Entrait

vie de Meursault, cependant cette nature est complètement différente de celle qui l’à poussé à tuer, du soleil violent et agressif. Celle ci est apaisante et bénéfique. Elle se dirige vers lui, ils ne font plus qu’un : « Montaient jusqu’à moi », « Entrait en moi ». Il est question d’apaisement avec « J’ai retrouvé le calme », « Merveilleuse paix », « Je m’ouvrais ». Tout cela montre une approche vers l’épicurisme. En effet les choses simples le satisfont, et le suffisent au bonheur.

51 de l’anthologie) Extrait no.2 : Félix-Antoine Savard « Ils prêchaient la confiance dans le calme, enseignaient la valeur du travail et le prix du repos, révélaient des lois saintes, immuables, tranquilles, dans le bénéfice desquelles on entrait dès qu’on avait promis à la terre son labeur et sa fidélité. » (p.54 de l’anthologie) 2- La vague réaliste du roman du terroir Extrait no.3 : Ringuet « Qui pourtant mieux que lui [Euchariste Moisan] la connaissait et l’aimait, la vieille

de Nemours Le duc de Nemours arrive après que le bal est commencé. Son entrée dans le bal est très théâtrale «  Il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu’un qui entrait et à qui on faisait place » (L.2). L’identité du Duc se révèle progressivement. «  Quelqu’un qui entrait » (L.3), « Celui qui arrivait » (L.5), « Ne pouvait être que le Duc de Nemours » (L.6). L’auteur prend le motif de la mise en valeur chevaleresque de l’homme devant la femme en faisant passer le

s'emplissait de tumulte aux bourdonnements vagues qui montaient. Elle le reversait au dehors, sur les places, sur les promenades, sur les rues, et la vieille cité normande s'étalait à ses yeux comme une capitale démesurée, comme une Babylone où elle entrait. Elle se penchait des deux mains par le vasistas, en humant la brise; les trois chevaux galopaient tandis que les bourgeois qui avaient passé la nuit au Bois-Guillaume descendaient la côte tranquillement dans leur petite voiture de famille. *****

et pas un détail de leurs visages ou de leurs habits ne m’échappait. » (1131) > Ouïe : « Deux frelons bourdonnaient contre la verrière. » (1130) > Toucher, odorat : « Il faisait doux, le café m’avait réchauffé et par la porte ouverte entrait une forte odeur de nuit et de fleurs. » (1131) • Dans le chap. 2 : > Toucher : « Je sentais le ventre de Marie battre doucement. » (1138) > Vue : Hyperesthésie visuelle : « J’ai senti mes yeux se fatiguer à regarder ainsi les

Chapitre sept Guilliatt avait des idées bien précises sur beaucoup de sujets : la nature, l’eau, l’air….. On le trouvait bizarre car il analysait la vie, le sommeil, la nature… C’était un penseur et Guiliatt était considéré comme une personne qui entrait en communication avec l’infini. Chapitre huit On apprend que la maison de Guiliat a disparu. Elle a été démolie. Dans ce chapitre, on nous décrit les alentours de la maison. Il y avait une corne appelée la chaise Gild-Holm-Ur. Beaucoup de personnes

Femmes! L'homme(Le mari) s'assoyait derrière son bureau et empilait l'affiche(la fiche) autour de, de droite à gauche et de gauche à droite. Il levait la tête, quand Charlote entrait(défendait). Une femme, il disait.  Oui disait Charlotte, ne voit pas on cela ?  Mais Il grimaçait le visage Avez vous quelque chose contre des femmes ?  Il hésitait et jouait avec son crayon. Avec cela, il jetait son(leur) regard critique-ci du bas. (...)  Assoyez-vous.  Charlotte s'assoyait.  Donc qui est maintenant

disoit des choses horribles contre les dieux. La pièce estoit un vrai galimathias. Sercy qui l'imprima dit à Boisrobert qu'il avoit vendu l'impression, en moins de rien Cyrano est blessé, en 1654 par la chute d’une poutre en bois alors qu’il entrait dans la maison de son protecteur, le duc d’Arpajon. On ignore s’il s’agit d’une tentative délibérée contre sa vie ou simplement d’un accident, de même qu’il est impossible de déterminer si sa mort est ou non la conséquence de cette blessure, ou d’une

rouver Ie soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. f"r.q"-tfil""r.ira, l,on admira sa beauté et sâ parure.;J. comme eile dansait avec M. de Guisd, il É, se fit un assez grand bruit vers la porte a" t" ,"[.,.oro*. à"'iurrou,u, qui entrait er à.qui on faisait prace. Mme de brèves acheva a. .";."" s ctlait ;, a."rrr;;;;;j*;;"1;ir;;;;: b;ii;;;r=i.];;; '.*JàuorJ;;;;;;; * yeux quelqu,un qu'elle avait dessein de prendrq celui qui a*ivair Ele se tôu6a et ÿit un hommJ qu,elt être que

LE DÉSORDRE DE TON NOM Juan José Millás C’était un mardi de fin d’avril à cinq heures de l’après-midi. Julio Orgaz était sorti de la consultation chez son psychanalyste dix minutes avant ; Il avait traversait la rue Príncipe de Vergara et entrait maintenant dans le parc de Berlin, essayant de dissimuler avec les mouvements de son corps l’anxiété que trahissait son regard. Le vendredi précédent, il n’avait pas réussi à voir Laura dans le parc, et cela avait provoqué en lui une sensation