Ennemi du peuple

sens bien précis. Elle permet de mieux comprendre le degré d’union et de désunion. L’ennemi, n’est pas nécessairement négatif dans les ordres moraux, esthétiques ou économiques. Il est seulement l’adversaire, «l’autre, l’étranger» (page 64). Cet ennemi, doit être une «ensemble d’individus groupés, affrontant un ensemble de même nature et engagé dans une lutte pour le moins virtuelle» (page 67). Cependant, puisque l’ennemi n’est pas vu dans le sens psychologique du terme, mais bien au sens politique

haine Si l’on reste respectueux envers ses sujets, la majorité suivra sans problème. Il n’y aura alors qu’à gérer un petit nombre de rebelles qui quoi qu’il arrive veulent accéder au pouvoir. Au contraire si l’on est méprisable et odieux, le peuple entier se révoltera et la situation deviendra incontrôlable. Le Prince doit éviter d’être perçu comme efféminé, inconstant, léger, irrésolu, pusillanime (manquant de courage et/ou de caractère). Lorsque le Prince est réputé (respecté et possède

désigner ses ennemis. Ajac confirme ce futur certain "ils vont venir maintenant"(l.44). Les deux survivants savent que quand les ennemis viendront, ils seront tous deux tués.."je ferais une dernière encoche pour moi"(l.21), Argo prévoit déjà son entaille sur le bâton des ombres, cela prouve la fatalité de son sort. Argo se consacre uniquement à rendre honneur aux morts, et à leur parler "Korée comme ton corps est lourd maintenant"(l36), il ne fait aucune séparation entre son peuple mort et lui même

visant à mettre les aristocrates au même niveau que le peuple en leur enlevant les ressources qui leur permettaient auparavant de se tirer d’affaire. Ce décret renforce le système terroriste. Couthon déclare que « le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître, il s'agit moins de les punir que de les anéantir ». Il est décidé que « le Tribunal révolutionnaire est institué pour punir les ennemis du peuple ». Devant la Convention, Maximilien de Robespierre, qui

symboles. Paul Eluard va écrire ce poème pour dénoncer cette barbarie pendant la guerre en Espagne. Description et Analyse I-Présentation du poème. Le titre peut surprendre : " Victoire " étant ici utilisée antinomique (antithèse). C’est la victoire du peuple alors que c’est celle des Allemands. La division du poème en 14 sections donne l'impression d'un éclatement, d'un manque de cohérence et de cohésion. Ce sentiment est renforcé par l'absence de poctuation. Le poème est composé de quatorze strophes

répondrons à la problématique : « Quelles qualités les peuples du nouveau monde les textes proposées mettent-il en relief ? » . Dans un premier temps nous étudierons les points de convergences des différents textes du corpus et les procédés utilisés. Dans un second temps, les divergences qui existent entre les différents auteurs et les techniques choisies pour convaincre le lecteur. Les quatre auteurs mettent en lumière les qualités des peuples indigènes découvert par les explorateurs Européens.

qu’il doit protéger son peuple pour que la race aryenne, qu’il pense supérieur puisse vivre pleinement. Mussolini, lui, veut faire de son pays un nouvel Empire Romain, il veut agrandir son territoire en colonisant différents pays. Il est du cote de la bourgeoisie et veut s'allie avec les élites traditionnelles. 2)Chacune de ces idéologies a un ennemi. D’une part, pour Staline, le capitalisme est le principal ennemi. Constitué de bourgeois qui cherchent à écraser le peuple, c’est tout le contraire

créer un sentiment d'admiration du peuple pour Big Brother et de faire naître chez chaque habitant une haine contre les ennemis du Parti. Ainsi l’endoctrinement du peuple grâce à la propagande consiste à provoquer et maintenir en permanence un véritable sentiment de haine et de rancune chez les habitants. 1) Haine de l’ennemi La haine de l’ennemie est stimulée par deux événements majeurs au court desquelles le Parti tente de fixer la haine du peuple sur une cible. Il s’agit de :

Grotius, peut aliéner sa liberté et se rendre esclave d’un maître, pourquoi tout un peuple ne pourraît-il pas aliéner la sienne et se rendre sujet d’un roi ? Il y a là bien des mots équivoques qui auraient besoin d’explication ; mais tenons-nous-en à celui d’aliéner. Aliéner, c’est donner ou vendre. Or, un homme qui se fait esclave d’un autre ne se donne pas ; il se vend tout au moins pour sa subsistance : mais un peuple, pourquoi se vend-il ? Bien loin qu’un roi fournisse à ses sujets leur subsistance

 La souveraineté du peuple  Consigne 1 ­ Raconter les événements du 20 juin et du 14 juillet 1789. (Rédiger quelques phrases.)  Image 1 page 71 + texte 2 page 70  Image 1 page 68  Doc.1 ­ "La Révolution, Quelle aventure !" Extrait 1  1789 = réunion des Etats généraux → députés du Tiers-Etat → conflit avec le roi → Assemblée nationale → 20 juin : le serment de rester ensemble + donner une constitution au pays → le roi appelle les troupes autour de Paris → 14 juillet → peur des habitants → le peuple prend les