux des tiers à laquelle elles ont greffé la fonction « crédits », véritable recyclage de l’argent dormant des uns au profit de ceux à court de capitaux. L’explosion du commerce domestique et international ont exacerbé le besoin de capitaux. Les banques ont ajouté au rôle de réallocation celui de création monétaire, la masse monétaire déposée ne suffisant pas à répondre à la croissance des Produits

l’activité de crédit et de réguler la création monétaire et l’orientation de l’épargne dans un contexte de forte inflation et de besoins d’investissements importants. Mais ce système était très rigide et extrêmement centralisé (un nombre considérable de banques étaient nationalisées), le marché financier ne parvenait à ce développer, par conséquent le seul moyen de financement était les banques. Ce qui explique l’inflation démesurée résidu de la trop forte création monétaire. Cette inflation anti-compétitiviste

même à l’échelle internationale (ex : URSS) 3) La réserve de valeur • Il est possible de conserver de la monnaie pour sa capacité à conserver le pouvoir d’achat. Cependant, l’inflation érode la monnaie • D’autres actifs non monétaires peuvent jouer le même rôle : ▪ L’or ▪ Les bijoux ▪ L’art ▪ L’immobilier |Nota Bene : ces fonctions de la monnaie peuvent être contradictoires :

est liquide lorsque le détenteur de monnaie retrouve sans délai et sans risque la totalité de la valeur de son actif.   Par exemple, selon leur degré de liquidité le billet de banque est plus liquide qu'’une action d' une société, et cette dernière plus que la voiture, la maison ...car ces dernières sont des biens plus difficile à vendre (il y a donc un délai pour récupérer son pouvoir d’achat immédiat) et il y a un risque de perte de valeur c'est-à-dire de vendre le bien moins cher que ce que

de la création de valeur  Pratique courante économique:  Valeur d’un bien = Prix sur le marché  Les théoriciens de la valeur veulent comprendre comment le prix est déterminé et ce qu’il signifie Création de valeur: concept économique central depuis la fin du XVIII ème siècle  Aristote : comment peut-on échanger une maison contre des  chaussures? La valeur d’un bien est liée à la notion d’échange  Fin du XVIII - William Petty : rapport entre une unité monétaire, une journée

distingue une banque. Contrairement à d'autres sociétés financières, ils agissent comme des intermédiaires entre les emprunteurs et les prêteurs et offrent une forme unique de la transformation d'actifs. Ce rôle est défini en France par le Code Monétaire et Financier sous l’appellation d’intermédiation bancaire. Elle consiste à garantir aux déposants la sécurité du dépôt et sa restitution, et à l’emprunteur qui bénéficie momentanément du dépôt précédent, la mise à disposition du prêt jusqu’aux échéances

adopté par les douze pays membres de la CEE annonçait l’entrée en vigueur du Grand marché unique (GMU) le 1ier janvier 1993 qui se caractérise par la réalisation complète des quatre grandes libertés de circulation énoncée ci-dessus. L’intégration monétaire est la conséquence inéluctable de l’intégration commerciale, productive et financière. En effet, la logique du marché unique implique une stabilité des taux de change entre les pays membres, qui est une condition essentielle du développement des

qui aboutit à la formation du tx de change. (foreign, exchange, forex) Le taux de change : prix relatif d’une monnaie par rapport à une autre= cours (on parle de parité d’une monnaie). L’arbitrage :op qui assure un profit strictement positif sans risques -Les arbitrages en fonction du taux de change : Les déterminants des agents éco= la compétitivité, l’élasticité prix/demande et le taux de change (les consommateurs vont choisir des pdt importé si le tx de change de leur pays est élevé ; les entreprises

2009 de la Banque mondiale : 83/181  (+7 places par rapport à 2008) - Notes de risque pays OCDE : 2/7 (avril 2009) EHSfac : B (avril 2009) Coface : A3 (mai 2009) SA Ducroire : court terme : 1/7 ; commercial : C (élevé) ; risque de transfert : 2/7 (mai 2009). Sources : (1) Banque mondiale (avril 2009). (2) FMI. (3) GTIS-Global Trade Atlas Appréciation du credit manager Moci : Risque pays : moyen ( ? ) Risque client : mauvais ( ? ) Effective Date | Quota | | | Pre April 30, 1973

président Herbert Hoover, qui avait pris ses fonctions en mars 1929, ne percevait pas cette crise comme majeure, mais plutôt comme cyclique et passagère, considérant même qu'elle était intrinsèque au fonctionnement capitaliste. Cette sous-estimation des enjeux a conduit à une crise économique généralisée qui s'est propagée à travers le monde, déclenchant la Grande Dépression. L'analyse de Charles P. Kindleberger l’amène à critiquer la politique du « laissez-faire, laissez-brûler ». Il propose la mise